5.6.23

et le dixième jour sanctifiera la coïncidence


à Lupin et Lopan

  Suite du billet précédent, 376e de Quaternité, 376 valeur de tserouf, le vocable hébraïque désignant chez les kabbalistes les procédés de combinatoire des lettres, tels l'anagramme ou l'acrostiche.
  A la fin de son écriture, le 1er juin, je découvris et citai le site ZionKaballah, précisément pour un article signalant que tserouf est l'anagramme de tsippor, "oiseau", le tserouf étant assimilable à la Langue des oiseaux, et je remarquai cette anagramme au début du billet.
  Un autre article du site m'a appris qu'une autre anagramme est porets, "cambrioleur", car je n'ai étudié que l'hébreu biblique. Ce mot d'hébreu moderne, translittéré PWRÇ, est l'exact renversement de ÇRWP, tserouf. J'avais depuis longtemps vu et commenté que le nom de Perec est issu de l'hébreu PRÇ, "briser", renversement de ÇRP, "purifier", d'où est issu tserouf, ce qui me ravissait car Perec est l'écrivain phare de la littérature à contrainte, palindrome, anagramme, etc.
  Ce porets m'a rappelé presto que j'avais repéré plusieurs allusions de Perec à notre héroïque cambrioleur national. Le 2 juin j'envoyai ce message à la liste Perec:
Perec cite plusieurs fois Lupin, explicitement dans Les Choses et « 53 jours », les 813 cannes et l’architecte Lubin Auzère de LVME étant vraisemblablement des implicitations.
Son nom est issu du verbe perets, פרץ, "briser", et je viens d’apprendre qu’en hébreu moderne "cambrioleur" se dit porets, issu de cette même racine (ou "casseur").
Toujours est-il que Les aventures d’Arsène Lupin gentleman-cambrioleur est traduit ainsi en hébreu
עלילותיו של ארסאן לופאן הפורץ הנוצץ
avec פורץ pour "cambrioleur", racine פרץ.
  Ensuite, je me suis attaché à l'orthographe de Lupin dans cette édition de 1966, לופאן, LWPAN (aujourd'hui c'est plutôt LWPN), qui en-dehors de tout contexte se lirait lopan ou loupan.
  Ceci m'a rappelé quelque chose, rafraîchi en consultant deux pages de mon ancien site, la première étant encore accessible ici (mais c'est très fouillis). Sur cette première page, le point qui m'intéresse est que j'avais appris en août 2004 que Frédéric Pineau avait émis l'hypothèse que le tableau de Poussin Et in Arcadia ego révélait l'emplacement de Herculanum, un siècle avant sa découverte. Je ne me souviens plus de ses arguments, son site n'existe plus, son livre de 2006 est épuisé.
  Quoi qu'il en soit, j'avais été amusé que, bien avant cette hypothèse, Perec avait accolé dans un palindrome (A Pierre Getzler, in La clôture) les mots "Herculanum" et "Et in Arcadia ego". La page suivante, inaccessible et toujours très fouillis, abordait des coïncidences liées à Naples, et ceci connut un couronnement le 11 août 2004, avec un film téléchargé par un ami venu nous rendre visite, Les aventures de Jack Burton, de John Carpenter.
  Jack Burton et ses amis y affrontent le fantôme d’un mandarin magicien vieux de 2000 ans, pensant pouvoir récupérer un corps de jeune homme en épousant une chinoise aux yeux verts (ce qui m'a rappelé que, dans La demoiselle aux yeux verts, aventure de Lupin, l'enjeu est une source de jouvence). Le nom de ce fantôme est Lo Pan. Mon esprit m’avait instantanément soufflé NAPOL. Voici près de 30 ans, j’avais donné un nom au phénomène responsable de l’accumulation de coïncidences dans ma vie, et ce nom était l’éon Napol..
  Jung à ce sujet parle de trickster, ou de Mercure. Mercure est le dieu des cambrioleurs (cf l'aventure d'Arsène Au dieu Mercure).
  Le mot "napolitain" était présent dans le palindrome de Perec (que je donnerai en fin de billet).

  J'avais cherché ce que pouvait signifier Lo Pan, et le lo pan, ou luo pan, est 
une boussole chinoise spécifique au Feng Shui ... Luo signifie "TOUT" et Pan "BOULE". Elle comporte un plateau tournant circulaire inscrit dans un cadre carré.
Luo Pan signifie littéralement " l'Univers sur un plateau".
Le cadre est de forme carrée en référence à la terre, le plateau est circulaire, en référence au ciel.

  Je connaissais bien sûr La mort et la boussole de Borges, et m'en étais inspiré pour mon roman écrit en 1999, avec ses trois crimes des 3/3, 4/4, et 5/5 aux sommets d'un triangle de Pythagore, et une dernière mort le 6/6 au point complétant ce triangle en un rectangle. Mais en 2004 je n'avais pas encore fait le lien entre les victimes MYGDAEL de Borges et les bordels Zwi Migdal de Buenos Aires. Je me demande d'ailleurs si ce n'est pas la boussole Lo Pan qui m'a conduit à étudier de plus près cette nouvelle.
  La découverte dans le précédent billet de son Hôtel du Nord qui a "l'apparence générale d'une maison close", m'a conduit à réorganiser
y la apariencia general de una casa mala
en
una casa Mala Y General De Apariencia La
una casa MYGDAL, une maison migdal, un bordel... no code in the Spanish translationJ'ai alors pensé à mon roman qui avait été traduit en espagnol sous le titre Extrañas Apariencias...

  Tentative de récapitulation:
- Zwi Migdal, "cerf tour" m'a fait penser au tserouf, "anagramme";
- tserrouf m'a conduit à l'anagramme tres four, "trois quatre", thème essentiel de la nouvelle (les 3 apparents cachent des 4);
- tserouf est en hébreu l'anagramme de porets, "cambrioleur", et la nouvelle débute par un cambriolage qui a mal tourné;
- le gentleman-cambrioleur dont s'enorgueillit la France (en hébreu Tsarfat, dérivé de la racine tsaraf de tserouf) est Lupin, Lopan ou Loupan en hébreu, le lo pan ou luo pan étant en chinois une "boussole".

  Lors du Salon du Livre 2001 où j'avais été invité, j'avais découvert La bibliothèque de Villers de Benoît Peeters (1980), un autre roman inspiré par La mort et la boussole, et le tserouf permet de vérifier que l'auteur s'y est révélé bon cambrioleur, car "Benoît Peeters" a "bien été Porets".
  Je rappelle que son "LIVRE", où l'anagramme de "livre" est omniprésente, avait bien des points communs avec mon projet Novel Roman de 1998, interrompu par l'écriture de Sous les pans du bizarre, et achevé en 2018.

  Je constate souvent de consternants retards dans ma recherche, avec des évidences qui m'échappent parfois pendant des années.
  Des événements extérieurs peuvent être associés à mes dessillements, et c'est ainsi qu'il m'a semblé que mon intuition tserrouf = tres four le soir du 24 mai, 45 jours après avoir relié le tserouf à la nouvelle, était liée à un problème posé par Alexandre Carret à la liste Oulipo quelques heures plus tôt.
  J'ai déjà donné un sonnet d'Alex ici. Il indiquait pour celui-ci avoir suivi une contrainte, mais laquelle?
 

  J'ai été aussitôt frappé par le carré, délicat à réaliser en police Times. On utilise généralement une police à chasse fixe pour écrire des vers isocèles; j'ai composé beaucoup de textes carrés ainsi, et ai apprécié cette nouveauté, surtout venant d'un Carret. J'ai finalement compris que le poème figurait la ronde lune par ses 26 O soigneusement disposés:
 

  C'est donc ensuite, au lit, peu avant de dormir, qu'il m'est venu tres four. Je ne sais plus maintenant si j'avais vu précédemment que les initiales C et D des vers désignaient la lune croissante et décroissante, les O la pleine lune, ou si ça m'est venu le lendemain matin.
  Il y avait autre chose que je n'avais pas vu, la lune a traditionnellement 28 "mansions", et Alexandre suggérait d'imaginer les 2 mansions absentes correspondre à la nouvelle lune, l'avant et l'après du sonnet.
  Et bien sûr, je n'ai pas pensé alors au Lo Pan, cercle dans un carré.

  Le sonnet faisait au moins écho au billet alors en cours d'écriture, De Sol à Luna, en passant par Mercurius, où il était question de la Lune et du Soleil. Comme chaque fois qu'un texte me semble important, je le passe au Gématron, et ses 108 mots comptent 440 lettres de valeur 4886.
  Peu après avoir vu ceci, je me suis demandé quel était le numéro Strong de tsaraf, le verbe dont est issu tserouf, et c'est 6884, renversement de 4886, prenant tout son sens depuis la découverte de porets, renversement de tserouf. Le verbe a 33 occurrences, dont une s'écrit exactement comme tserouf, dans le Psaume 12 où il est question "d'argent purifié", kesef tsarouf (la lune est l'astre d'argent).
  La référence Strong 4886 m'est parlante, car il s'agit du verbe mashah, "oindre", dont la forme allemande salben m'est venue en un étrange rêve, mentionné dans le billet De Sol à Luna...
  J'avais mentionné ici la référence Strong 4444 pour le grec purgos, sans penser alors aux 4 crimes de La mort et la boussole, commis les 4 de chaque mois à partir de celui de la tour de l'Hôtel du Nord; j'ai plus tard souligné que purgos et Borges avaient une même étymologie, mais en oubliant la référence 4444.
  Le mot migdal (Strong 4026) s'écrit en 4 lettres en hébreu, MGDL, de valeurs 40-3-4-30, 4-3-4-3 selon la guematria réduite (mispar qatan).

  J'ai fait part à Alexandre de la coïncidence avec le tserrouf, et de mon anagramme "tres four", et il m'a répondu que cette anagramme était "fort sûre".

  108 mots... J'ai expliqué ici que mon éon NAPOL était lié aux 108 marches de l'escalier de la Dive chez Rabelais. J'aurais quelque chose en rapport à dire sur les 440 lettres, mais ce sera pour plus tard...

...car il y a plus immédiat, avec ce qui s'est passé la nuit du 3 au 4, à 3 heures.
  J'écris ceci le dimanche 4 juin. Je me suis donc réveillé à 3 heures assez exactement, selon mon réveil, j'ai été πC et avant de me rendormir il m'est venu que les initiales C et D du sonnet lunaire d'Alex étaient les lettres de rangs 3 et 4, d'où le rapport se précise entre le sonnet et mon intuition "tres four".
  Mais il y a bien davantage, et du vérifiable pour une fois.
  En début de semaine, j'avais regardé les 3 premiers épisodes de Comptine mortelle, mini-série de la BBC disponible sur le site france-tv. Les 6 épisodes étaient en principe disponibles, mais il y avait un bug pour le 4e, résolu hier et j'ai donc vu le 3 juin la fin de la série, adaptée du roman Magpie Murders de Anthony Horowitz, quelqu'un dont je connais le nom mais dont je n'ai jamais rien lu. Voici la présentation:
Susan Ryeland, une éditrice, attend avec impatience le neuvième roman d’Alan Conway, la star du roman à énigmes. Le héros de ses aventures, Atticus Pünd, est un détective privé allemand qui n’a pas son pareil pour résoudre des enquêtes, dans l’Angleterre des années cinquante. Mais le manuscrit s’avère incomplet et, pire encore, Alan Conway meurt subitement! Susan se lance alors dans sa propre enquête pour retrouver le chapitre manquant du manuscrit et pour comprendre ce qui est arrivé à Alan.
  Je vais spoiler un max, divulgâcher si l'on préfère. Alan Conway est un écrivain aigri qui déplore de devoir son succès à de vulgaires polars, alors qu'il avait de tout autres ambitions. Depuis le début de sa série policière il a prévu un gigantesque pied-de-nez au monde de l'édition: les titres de ses 9 romans, au terme desquels il ferait mourir Atticus Pünd, formeraient l'acrostiche AN ANAGRAM,
 

"une anagramme", anagramme qui est celle du nom du détective, a stupid cunt, "un stupide con", et cunt est plus grossier que "con" en français. L'édition française du roman avait nommé le détective Fidèle Staupert, pour l'anagramme "fils de pute taré".

  Or j'ai imaginé en 2000 le détective Michel Sérouf, dit "le Mérou", détective sourd-muet, héros de 14 romans signés Jeanne-Eve Turdo, disparue en 1941. On pensait le 14e roman inachevé, son dernier "mot" étant la réplique J d'un personnage que la narration suggérait être le Mérou. On découvre que les dernières lettres des 14 romans épellent à rebours JEANNE EVE TURDO, d'où il s'ensuit que le roman était bien achevé. Le fait que le personnage suspecté d'être le Mérou ne l'est pas est suffisant pour qu'un lecteur idéal découvre la solution de l'énigme.
  Le nom du détective était une anagramme du mien, REMI SCHUL..., avec Z transformé en FOE pour une certaine raison (donnée ailleurs, j'y reviendrai). Il y a de multiples translittérations de tserouf, dont serouf.
  Ce 14e roman se passait dans un camp de prisonniers, en Allemagne, alors que Atticus Pünd, opposant au régime nazi, a passé la guerre dans un camp de concentration.
  Je n'imagine pas que Horowitz ait lu ma page, mais elle existait bien avant qu'il écrive son roman, et ceci pourrait permettre des hypothèses un peu plus acceptables que le total hasard, comme la causalité formative de Sheldrake...

Note du 6/6: Il faudra y revenir, mais voici un aperçu de ce qui aurait pu me venir au premier JET.
  Le générique de la série montre une machine à écrire venant de taper THE END, ce qui m'a fait me demander si ce n'était pas le titre en VO (non, c'est bien Magpie Murders). Or la résolution de l'énigme du 14e Mérou de J-E Turdo, apparemment inachevé, était parallèle dans mon projet de 2000 à celle d'un autre roman, La fin, monsieur Win, dont les deux chapitres finaux étaient manquants. Le 99e était à décoder dans les 98 précédents, et le 100e dans le 99e (je n'ai en fait écrit que ces deux chapitres, donnés sur la page mentionnée supra).

  Il y a davantage. C'est donc dans la nuit du 3 au 4 juin qu'il m'est venu que les lettres C-D d'Alex correspondent à 3-4, en écho à mon "tres-four" du soir du 24 mai, le 25 si l'on suit le comput borgesien de démarrer le jour au coucher du soleil, or ce 4 juin est le 10e jour après le 25 mai, alors que j'avais déjà choisi d'intituler ce billet
Et le dixième jour sanctifiera la coïncidence
en pensant au 10e jour de La décade prodigieuse, et en comptant publier ce billet le 7 juin, 10e jour en partant du billet du 29 mai,
De Sol à Luna, en passant par Mercurius
afin d'avoir une trilogie sur 10 jours de 3 billets centrés sur le 376e,
Du triangle TRES au losange FOUR (la magie)
de valeur 376 du tserouf.

  Je me suis renseigné sur Anthony Horowitz, et j'ai appris qu'il avait écrit les scénarios des premières saisons de la série Inspecteur Barnaby, or mon intuition des 4/5es de la vie de Jung tombant le 4/4/44, dans la nuit du 7 au 8 septembre 2008, m'avait parue liée à l'épisode 11/2 de Barnaby vu le soir du 7, Noces de sang, où la résolution d'une anagramme (cast no sin here = Catherine's son) permettait de démasquer le meurtrier. Mais depuis plusieurs saisons Horowitz n'était plus un scénariste de la série.

  Atticus Pünd est évidemment inspiré par Hercule Poirot. J'ai cherché une anagramme significative pour ce roi des détectives, et trouvé "le roi tcerouph".
  J'ai mentionné récemment un polar amusant, multipliant les jeux anagrammatiques, où l'enquêteur est un flic à la retraite nommé Pierre Choulot.

  Avant le formidable écho entre les détectives Atticus Pünd et Michel Sérouf, j'ai pensé la semaine dernière à Jeanne-Eve Turdo, car une rubrique d'une matinale de France-Inter était consacrée à la peintre Anna-Eva Bergman, mentionnant son utilisation du nombre d'or. J'ai regardé un peu ses oeuvres, sans y repérer de construction dorée immédiate. Un docu est visible actuellement sur Arte, le nombre d'or est mentionné, sans plus.
  Les lettres C-D sont aussi les notes do-ré, et le dernier O du sonnet lunaire d'Alex est dans "le silence d'or".

  Horowitz est né le 5/4/55, et cette date était comme le 4/4/44 le mardi de la Semaine sainte.

  Ces deux derniers faits me rappellent que "ma" BLO a été intitulée Rémi face au lacis doré, et j'ai découvert que ce titre existait déjà, pour une composition du belge Daniel Schell, né le 5/4/44.

  La "lune câline" d'Alex m'a fait lui demander s'il n'avait pas pensé à la chanson Ame câline de Polnareff, "Polna" qui en 1972 a révélé au monde la face cachée de la lune. Non.
  C'était avant que j'apprenne que le cambrioleur Lupin était un porets Lopan, mais il y a longtemps que je suis sensible à la polnarévolution, le mot "révolution" m'étant lui aussi significatif, et je mentionnai dans le premier billet de la trilogie envisagée son anagramme "trouve lion".
  La trilogie n'est plus de mise, car j'ai laissé de côté beaucoup de petites choses, prévoyant qu'elles risquent de n'être pas si petites dès qu'il s'agira d'approfondir, aussi il y aura au moins un 4e billet dans cette série tseroufienne...

  J'avais promis le palindrome PG-GP de Perec, que voici donc. Le dédicataire Pierre Getzler est peintre, d'où les multiples références picturales, mais cela n'explique pas la présence de Herculanum et de deux volcans italiens, en songeant au  tableau de Poussin Et in Arcadia ego qui révèlerait l'emplacement de Herculanum, selon l'hypothèse signalée plus haut.


PG
Elan ici venu à je - Nul Eden, et ni art-noce
ni le fallace lustre vu, O traître vase tuteur
à l'Ecole -
Mêles sectes et Ordre. Plisse, déçu : Trucs ?
Boréal chemin radial - Nu à lie, rape, porte-idole : MédraNoé, Lasare. Martyrologe !
Eh, Port-Saïd à cran - item : un à lucre héliotrope - le fleuve (Nil, Ob...) mort secrète, je révère, vivant élu, Outamaro Napolitain - Système - Passage du névé -  Réel

Klee revenu, Degas sapé, Metsys - Nia-t-il, O panorama tu, où l'Etna vive - Rêve - rejeter ce Stromboli né, vu : Elfe, le Port, O île - Herculanum
Et in Arcadia (strophe) ego.
L'or y tramera sa léonarde mélodie : Trope pareil à un lai d'Arnim, eh, claer-obscur ! Tu cèdes s'il perd ?
Rotes - et cesse le mélo, cela rue. Tu t'es averti - Art ouvert, su : le cal (- La féline contrainte -) né de lune jaune vicinale.
                                                    GP



  Tiens, ça finit par une "lune jaune vicinale": "câline lune, jeu vain?"
  Je remarque aussi que Perec a dû incruster le mot STROPHE dans Et in Arcadia ego. J'y vois l'anagramme de TSEROPH, et ce billet m'avait fait proposer LE TSEROPHE pour TELESPHORE, l'enfant-dieu mercuriel placé par Jung au centre de la pierre de Bollingen.

  Publier ce billet le 10e jour en partant de celui du 29 mai, en référence à Ten days' wonder, n'a plus trop de sens, aussi je le publie ce jour où je l'achève, le 5 juin, 8e jour qui a encore un écho avec Queen, auteur de Et le huitième jour...
  Mais ce 5 juin a aussi une particularité, qu'on découvrira en écoutant le Jeu des 1000 euros à 12 h 45, ou plus tard son podcast.

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