1.1.11

tours & détours (jplg 4)

Un 4e billet évoquant Jean-Pierre Le Goff, JPLG, essentiellement au travers des coïncidences qui ont accompagné l'écriture des trois premiers billets. A signaler d'abord que Robin Plackert a cité sur son blog le premier de ces billets, et donné les échos avec sa propre démarche qui lui a fait découvrir JPLG l'an dernier.

Mardi 4 janvier j'ai terminé ce premier billet, Arisu n'est plus ici, avec déjà dans la tête les éléments du second, achevé le 7. Ce même mardi j'ai été à la médiathèque de Digne (04), où j'ai emprunté une Nouveauté, On ne peut plus dormir tranquille une fois qu'on a ouvert les yeux, de Robert Bober (bien connu de mes services pour ses liens avec Perec).
J'ai vu et lu plusieurs autres choses de Bober, comme Quoi de neuf sur la guerre ? où Perec est présent sous le nom de Raoul, et je me sentais particulièrement motivé par celui-ci dont l'intrigue tourne autour de Jules et Jim, le film de Truffaut au tournage duquel Bober a effectivement participé (et où apparaît le Moulin d'Andé, où Perec a écrit La disparition).
Ceci m'intéressait car j'ai revu il y a peu Les deux Anglaises et le Continent, l'autre film de Truffaut adapté d'un roman autobiographique de Henri-Pierre Roché, et ai eu la surprise d'y voir le train gallois Tallylyn Railway, objet de la coïncidence relatée en novembre dans La possibilité d'une hylé. J'avais été frappé par la symétrie des deux romans et films, qui auraient pu être intitulés Une femme et deux hommes, et Deux femmes et un homme. Roché est Jim dans le premier (tandis que Jules est inspiré de Franz Hessel, père de Stéphane qui cartonne actuellement avec son Indignez-vous !), et Claude Roc dans le second, un nom qui m'a rappelé le couple COR-ROC et ses multiples avatars, abordés notamment dans ce billet où j'évoquais le Cadair Idris gallois, et l'anagramme cardia, "coeur" grec.
Je n'ai cependant pas lu immédiatement le roman de Bober, étant sollicité par ailleurs par quelques relectures de Claude Aveline, et par un autre livre emprunté à la médiathèque, Père Elijah, de Michael O'Brien, thriller eschatologique de 1996 récemment traduit, fort mal avec des coquilles multiples et invraisemblables. J'ai poursuivi cette lecture fastidieuse en espérant trouver un Enoch quelconque, par un hasard signifiant, mais il m'a fallu attendre la dernière page (587 !) pour comprendre que le nom du frère n'était aucunement un hasard, un personnage en apparence mineur, surnommé Frère Âne, s'appelait en fait Frère Enoch, et la dernière phrase fait arriver Elijah et Enoch à Jérusalem, ce qu'un lecteur au fait de la tradition chrétienne peut interpréter comme un signe préapocalyptique, les deux témoins de la Révélation de Jean ayant été identifiés à Enoch et Elie.
Ceci est confirmé par l'auteur, voir ses réponses aux questions 45-46-47 sur son site.
Il faut aller tout en bas de la page, et j'ai cherché sur le code source s'il n'existait pas un indexage des questions, permettant un lien spécifique. Non, mais ceci m'a fait repérer cette commande HTML vers la fin du script :
[td valign="top" align="left" height="84" width="136"]
Cette commande définit un rectangle de 84x136 pixels pointant vers HyperDo, le concepteur du site studiObrien. Cette zone en bas à gauche de la page apparaît en pointillé après avoir cliqué dessus, comme ci-contre.
Je rappelle que les nombres 52+84 m'évoquent immédiatement Elie + Enoch, ou Jung + Haemmerli, et leur somme 136 Ezéchias, ou l'année pataphysique aux premières heures de laquelle m'est venue l'intuition sur le schéma 4-1 de la vie de Jung autour du 4/4/44.

Je n'ai guère envie d'en dire plus du roman d'O'Brien, catho de chez catho, qui après la dernière phrase où il a fait entrer Enoch et Elie dans Jérusalem cite les passages de l'Apocalypse concernant la question, essentiellement le chapitre 11, où les deux témoins, non nommés, prophétisent pendant 1260 jours avant d'être tués par la Bête. Ils ne restent morts que 3 jours et demi, au terme desquels Dieu leur rend vie, au verset 11,11... Le verset suivant montre les deux témoins aussitôt monter au ciel, dans la nuée, ce qui peut expliquer leur identification à Elie et Enoch.
11,11 : je rappelle mon rêve du matin du 1/1/11, qui m'a mené à un Ezequiel Exquier habitant un 1111, ce qui m'a conduit à créer ces billets le 1/1/11 à 11:11.
J'ignorais alors que leur écriture allait m'amener à constater que mon premier article "sérieux" publié était précédé d'une étude intitulée Hénoch et Elie.
Probablement pas par hasard, Père Elijah a 22 chapitres, comme l'Apocalypse (11+11).

Ce n'est que le 20 janvier que j'ai pu me mettre à la lecture du Bober, qui s'y met en scène sous le nom de Robert, lequel aurait donné l'occasion à son ami Bernard Appelbaum, le personnage essentiel du roman, d'être figurant dans Jules et Jim, pour une scène au café Victor, impasse Compans, près de la Place des Fêtes.
Bernard retourne ensuite dans ce lieu pittoresque, et devient l'ami du patron qui lui montre derrière son comptoir une trappe qui mène non seulement à sa cave, mais communiquait jadis avec l'aqueduc souterrain, permettant de sortir par le Regard de la Lanterne, Place des Fêtes.
C'est exactement le type de coïncidence qui aurait enthousiasmé JPLG, et je découvre ce détail dans un livre qui attendait à mon chevet pendant que j'écrivais le billet où il était question de la visite de JPLG à ce Regard de la Lanterne.
Le blog ParisPerdu mentionne le café Victor jadis photographié par Willy Ronis, aujourd'hui disparu dans un quartier totalement reconstruit. La requête Impasse Compans Victor m'a fait découvrir ce post parmi ceux de janvier-février 2009, où figure aussi une photo des numéros 47-49 de la rue Vilin peu avant sa démolition. Or Bober (qui a aussi réalisé le film En remontant la rue Vilin) mentionne page 109 de son roman le n° 47 vers 1950, dont le volet droit alors ouvert affichait la publicité de Madame RAYDA, voyante qui consultait tous les jours de 14 à 19 h. Cette photo de René-Jacques de 1946 montre ce volet.
En 1971, je remarque le graffiti BM côté extérieur de ces mêmes volets, initiales qui évoquent instantanément celles du grand perecologue Bernard Magné.
Il m'a paru que Rayda était le renversement de Adyar, nom connu des milieux ésotériques pour les éditions Adyar, devant leur nom au quartier de Madras où siégeait la Société Théosophique (dont la branche française a créé le Théâtre Adyar à Paris, square Rapp).
Une recherche Rayda Adyar m'a mené à une demeure californienne, la Casa Rayda, et l'auteur de l'article remarque qu'il s'agit du renversement d'Adyar. Cette demeure est bâtie en deux ailes communiquant par une tour centrale, ce qui peut rappeler Bollingen où le corps de la maison imaginée par Jung est encadré par deux tours.

J'ai découvert Madame Rayda et la Casa Rayda le 21. Le 23 je me suis réveillé avec quelques bribes d'un rêve où je lisais sur un mur niçois une inscription à la craie en partie effacée, à propos d'une voyante nommée Madame Rayada.
Aussitôt levé j'ai googlé rayada, et découvert que c'était un mot espagnol signifiant "rayée", participe passé du verbe rayar, "rayer", palindrome en espagnol. En découvrant la Casa Rayda et les rambardes de la voie en surplomb, j'ai aussitôt pensé à la médiathèque Couronnes, juste à côté de la rue Vilin, et au projet de Federica Nadalutti de peindre sur une rambarde très semblable une citation d'Espèces d'espaces :
Ecrire : essayer méticuleusement de retenir quelque chose, de faire survivre quelque chose (...)
Ceci n'a pas été réalisé lorsque le projet a été finalisé, comme si cette écriture sur des barreaux s'était trouvée d'emblée raturée, rayée...
J'ai cherché aussi adayar, et c'est avant tout une autre translitération d'Adyar, le quartier de Madras, ce que j'avais d'ailleurs vu deux jours plus tôt en vérifiant ce mot.

J'ai donc découvert la tour de la Casa Rayda ce 21 janvier. Peu avant il m'était venu de calculer les gématries de TURM et BOLLINGEN, soit 72 et 90, dans le rapport 4/5.
Mes lointains souvenirs d'allemand ne me permettent plus d'être sûr du genre d'un substantif. Comme c'est "La Tour" en français, titre d'un chapitre de Ma Vie..., il m'a paru possible que Turm fût aussi féminin, permettant l'équation idéale :
DIE TURM = BOLLINGEN
18 + 72 = 90 ou 1 + 4 = 5
C'est en fait un masculin, et donc
DER TURM = 27 + 72
Il y a deux tours à Bollingen, et on devrait logiquement utiliser le pluriel
DIE TÜRME qui ne marche toujours pas. On pourrait éventuellement justifier le féminin singulier par les propos de Jung pour qui
la tour était un sein maternel ou une forme maternelle dans laquelle je pouvais être à nouveau comme je suis, comme j'étais, et comme je serai.
On pourrait encore rapprocher ces "deux tours" dans "la Tour" du Demi-tour de Boilet-Peeters, se passant lors du second tour de l'élection présidentielle de 1995.
Ma forme DIE TURM est l'anagramme de DEMI-TUR (le U allemand se prononce "ou").
On pourrait encore avancer que la seconde tour de Bollingen a d'abord été une demi-tour, l'appendice en forme de tour de 1927 ayant été reconstruit en 1931 pour devenir une véritable tour, celle où Jung avait sa pièce réservée.
Mon idée de calculer la gématrie de DIE TURM est venue d'une réflexion récente sur le nombre 87, au centre d'une étude achevée le 17 janvier dernier sur Bach et les Rose+Croix, elle aussi responsable du retard à lire Bober. Deux jours plus tard je me suis souvenu que 87 était aussi la gématrie de LA TOUR, ce qui m'a mené à une interrogation sur la forme allemande.
En parcourant le chapitre La Tour pour y retrouver son association selon Jung à la féminité, j'ai été surpris d'y voir allusion aux alchimistes rosicruciens Majer et Dorn, de Francfort, dont Jung estime qu'un autre docteur Carl Jung, son éventuel ancêtre mort à Mayence en 1654, connaissait les écrits.
Jung indique qu'au début du 18e siècle le blason de sa famille comportait un phénix, son grand-père l'ayant supprimé pour une forme plus en harmonie avec ses convictions de franc-maçon, grand-maître de la Loge suisse. Le blason ci-contre n'est qu'indicatif, venant probablement d'une autre famille Jung ("jeune") pour laquelle l'animal héraldique était tout naturellement le toujours jeune phénix, mais je m'émerveille d'y trouver le nom JUNG de sable (noir) sur une bande d'argent (blanc), alors que les mots "sable" et "argent" en hébreu forment un parfait couple atbash, auquel j'ai été amené par le rêve die Salbe, le mot 'hol, "sable", ayant pour autre sens "phénix".

Tour et demi-tour... J'ai vu le 1er janvier un autre signe dans la présence des Mots croisés en ligne du Monde, datés du lendemain comme le journal, de la définition en 11 Vertical "Demi-tour", alors que je venais de créer 4 billets (dont celui-ci) ce 1/1/11 à 11:11. La coïncidence peut être relativisée, car ces grilles en ligne du Monde étaient en fait puisées dans un ensemble limité, une même grille revenant parfois après un délai très court, auquel cas je n'insistais pas.
Cette grille 2904 (= 11x11x24) a cependant une particularité car c'est semble-t-il la dernière publiée par Le Monde, le service étant interrompu depuis le 1/1/11, du moins pour les non-abonnés.

Ce demi-tour UR croisant avec BOEUF m'est l'occasion de revenir sur Père Elijah, cet érudit ayant établi que des nouveaux documents récemments découverts (selon le roman) confirment l'historicité des Evangiles. Le document hypothétique à l'origine des Evangiles est appelé Source Q (de l'allemand Quelle) par les biblistes, lesquels envisagent aussi une source UQ (pour UR-Quelle, "source primitive"). En fait pour ce dernier point je ne trouve de référence sur le net que chez PK Dick, mais d'autres lectures dont j'ai oublié les références montrent que ce n'est pas uniquement de la science-fiction.
J'avais pensé à cette source Q après le rêve évoqué plus haut "source - form - die Salbe".
Le boeuf et l'âne n'apparaissent pas dans les Evangiles, mais sont indissociables des représentations populaires de la Nativité. C'est en tout cas pour moi l'occasion de revenir sur Frère Ane, alias Enoch, le personnage clé de Père Elijah, dont le nom original est encore plus dérangeant, Brother Ass ("âne" mais aussi "cul" en américain, Q ?). Certains détails du roman montrent que Michael O'Brien a quelques connaissances en hébreu, et je me suis demandé s'il n'avait pas pensé à la ressemblance du nom hébreu d'Enoch, 'hanokh (kh est un roulement guttural), avec 'hamor, "âne", et à l'assimilation courante 'hamor-'homer, "âne"-"matière".
Si Frère Ane est un pauvre d'esprit, clairement en opposition sur ce point avec l'érudit Elijah, il est sans doute exagéré d'imaginer que l'auteur ait pensé à la matière en grec, hylé, renversement parfait en français de "Elie", mais j'y vois évidemment un nouvel écho avec La possibilité d'une hylé.
J'ai fini le roman d'O'Brien le vendredi 7 janvier, tard. Le lendemain je me suis renseigné plus avant et ai découvert sur son site l'identification explicite de Enoch-Elijah aux Deux Témoins. Le lendemain dimanche j'ai repéré sur mon programme TV que La Source de Vie diffusait le premier volet d'un dialogue avec Adin Steinsalz sur le judaïsme aujourd'hui. J'étais au rendez-vous, alors que je regarde très rarement l'émission, mais c'était en fait le premier volet d'un hommage en deux parties à Elie...
Rien appris dans ce premier volet, mais aujourd'hui 23 a été diffusé le second, où j'ai appris que la tradition considérait le Sage d'Israël Honi, ayant vécu au Ier siècle avant notre ère, comme une (ré)incarnation d'Elie.
Il est aussi nommé le Traceur de Cercles, car il s'enfermait dans un cercle et menaçait Dieu de n'en pas sortir jusqu'à ce que la pluie tombât. Cette association au cercle m'est encore évocatrice, car mes billets sur la "matière forte" avaient pour origine une lecture sauvage de Strongylé, "ronde", ancien nom d'une Cyclade faisant l'objet du même jeu chez "Sinoué-Halter", dont j'avais pressenti une anagramme chez Perec, rapportée dans mon billet On sait l'heure.
J'avais relativisé la chose en donnant diverses autres anagrammes, parmi lesquelles l'austère honi, en pensant à l'orthographe de honni dans la devise Honi soit qui mal y pense, sans connaître ce traceur de cercles Honi, qui semblait plutôt austère.

Cet adjectif me rappelle que Paul Auster, grand amateur de la musique du hasard, a remarqué les destinées parallèles de Perec (1936-1982) et Truffaut (1932-1984), et leur croisement au Moulin d'Andé (voir sa contribution dans Portrait(s) de Georges Perec).

La coïncidence de la communication du café Victor avec le Regard de la Lanterne dans le quartier de naissance de Perec m'a rappelé le café Jungs dans un épisode de Barnaby, où l'inspecteur et son adjoint Jones rencontrent le suspect Tristan. Jean-Pierre Le Goff étant né en face de l'île Tristan, ceci m'a motivé pour une nouvelle vision de l'épisode, où j'ai capturé cette image sur laquelle on distinge derrière Barnaby les lettres UNG à la terrasse du café, et juste au-dessus de la tête de Jones un Jungs en miroir sur la vitre.

Une dernière chose, très numérique, réunissant Victor, Rose+Croix, pérégrinations chthoniennes...
En ce mois de janvier, Robert Rapilly a annoncé sur la Liste Oulipo une belle découverte. Presque tout un chacun connaît la date de naissance de Victor Hugo grâce aux fameux vers :
Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte,
Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte, (...)
Or Hugo avait d'abord précédé ces premiers vers des Feuilles d'Automne par un quatrain, biffé (ou rayé, rayado) de sa main sur le manuscrit original :
Sans doute il vous souvient de ce guerrier suprême
Qui, comme un ancien dieu, se transforma lui-même,
D'Annibal en Cromwell, de Cromwell en César.
- C'était quand il couvait son troisième avatar.
Et ces 4 vers, dont on peut facilement vérifier l'exactitude, ont tels quels la gématrie 1802.
Au-delà de l'exploit de Robert, formidablement inspiré pour aller dénicher cette perle, j'ai été sidéré de son annonce au moment même où je me réintéressais aux inscriptions du prétendu tombeau de Christian Rosencreutz. Si nul être sensé n'ira supposer que Hugo ait composé sciemment ses vers de valeur 1802, il est assez probable que les inscriptions constituent un chronogramme, désignant 1484, année du décès de Rosencreutz, via la gématrie, explicitement utilisée dans les manifestes rosicruciens.
Le bon sens est cependant rarement de mise dans les croyances humaines, et je m'avoue incapable d'imaginer ce que certains pourraient faire du quatrain hugolien sachant que des milliers de personnes n'ont pas considéré comme absurdes les affirmations de L'Enigme sacrée, reprises par Da Vinci Code, présentant Valentin Andreae, auteur des manifestes Rose+Croix, et Victor Hugo comme Grands Maîtres du Prieuré de Sion.
D'autant que le quatrain compte 154 lettres, valeur latine de Rosencreutz, né en 1378, mort en 1484, années multiples de 106 comme 1802...

Je laisse Hugo conclure :
La spirale est profonde, et quand on y descend,
Sans cesse se prolonge et va s’élargissant.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

DEFENSEURS DU PARACELSISME

DORN - DUCLO - DUVAL

Stéphane FEYE (Éd.)






Le succès de Paracelse – Dorn – Trithème encourage les éditions BEYA à poursuivre la voie annoncée de renouveau des études « paracelsiques »

Nous offrons ici la traduction française de trois traités apologétiques rédigés en latin, dont les auteurs sont contemporains (décédés à la fin du XVI° siècle) :

- L’Avertissement à Eraste de Gérard Dorn ;

- L’Apologie de l’argyropée et de la chrysopée contre Thomas Eraste de Gaston Duclo ;

- La Vérité et l’ancienneté de l’art chimique de Robert Duval.

Nous affirmons que, sous leurs formes pourtant très diverses (polémique, juridique, érudite), les trois ouvrages se complètent admirablement et révèlent, de plus, de véritables philosophes.

Les lecteurs, tant les avertis que les néophytes, se verront préciser les notions fondamentales de l’éternelle science sacerdotale, de la sainte alchimie jusqu’à la transmutation métallique, en passant par les grands poètes et les prophètes de tous les temps.


EN PRATIQUE :

TOME 14 de la collection BEYA
VOLUME : 249 pages
FORMAT : 163 mm x 230 mm
COUVERTURE : cartonnée cousue
ICONOGRAPHIE: illustrations en noir et blanc : 4
ISBN : 978-2-9600575-9-1
PRIX : 29,00 € TVA incluse

DATE DE PARUTION : septembre 2013

DIFFUSION ET DISTRIBUTION

- France : ARCHÈ EDIDIT
- Belgique - Luxembourg: BEYA EDITIONS
- Autres Pays : nous consulter


www.beyaeditions.com
info@beyaeditions.com

blogruz a dit…

J'ai publié le commentaire publicitaire précédent pour diverses raisons :
- les Défenseurs Dorn-Duclo-Duval forment un D-D-D-D, ou 4444.
- ce Duclo dont j'ignorais l'existence est un nom correspondant aux notes DGCEA, et mon billet en cours d'écriture concerne ces anagrammes du cycle des quintes CGDAE.
- le commentaire a été posté à 21:13.

blogruz a dit…

Si la Toile ne donnait aucun "Claude Exquier" en 2011, elle en connait un aujourd'hui, un avocat suisse au 18e siècle.