23.5.11

Autun opportun levain

Robert Rapilly est l'un des as de la liste oulipo, grand spécialiste du palindrome, et mieux du palindrome gématrique, dont la numérologie soit aussi palindrome.
Il est l'auteur de la prodigieuse découverte du quatrain de Victor Hugo de gématrie 1802, quatrain que Hugo avait d'abord placé au début de Feuilles d'automne, juste avant les fameux vers
Ce siècle avait deux ans, Rome remplaçait Sparte,
Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte…
Robert assure une rubrique de poésie à contrainte dans Les Nouvelles d'Archimède, revue de l'Université de Lille, et sa dernière livraison, en ligne ici, est consacrée à la gématrie, où il donne les détails de cette découverte, ainsi que quelques poèmes gématriques (dont mon Mispar).

Récemment, Robert s'est mis au palindrome phonétique, avec bonheur, et a proposé le 26 avril à la liste deux palindromes de valeurs 888 et 666.
Ceci m'a fait songer à une analyse d'un évêque du 19e siècle, qui avait vu l'Apocalypse de Jean constituée de segments comptant 888 ou 666 lemmes, en référence à Jésus (IHSOUS = 888 en grec) et Satan (le fameux chiffre de La Grande Bête, TO MEGA ThÊRION). Je n'ai jamais vu le détail de l'analyse, la notion de "lemme" semblant par ailleurs propice aux accommodations...
Y repenser m'a rappelé que nous vivons aujourd'hui une ère où bien des textes rares sont désormais accessibles en quelques clics, et j'ai cherché "Mgr Devoucoux" sur GoogleBooks. Pas trouvé sa lecture de l'Apocalypse, mais ses Introduction et notes (1846) à Histoire de l'antique cité d'Autun.
Il s'agit d'une réédition d'un texte probablement estimable d'un chanoine du 17e siècle, mais celui-ci n'aurait pas obligatoirement donné son imprimatur aux additions du monseigneur, pour lequel la moindre mesure d'un monument, le moindre détail architectural, procède d'une démarche liée à la gématrie hébraïque...
Devoucoux semble avoir une bonne connaissance de la langue, mais l'usage qu'il en fait est des plus discutables. En effet on peut éventuellement, dans le cadre de la croyance en la divinité de cette langue, considérer certaines égalités numériques entre mots ou expressions et en tirer des propositions exégétiques diverses. Devoucoux semble plutôt partir d'idées arrêtées sur certains nombres, et y adapter la langue en forgeant des expressions artificielles correspondant à ces nombres...

Je n'y insiste pas, et on trouve une démarche identique chez maints auteurs, si sûrs d'eux que rien ne semble les arrêter dans leurs élucubrations. Néanmoins je m'astreins souvent à suivre ces fantasmes, me souvenant que j'ai pu jadis avoir des certitudes du même type, qui ont parfois débouché sur quelque chose.
Bref j'en viens à la pépite découverte sous la mitre de l'évêque. Parmi mes obsessions il y a le nombre d'or, en lequel j'ai pu voir un temps une harmonie objective, puis que j'ai plutôt admis comme un facteur de synchronicité, mais je ne me sens guère apte à théoriser mon expérience.
Toujours est-il que je me suis senti conforté dans mes obsessions lorsque j'ai pu associer la suite de Fibonacci à ma découverte du motif 4-1 dans la vie de Jung autour du 4/4/44, le jour qu'il indique être celui de l'échange de sa destinée avec celle de son médecin Haemmerli, avec les valeurs numériques Haemmerli/Jung = 84/52 = 21/13, nombres de la suite de Fibonacci.
La relation m'a semblé prendre toute sa signification lorsque je me suis avisé que 84 et 52 étaient aussi les valeurs des noms hébreux Enoch et Elie, les deux personnages de l'Ancien Testament qui n'ont pas connu la mort terrestre, ce qui leur a valu un rôle important dans la littérature mystique ultérieure.
Je ne connaissais pas de texte mentionnant ensemble leurs deux valeurs numériques, ce que j'aurais utilisé puisque je suis conscient que, si tout un chacun peut vérifier simplement HAEMMERLI=84, JUNG=52, la relation Enoch/Elie est peu accessible sans connaître l'alphabet hébreu. Et voici que page 63 de son introduction Devoucoux associe un 4-4-4-4 à Enoch et Elie, et donne immédiatement leurs valeurs numériques :Devoucoux a scindé la valeur 52 d'Elie en 46+6, pour des raisons que je n'ai guère envie de démêler tant sa démarche tient pour moi du délire.
Les 4 notions sont établies à partir de 4 expressions de même valeur 532, la "prunelle de l'oeil", bat 'ayin, étant la seule apparaissant dans la Bible. Les autres, "en balance", "cheval ailé", "vierge-épi", sont des constructions tout à fait gratuites.
La prunelle de l'oeil devient une "union des mains" car, si je comprends bien, chaque main compte 14 phalanges, 28 pour les deux mains; en ajoutant 5 ongles, 14+5 = 19, et 19x28 = 532.
Devoucoux considère d'autres correspondances, mais c'est ce produit 19x28 qui semble le plus significatif car correspondant au cycle astronomique unissant le rythme lunaire (19 ans du cycle de Méton) et le rythme solaire (les années revenaient dans le calendrier julien à l'identique tous les 28 ans).

Et couronnant ces 4 équivalences vient bien sûr Jésus, dont le nom hébreu aurait pour valeur développée 532 :
Ieshv'a = 386, formé de 4 lettres s'écrivant
iod-shin-viv-'ain = 20+360+22+130 = 532.
Ceci est encore discutable, mais je suis ébahi d'autres échos avec la guérison de Jung, après le début de sa convalescence donné au 4/4/44.
Jung a ciselé en 1950, à l'occasion de son 75e anniversaire, la fameuse pierre de Bollingen commémorant sa guérison, à laquelle il a associé le dieu Telesphoros, fils d'Esculape, figurant au centre de la pierre :
Je distinguai, dans la structure naturelle de la pierre, un cercle, sorte d'oeil qui me regardait. Je le ciselai lui aussi et, au centre, plaçai un petit homme : c'est la poupée qui correspond à la pupille de l'oeil, sorte de Cabire ou de Télesphore d'Esculape.

Ma vie..., chapitre La Tour

Jung a ciselé un soleil et une lune de part et d'autre de l'enfant divin.
J'ai vu très tôt que 1480 est la valeur du nom grec τελεσφορος (Telesphoros), scindé par Jung en τελες et φορος au début des quadrants latéraux de son mandala, au-dessus des symboles du soleil et de la lune, 1480 étant aussi la valeur du grec Christos, "Christ", traduisant le mashiah hébreu, "oint", "Messie".
La pierre offre ainsi un triple écho (prunelle, soleil-lune, nom divin) à la construction de Devoucoux, qui deviendra éventuellement quadruple car sur un mur de la tour voisine Jung sculptera plus tard un Pégase, plutôt dépourvu d'ailes mais identifié par l'inscription grecque voisine, et "expliqué" par une lettre à un ami, le docteur Tauber.
Ceci offre encore des échos synchronistiques :
- la seule illustration trouvée pour ce Pégase vient du message 1950 du forum Unus Mundus, 1950 qui est l'année où Jung a gravé la pierre;
- j'ai donné dans ce billet l'immatriculation d'une Mercedes du ténor Richard Tauber, 25088, ou 4 fois 6272, le nombre de jours vécus par Jung avant le 4/4/44;
- je rappelle que le nombre 6272 me fascinait depuis longtemps, en tant que gématrie idéale des 112 mots des 14 vers en 4 strophes (6272 = 112x14x4) d'un sonnet de Perec, dont j'ai proposé en 2006 une anagramme encore mieux équilibrée; parce que l'outil utilisé incluait le calcul des sections d'or, celles-ci harmonisaient mon sonnet, découpant notamment sa gématrie en 2396-1480-2396, et la reconnaissance de la valeur de Christos avait orienté ma composition; j'en ai rendu compte peu après ma découverte, avec un rebondissement lorsque j'ai appris l'existence de dames JUNG au 1480 de la voie du Pré de l'Escale, un jour où je pensais particulièrement à une récente découverte : mon sonnet représentait le 5e arrangement des mêmes lettres de valeur 6272.

Lorsque j'étudiais la gématrie hébraïque je ne m'intéressais pas au nombre d'or et n'ai donc rien découvert dans cette voie, sinon que le nombre unitaire d'une relation 4-1 était un nombre de Fibonacci :
L'arbre de la connaissance du bien et du mal = 932 = 4x233;
L'arbre de vie = 233, 13e terme de la suite de Fibonacci.
Lorsque les relations dorées me sont devenues obsessionnelles, et après avoir découvert la relation Elie-Enoch, je me suis demandé s'il existait d'autres couples dorés de mots hébreux significatifs, et n'ai pas vu grand-chose, mais je n'ai plus comme il y a 20 ans en tête des centaines d'équivalences gématriques.
Ma seule trouvaille a été le couple soleil-lune, 'hama et levana, 53-87, partage idéal de la somme 140, remarquable puisque le soleil est associé à l'or, mais je n'ai pas songé alors à un résultat donné sur ce billet, à propos des seules dates précises connues sur la maladie de Jung en 1944 :
- 11 février, fracture du pied de Jung, expédié à la clinique de Haemmerli;
- 4 avril, lever de Jung et alitement de Haemmerli, 53 jours après le 11/2;
- 30 juin, mort de Haemmerli (très voisine de la sortie de l'hôpital de Jung), 87 jours après le 4/4.
Il est fabuleux de voir à quel point ceci peut correspondre aux symboles gravés sur la pierre :Jung a gravé en gros les symboles du soleil de la lune, à gauche et à droite, de part et d'autre de Télesphore symbolisant sa guérison du 4/4/44. Les 5 autres symboles des planètes de l'antiquité sont présents, en plus petit, formant un quinconce autour de l'enfant divin qui porte lui-même le symbole de Mercure, messager des Dieux.

A remarquer que Jung a pu penser un temps donner une preuve expérimentale de la synchronicité, avec une étude des thèmes astrologiques de 180 couples, issus d'un premier échantillon. Les résultats montraient une remarquable prédominance de la conjonction symbolique Lune (F) - Soleil (M), tout à fait significative d'après le mathématicien consulté par Jung.
Jung a voulu vérifier ces résultats sur d'autres échantillons, qui n'ont pas du tout confirmé cette prédominance significative... Il semble attribuer à la synchronicité elle-même la composition remarquable du premier échantillon (son exposé dans Synchronicité et Paracelsia n'est guère clair), par un tour du trickster ou fripon divin, souvent identifié à Mercure.

La translittération de 'hama levana HME LBNE m'évoque AWBME NWBL, Obama-Nobel, et la relation en couverture du dernier volet très récemment paru du Code secret de la Bible, découverte en écrivant mon dernier billet. J'y indiquais que que les valeurs des deux mots correspondants en hébreu étaient 54-88, en rapport d'or, ne pensant aucunement alors à 53-87 de 'hama-levana, ni aux 53-87 jours de Jung (qu'on pourrait transformer en 54-88 en incluant le jour de départ).
J'y observais que le dernier verset impliqué contenait le mot LBN, "brique", renversement de NBL, et je m'étais politiquement correctement abstenu de signaler que le sens premier de LBN est "blanc", et qu'il était assez logique qu'un NBL, rebours de LBN, ait échu à un "noir".
De fait il est probable que le nom de ces briques soit issu de leur teinte, et levana signifie "blanche" ('hama "chaude").
L'antagonisme essentiel blanc-noir a trouvé pour moi une expression idéale dans les mots hébreux "argent-sable", découverte dans la foulée des dames Jung au 1480 (dont le nom a désormais disparu de la boîte aux lettres).

J'ai depuis feuilleté plus avant le nouveau livre de Drosnin, dont un seul détail a retenu mon attention, l'autre prix Nobel de la Paix attribué récemment à un Américain, celui d'Al Gore en 2007.
Comme dans le cas d'Obama, Drosnin découvre des grilles où Gore-Nobel croise avec Paix, mais ce qui a attiré mon attention est l'écriture de (Al) GORE en hébreu, GWR :
אל גור
Je me suis demandé si le renversement RWG ne correspondrait pas à (Nicolas) ROEG, et c'est bien le cas :
ניקולס רוג

J'avais trouvé malin d'intituler mon billet sur Don't Look Now du palindrome ERGO ROEG GEOR OGRE de 4-4-4-4 lettres. J'avais songé au mot GORE, qui ne correspond guère au film dont une seule scène, finale, peut être éventuellement jugée gore.
En partie pour justifier ce palindrome, j'avais relié le Chaperon ROuGE, présent dans le film, au capuchon de Télesphore et à l'OGRE.
J'ai trouvé depuis une page anglaise sur le film, s'achevant sur Little Red Riding Hood could just as easily turn out to be the Wolf. "Dans un univers aussi arbitraire, le petit chaperon rouge peut facilement se transformer en loup."
J'ai trouvé cette page en croisant ma recherche avec San Nicolò, nom dans le film de l'église en réfection où travaille Donald Sutherland. Je pensais à un private joke du réalisateur Nicolas (Roeg), mais le film a bien été tourné à San Nicolò dei Mendicoli, alors en rénovation.
Je trouve sur cette page : San Nicolò est aussi nommée la Pointe des Loups, parce qu'au XIVe siècle elle était marécageuse et fréquentée par des loups.

Gore Roeg Ogre, le Chaperon Loup, le bon Nobel (jadis attribué à un Lwoff), et le palindrome phonétique 888 de Robert était justement construit à partir de mon nom, lu à rebours "loup chimère" :
Rémi45 Schulz89 : haie2336 l12'art39 [244]
énumère81 oud40 et25 part55 [201]
frappé62 doux64, rémunère99 [225]
à1 l12'ouest80 loup64 chimère61. [218]

[Ce texte de 72 lettres a une somme gématrique de 888.]

Incidemment, je crois que mon premier quatrain palindrome phonétique a été composé sur le nom de Robert, en 2003.

Je connaissais bien le cycle de 532 ans, au terme duquel les dates de Pâques reviennent à l'identique dans le calendrier julien, associé par Devoucoux au nom Jésus (et bien avant lui associé par le cabaliste Aboulafia au nom divin Adonaï). Je lui voyais un côté palindrome car une de ses composantes est les 19 ans du cycle de Méton, correspondant à 235 lunaisons. J'ai développé ceci ici, à propos du poème en 76 vers composé par Georges Perec (nom doré 76/47) à l'occasion du mariage de ses amis Nour et Kmar ("lumière" et "lune"), en remarquant que 532 est multiple de 76 et 235 de 47 (mais pas que les chiffres 2-3-5 composant ces nombres sont des termes de la suite de Fibonacci, ce à quoi j'ai attribué une certaine importance dans de récents billets).

Le cycle de 532 ans m'a été rappelé lors de ma lecture d'un roman de Michael Crichton, Les Prisonniers du temps, où ces prisonniers sèment l'émoi dans le monde de 1357 en disparaissant miraculeusement le soir du 8 avril, qui était le début de la nuit de Pâques dans le calendrier julien. Je savais que c'était aussi la date julienne de la naissance de Hitler, 532 ans plus tard.
Je fus surpris en visionnant l'adaptation du roman, où la date de retour des voyageurs temporels a été déplacée au 4 avril.

A propos de 4 avril et de voyage temporel, je rappelle que j'ai vu plusieurs équilibres dorés dans l'affaire de Marina Sloty, notamment entre le 21 janvier 1959, annonce d'expériences atomiques, et leurs dates le 7 mars et le 4 avril, 45 et 28 jours plus tard.
Le cas était remarquable du fait du partage doré de ces 73 jours autour du 7/3. L'actuel contexte hébreu me rappelle que 73 est la valeur du mot 'hokma, "sagesse", qui est aussi le nom de la seconde des sefirot cabalistiques, dont une lecture exégétique courante est l'anagramme ko'h ma, "pouvoir du Ma" (Mi et Ma, "Qui" et "Quoi", couple de concepts cabalistiques).
Les valeurs de ces deux mots ko'h-ma sont 28-45.

La relecture de ma page s'intéressant aux rythmes calendaires m'a rappelé un cycle de 11 ans correspondant assez exactement à 136 lunaisons ou 4018 jours, soit 574 semaines, ce qui a pour conséquence un retour fréquent des mêmes dates de Pâques tous les 11 ans.
136 est la somme de 84 et 52, Enoch-Elie (ou Haemmerli-Jung), à laquelle j'ai déjà associé diverses équivalences, notamment la valeur du nom Ezéchias, roi de Juda qui a reçu une tranche de vie supplémentaire pouvant rappeler le cas de Jung. Je ne crois pas avoir encore mentionné le mot kifoul, "double", KPWL = 136, remarquable car l'atbash le transforme en son renversement, LWPK.
Le dernier billet se concluait par l'analyse de l'ELS Obama-Nobel, s'achevant sur le verset Gn 49,31 mentionnant la grotte de Makfela, traditionnellement vue comme kifoul, "double", avec une cavité correspondant au tombeau des Patriarches et de leurs épouses, et une autre cachée abritant les dépouilles d'Adam et Eve.
Le couple NBL-LBN multiplement évoqué me rappelait aussi la première relation par Jung de son expérience de 44, où apparaissaient dans une même phrase les mots Nebel et Leben, "brouillard" et "vie".

84/52 = 21/13. J'ai appris au début du mois de mai la parution remarquable de deux numéros 813 dans la collection Rivages/noir. Ceci ne concernait a priori pas Quaternité, aussi j'y ai consacré ce billet sur mon autre blog, mais mon enquête a révélé quelques points insoupçonnés au départ :
- la duplication du n° 813 est venue d'une maquette partie à la fabrication avec le n° 821, devenu étrangement 813 chez l'imprimeur; aucune erreur simple ne permet de rendre compte de la transformation de 21 en 13.
- le bénéficiaire de cette erreur a été Joseph Bialot, plus ancien membre de l'association 813, et aussi pour moi un auteur concerné par les coïncidences quaternitaires, essentiellement pour sa tétralogie LOUP, publiée en 1999-2001 au Seuil. J'ignorais qu'il avait écrit un 5e volet de cette série, consacré à l'enquête sur l'assassinat de Loup, publié par Rivages/noir en 2007.

Loup, y es-tu ? Je ne crois pas devoir éluder mon passage hier 31 mai au rayon Livres pendant mes courses à l'hyper, et la découverte parmi les Nouveautés de Entre le chaperon rouge et le loup, c'est fini, de Katarina Mazetti, née en avril 44 (le 29).
Cette édition poche est dans la collection Babel, nom qui m'est cher, et y porte le n° 1064, soit 2 fois 532.
J'avais alors déjà mentionné l'association par Aboulafia (dans L'épître des sept voies) du nombre 532 au nom divin Adonaï, mais je n'en avais pas précisé les modalités.
Aboulafia considère l'alef initial d'ADNY comme devant correspondre à 1000, et procède au calcul 1000+64 (DNY) = 1064 = 2 fois 532, le cycle lunisolaire.

Concernant la prunelle, dp m'a appris que les Egyptiens exprimaient les fractions par les différentes parties de l'oeil d'Horus (Oudjat), la pupille correspondant à la fraction 1/4, avec de multiples échos, principalement la répartition en 4 quadrants de la pierre sculptée par Jung, autour de Télesphore qui peut correspondre au quart de vie qui lui aurait été octroyé le 4/4/44 (mais Jung n'en savait en principe rien lorsqu'il a sculpté la pierre).

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bien vu
~
NéO~