Il y a 10 ans jour pour jour, je me réveillais avec en tête l'idée que le 4/4/44 était exactement aux 4/5es de la vie de Jung, dont je dus consulter la fiche Wikipédia pour retrouver les dates exactes de naissance et de mort.
La vérification de cette intuition me conduisait à créer quelques jours plus tard ce blog où je déverse depuis ma prose, avec des moments d'azur et des moments de blues...
Des moments d'azur lorsque des pans disparates de mes recherches se réunissent...
Des moments de blues en constatant que, même si j'arrive à réunir tous les pans du bizarre, ils constitueront toujours un mur infranchissable...
Mais l'azur et le blues, n'est-ce-pas la même chose?
Bref, pour ce 264e billet j'ai choisi un titre de valeur 264, et aussitôt songé que c'était la valeur de celui de mon roman de 1999, et j'ai trouvé cette anagramme.
Le 1er septembre, marché à Manosque. A l'étal d'un bouquiniste, je repère une auteure française inconnue, Claire Favan. La 4e de couv' de Serre-moi fort ne m'inspire guère, encore un tueur en série, mais le numéro de ce Pocket, 16810, me séduit.
1681 m'est évocateur, d'abord par une formule d'Euler,
n2 + n + 41,
qui produit 40 nombres premiers pour n de 0 à 39. Ensuite, n=40 donne
1600 + 40 + 41 = 1681 = 41 x 41.
La somme des 40 nombres premiers obtenus par n de 0 à 39 est 22960, moyenne
22960/40 = 574 = 41 x 14.
Le fait d'avoir une somme multiple de 40 et 41 est lié aux propriétés de l'équation, mais un amateur de numérologie bachienne se réjouit de ce produit de deux "nombres bachiens" essentiels, 14 (BACH) et 41 (JSBACH).
En commençant une spirale d'Ulam par le nombre 41, ces 40 nombres premiers y forment une remarquable diagonale.
Par ailleurs 1681 peut apparaître par l'une des "erreurs" de la stèle de Marie de Blanchefort, avec ce 17 janvier MDCOLXXXI. Ci-contre la stèle avec les lettres NIGLA entourées, tirée de Apocalypse, le Pocket n° 14132, commenté ici.
Selon l'alphabet latin,
NIGLA = 13+9+7+11+1 = 41.
A remarquer que l'équation
n2 + n + 17
produit 16 nombres premiers, de 17 à 257, avec n de 0 à 15, et que l'autre nombre de la stèle, 67 (ans), est obtenu par une autre équation de ce type,
n2 + n + 11,
qui produit 10 nombres premiers de 11 à 101, avec n de 0 à 9. Avant cela, on ne trouve que les coefficients 2, 3 et 5 qui produisent respectivement 1, 2, et 4 nombres premiers. Ce sont les seules équations n2 + n + a produisant a-1 entiers.
une mine d'Euler relue, déni menu
J'ai bien sûr lu Serre-moi fort, et d'abord remarqué sa structure, en 3 parties de 18-23-18 chapitres, plus un épilogue. 18 et 23 forment un couple bachien, avec 1-8-2-3 = A-H-B-C, et 18+23 = 41 = JSBACH.
Pas de musique dans le roman. La première partie débute en 1994 avec la disparition de Lana Hoffmann, qui anéantit dans un premier temps ses parents, tandis que son frère Nick, 17 ans, se révèle un vrai chef de famille en s'occupant des siens tout en menant de brillantes études. Ses parents arrivent à surmonter leur détresse en créant un groupe de proches de personnes dont la disparition s'est produite dans des circonstances proches du cas de Lana.
La dernière ligne de cette partie révèle que c'est Nick qui a tué sa soeur.
Deuxième partie. 10 ans plus tard, débutant par la découverte d'un charnier dans une grotte, avec plus de 20 corps dans un remarquable état de conservation, dont Lana, la victime la plus ancienne.
L'enquêteur principal est Adam Gibson, lequel vient de perdre sa femme, après une longue maladie, et dont les enfants, deux ados frère et soeur, ne lui pardonnent pas d'avoir eu une maîtresse dans la dernière phase de la maladie de sa femme.
L'enquête piétine, et Adam victime d'une terrible agression sombre dans un état dépressif tel qu'il doit être interné.
Troisième partie. Adam est précisément interné dans l'établissement où Nick, devenu psychiatre, officie. En voulant terriblement au flic qui l'a privé de son sanctuaire, il l'assomme de médocs et lui dit tout de ses crimes anciens, présents, et à venir. Sa suprême vengeance va être de tuer la fille d'Adam...
Je n'en dis pas plus...
Avant la lecture du roman j'ai continué à cogiter sur le numéro du Pocket, et vu que 16810 voyait se mélanger 110 et 68, des doubles Fibos (55 et 34) qui me sont essentiels, à cause du poème de Perec pour les noces de ses amis Noureddine Mechri et Kmar Bendana, composés de strophes formées alternativement des lettres des noms des deux mariés, incorporant une à une les lettres du conjoint.
J'y suis revenu ici, à l'occasion de mon propre mariage, ce qui me permit une formidable découverte, bien que j'eusse cru avoir étudié ce poème sous toutes les coutures depuis belle lurette.
Dans ses brouillons, Perec a noté les contingents de lettres permises pour chacune des 10 strophes composant le poème, et en regard de ces calculs les nombres de la suite de Fibonacci doublée, 2-2-4-6-10-16-26-42-68-110, avec 68 pour la dernière strophe KMAR et 110 pour la dernière strophe NOUR. Or les contingents premiers pour les strophes KMAR et NOUR sont
KMARBEND = 68, et
NOUREDIMCH = 110.
Rien ne permet de voir comment, ni même si, ces nombres ont été exploités, ni dans les brouillons, ni dans le poème achevé.
J'ai donc pensé à ceci ce 1er septembre, et me suis avisé dans un premier temps que c'était le 110e anniversaire de mon père, né le 1er septembre 1908, ce qu'il est prévu depuis 1998 d'exploiter dans Novel Roman.
Dans un second temps, je me suis avisé que j'ai 68 ans, depuis le 6 juillet dernier. J'ai tendance à m'imaginer (légèrement) plus jeune que mon âge réel...
Calculer en années est très approximatif, et il est loisible d'établir que mon père avait vécu 15283 jours à ma naissance, ce qui détermine deux dates dorées:
- celle dont 15283 est la petite section d'or, 40011 jours, ce qui correspond au 19 mars 2018;
- celle dont 15283 est la grande section d'or, 24728 jours, ce qui correspond au 15 mai 1976.
La première date correspond environ à ma décision de reprendre l'écriture de Novel Roman. Le 4 février, j'ai créé le blog destiné à l'accueillir, le 16 avril j'en ai achevé le premier chapitre, ce n'est qu'après avoir écrit 4 chapitres que j'ai pensé pouvoir aller au bout, et aujourd'hui je ne vois pas ce qui m'en empêcherait.
Je ne crois pas que je faisais quelque chose d'essentiel en mai 76. Je remarque que Claire Favan est née le 12 avril 76, qui était cette année le lundi de la Semaine sainte (Pâques tombait le 18 avril).
Je remarque aussi ses initiales, CF. J'ai commencé à étudier sur le billet S.N.C.F.Q.D. diverses propriétés de ces deux lettres liées historiquement (gamma et digamma), ce qui m'a conduit à lire divers auteurs d'initiales CF ou FC, comme Caryl Ferey, Cedric Fabre, Fabrice Colin...
16810 a les mêmes chiffres que le nombre d'or avec 4 décimales, 1,6180(3398...). Par ailleurs, 55/34 est la plus petite fraction donnant, arrondie, les 3 premières décimales, avec donc
110/68 ≈ 1,618, et on a encore l'inverse
68/110 = 0,6181.....
Mon père s'appelait Maxime, mon réel prénom selon l'état civil est Rémy.
MAXIME = 65
REMY = 61
Le nombre clé de Novel Roman était en 1998 171, avec un partage privilégié, 81-90, correspondant à ELISABETH-LOVENDALE. Il s'y est adjoint depuis le partage doré 65-106, correspondant notamment à SELON-SUIVANT, l'erreur que Ricardou et moi-même avons commise à quelques mois d'écart.
Plusieurs points du Novel Roman de 2018 sont liés à un autre couple doré, 99-61, correspondant à NOUVEAU ROMAN, et parmi les suites de type Fibonacci, j'ai cru repérer que les termes de rangs 7 et 8 concernaient plus particulièrement mon parcours. Il se trouve que 61 et 99 sont les termes de rangs 7 et 8 de la seule suite dont 7 et 8 sont des termes consécutifs:
1-7-8-15-23-38-61-99-...
En mai dernier, j'ai noté le jour quelque part, mais ne sais plus où, il m'est venu, en conduisant,
RE-MY = 23-38.
Ré-my est donc bien l'initiateur du Roman Nouveau...
A propos des 110 ans (virtuels) de Maxime, et de mes 68 ans mal assumés, je constate que leur moyenne est
89 = SCHULZ (et aussi RICARDOU).
Le numéro Pocket 16810 m'a incité à chercher à quoi correspondaient des numéros "intéressants" dans la collection.
Ma première recherche a été pour le numéro 10665 (pour 106-65 partage doré de 171), et c'est Pharricide de Vincent De Swarte, qui me fait d'abord penser au fratricide (ou sororicide) du numéro 16810.
Le passage au Gématron m'apprend que auteur+titre = 273, l'un de mes nombres fétiches (21x13, et valeur de l'hébreu arba', "quatre").
Les valeurs se découpent en outre en
VINCENT DE SWARTE = 182
PHARRICIDE = 91 (moitié de 182)
Une découverte qui m'émerveille encore est que la valeur des 6 premiers nombres de Fibonacci en anglais est 273, 13x21, les deux nombres suivants de la suite, avec d'autres relations éplapourdissantes. Je ne retiens ici que le découpage
ONE+ONE+TWO+THREE = 34+34+58+56 = 182
FIVE+EIGHT = 42+49 = 91.
J'ai aussitôt commandé le roman.
Sur la page où je l'ai découvert sont aussi donnés les numéros voisins, et j'y découvre Marie-Tempête, de Janine Boissard (n° 10659). J'ai conté ici comment l'erreur d'un programme TV
m'avait fait découvrir le téléfilm adapté du roman (le résumé de la seconde partie de ce téléfilm adapté du roman de Gilbert Sinoué, essentiel dans ma découverte du 8 septembre 2008, est en fait celui de Marie-Tempête). L'un des personnages de Janine Boissard se nomme Noël Morvan, alors que mes jeux sur les anagrammes de Novel Roman m'avaient conduit en 1998 à forger les noms Noël Navrom et Morvan Léon.
J'ai découvert ceci juste après avoir terminé le chapitre 15 contant l'histoire de Morvan Léon, l'enfant sauvage. Tiens, Vincent de Swarte, mort à 43 ans, a aussi écrit une histoire d'enfant sauvage, Requiem pour un sauvage.
Ensuite, j'ai cherché le numéro 11068, et c'est Les Loups-garous dans leur jeunesse, recueil de nouvelles de Michael Chabon, dont j'ai déjà lu Les Extraordinaires Aventures de Kavalier & Clay.
Il faudra sans doute le lire aussi, en attendant j'y remarque le titre d'une nouvelle, Le fils du loup (les enfants sauvages sont aussi appelés "lupins", terme utilisé dans mon chapitre, avec évidemment une pensée pour Arsène).
J'ai cherché divers autres numéros, parfois sans succès, et je n'en mentionnerai qu'un autre, 10766, correspondant à un jeu en hébreu qui sera abordé dans mon chapitre 17. Les premiers mots du Décalogue sont Je suis Yahvé ton Dieu, en hébreu
ANKY YHWH / ALHYK = 107 / 66, couple doré.
Alors le Pocket n° 10766 est Commandeur du sucre, de Raphaël Confiant, avec cette curiosité que les deux substantifs du titre sont
COMMANDEUR / SUCRE = 107 / 66.
La couverture ci-contre empruntée à cette page y a d'ailleurs pour titre commandeur_sucre.
C'est un récit se passant en Martinique, où Raphaël Confiant auteur d'un Eloge de la Créolité accorde une place importante à la langue créole. Mon chapitre 15 me faisait citer un extrait de catéchisme créole.
A propos du nombre 173 (107+66), mes personnages évoqueront au chapitre 17 les rangs latins 17-3 des lettres R-C par lesquelles se reconnaîtraient les membres de la Rose+Croix. Ce sont aussi les initiales de l'auteur de ce récit créole.
Je suis en train de lire Unité Alphabet, un roman de 2007 de Jussi Adler-Olsen (né 27 jours après moi) qui vient juste de paraître en français, et c'est tôt ce matin, peut-être vers l'heure où j'ai eu ma révélation jungienne il y a 10 ans jour pour jour, que j'ai pris conscience d'un possible rapport.
Je l'ai acheté parce que sa première partie se passe en 1944. Bryan et James, en vol de reconnaissance vers Dresde, sont abattus en janvier 44. Ils survivent en se faisant passer pour des officiers SS devenus fous, et sont internés dans un hôpital psychiatrique où ils sont surveillés de près, les simulateurs étant nombreux. Ce n'est qu'en novembre que Bryan réussit à s'évader, seul, James s'étant en quelque sorte sacrifié pour lui. Ce n'est que tardivement qu'on apprend son nom complet, Bryan Underwood Scott Young (l'acronyme ferait BUSY)...
Il me reste à lire la seconde partie.
Note ultérieure:
En reprenant le livre je vois que les noms des deux aviateurs apparaissaient une fois au début, sous les formes Bryan Young et James Teasdale.
Dans la seconde partie, nous retrouvons Bryan 28 ans plus tard, en 1972, vivant maintenant sous le nom Bryan Underwood Scott. La valeur de ce nom est 256, ou 4.4.4.4.
J'avais envisagé ici cette valeur pour le docteur Haemmerli, sous la forme
THEODOR HÄMMERLI-SCHINDLER = 256.
La profession de Bryan lui fournit l'occasion d'aller en Allemagne, pour la première fois depuis 1944. Il avait dès 1945 payé des détectives pour enquêter sur une éventuelle survie de James, sans résultat. Un hasard lui permet de découvrir une piste à Fribourg, et de retrouver finalement James, dont la raison vacillante l'avait conduit à haïr Bryan de s'être évadé sans lui, mais tout finit bien (James avait jadis sauvé la vie de Bryan, au péril de la sienne).
Ma curiosité pour le nombre 171, somme des 18 premiers nombres, m'a fait dénombrer les partitions de ces 18 nombres en deux groupes de sommes 65 et 106. Il y a en tout 3083 possibilités, se répartissant en
4-14 : 1
5-13 : 82
6-12 : 525
7-11 : 1109
8-10 : 974
9-9 : 352
10-8 : 40
Je n'en tire rien, mais livre ces résultats dans l'espoir d'éveiller quelque chose ailleurs...
J'ai fait les dénombrements correspondant à deux groupes de sommes 81 et 90 (Elisabeth Lovendale), et trouvé 4367 possibilités...
C'est un récit se passant en Martinique, où Raphaël Confiant auteur d'un Eloge de la Créolité accorde une place importante à la langue créole. Mon chapitre 15 me faisait citer un extrait de catéchisme créole.
A propos du nombre 173 (107+66), mes personnages évoqueront au chapitre 17 les rangs latins 17-3 des lettres R-C par lesquelles se reconnaîtraient les membres de la Rose+Croix. Ce sont aussi les initiales de l'auteur de ce récit créole.
Je suis en train de lire Unité Alphabet, un roman de 2007 de Jussi Adler-Olsen (né 27 jours après moi) qui vient juste de paraître en français, et c'est tôt ce matin, peut-être vers l'heure où j'ai eu ma révélation jungienne il y a 10 ans jour pour jour, que j'ai pris conscience d'un possible rapport.
Je l'ai acheté parce que sa première partie se passe en 1944. Bryan et James, en vol de reconnaissance vers Dresde, sont abattus en janvier 44. Ils survivent en se faisant passer pour des officiers SS devenus fous, et sont internés dans un hôpital psychiatrique où ils sont surveillés de près, les simulateurs étant nombreux. Ce n'est qu'en novembre que Bryan réussit à s'évader, seul, James s'étant en quelque sorte sacrifié pour lui. Ce n'est que tardivement qu'on apprend son nom complet, Bryan Underwood Scott Young (l'acronyme ferait BUSY)...
Il me reste à lire la seconde partie.
Note ultérieure:
En reprenant le livre je vois que les noms des deux aviateurs apparaissaient une fois au début, sous les formes Bryan Young et James Teasdale.
Dans la seconde partie, nous retrouvons Bryan 28 ans plus tard, en 1972, vivant maintenant sous le nom Bryan Underwood Scott. La valeur de ce nom est 256, ou 4.4.4.4.
J'avais envisagé ici cette valeur pour le docteur Haemmerli, sous la forme
THEODOR HÄMMERLI-SCHINDLER = 256.
La profession de Bryan lui fournit l'occasion d'aller en Allemagne, pour la première fois depuis 1944. Il avait dès 1945 payé des détectives pour enquêter sur une éventuelle survie de James, sans résultat. Un hasard lui permet de découvrir une piste à Fribourg, et de retrouver finalement James, dont la raison vacillante l'avait conduit à haïr Bryan de s'être évadé sans lui, mais tout finit bien (James avait jadis sauvé la vie de Bryan, au péril de la sienne).
Ma curiosité pour le nombre 171, somme des 18 premiers nombres, m'a fait dénombrer les partitions de ces 18 nombres en deux groupes de sommes 65 et 106. Il y a en tout 3083 possibilités, se répartissant en
4-14 : 1
5-13 : 82
6-12 : 525
7-11 : 1109
8-10 : 974
9-9 : 352
10-8 : 40
Je n'en tire rien, mais livre ces résultats dans l'espoir d'éveiller quelque chose ailleurs...
J'ai fait les dénombrements correspondant à deux groupes de sommes 81 et 90 (Elisabeth Lovendale), et trouvé 4367 possibilités...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire