7.3.10

4 colombes à la une

à Perec, qui aurait 74 ans aujourd'hui

La réflexion sur le Triangle d'or de Maurice Leblanc m'a mené à une trouvaille qui à première vue m'a semblé relever de mon autre blog : sur la couverture de la première édition en Livre de Poche du roman, en 1968, figure une carte dont UN PLI, anagramme de LUPIN, coupe les lettres INU des inscriptions superposées et Les Pieds d'un personnage de la figure emblématique de la collection, qu'on peut supposer être Lupin, qui dans le roman se nomme Luis Perenna.
Je me suis intéressé à cette couverture grâce à un commentaire de Cherisey dans Circuit, qui feint d'identifier ce pli au méridien 0, or le pli qui traverse les lettres "un" et "I" se superposerait en fait au méridien 1 Ouest, par rapport au méridien 0 de Paris, soit le méridien "un" ou "I"...
Un pli plutôt confidentiel, donc, auquel je n'ai pas vu d'abord de nouvelle raison d'associer Jung; je rappelle que j'en parlais dans le dernier billet parce que la grande question du roman est de savoir ce qui s'est passé le 4 avril 1915.
Or le roman est d'abord paru en 1917, et cette couverture énigmatique est venue en 1968. 17-68, ou 68-17 : je rappelle qu'en années la vie de Jung se schématise en 68 ans (4x17) avant le 4/4/44, et 17 ans après.
Lacassin donne dans l'édition Bouquins pour premières dates de publication du Triangle d'or
Roman en 68 feuilletons quotidiens. "Le Journal", 21 mai-26 juillet 1917.
Malgré un petit problème (il n'y a que 67 jours du 21 mai au 26 juillet), je remarque 68 épidodes en 17, s'achevant le jour du 42e anniversaire de Jung, né le 26 juillet 1875.
A la fin du roman, le 16 avril 1915, Lupin a récupéré 300 millions de francs-or, et les offre à la France avec une petite condition : l'or doit être donné au Tsar bientôt contraint à capituler car ses soldats n'ont plus de balles, et les Alliés ne sauraient résister aux hordes teutonnes regroupées sur un seul front.
Le Triangle d'or était probablement écrit avant sa parution effective; quoi qu'il en soit l'année 1917 vit de grands changements en Russie, l'aigle bicéphale tsariste céda la place à l'ours bolchevique, ou la colombe en l'occurrence car Lénine s'empressa de signer en décembre 17 un armistice avec l'Allemagne, pour se consacrer à consolider sa République Socialiste Fédérative Soviétique de Russie, ou palindrome RSPSR, et à l'étendre à l'ensemble des territoires de l'ancien empire.
De l'or pour l'ours, ou la future URSS... Curieux quand on sait qu'un élément de la fantasque mythologie de Plantard et de ses amis est l'Ormus, confrérie née lors de la brisure de l'ormeteau de Gisors en 1188, qui deviendra ensuite le Prieuré de Sion...
L'emblème de l'Ormus aurait été ceci, dans lequel Plantard soulignait la possibilité de lire les mots "ours" et "or".
J'ai déjà mentionné de multiples coïncidences à propos de cet Ormus, sur cette page et sur ce billet consacré à la collection L'Empreinte-Police, éditée par La Maîtrise du Livre, dont le sigle présente, je m'en avise à l'instant, une étrange similarité avec celui de l'Ormus.
Je rappelle qu'une des coïncidences concernait le mot orma, "empreinte" en italien.
Après tout, puisque je supposais que Plantard et cie auraient essentiellement construit leur manipulation à partir des aventures d'Arsène Lupin, ces amateurs de polars ont vraisemblablement connu cette collection, et la similitude des sigles est de toute manière un autre fabuleux hasard pour cette collection de 34 numéros, si significative pour moi.

J'ai donné dans le précédent billet des exemples de ce qui semble avoir été une obsession chez Plantard, les ours et les colombes. J'avais omis un cas relevant peut-être en partie d'un hasard, car les chapitres des Archives secrètes du Prieuré de Sion, courts textes de Plantard, ont été groupés et ordonnés par l'éditeur (je remarque que ces textes sont ainsi devenus les chapitres 4 et 5 de la 3e partie). Toujours est-il que page 166 et 167 apparaissent en vis-à-vis L'oiseau bicéphale et L'ours; le premier est essentiellement la colombe, dans un rapprochement forcé puisque Plantard ne peut citer aucune réelle colombe mythologique bicéphale, qu'il relie à l'aigle bicéphale russe... L'ours se dédouble dans les figures des Grande et Petite Ourses, Callisto et Arcas, inscrites par Plantard sur son blason. Cliquer sur les pages pour agrandir.

Un autre hasard a voulu que, le 25 février dernier, une amie admiratrice de Richard Tauberténor et mercédès m'envoyât une photo du ténor trônant devant sa Mercédès. Sa notoriété était alors telle qu'il pouvait brûler les feux rouges à Berlin, les agents de police s'inclinant à son passage. Cette Mercédès fut confisquée par le nouveau régime en 33, son origine juive contraignant Tauber à se réfugier d'abord en Autriche, puis en Angleterre après l'Anschluss.
Mon amie me demandait donc si le numéro 25088 de l'auto m'inspirait quelque chose, or il se trouve que c'est 4 fois 6272. Jung avait vécu 25088 jours complets au matin du 4/4/44, et vivrait ensuite 6272 jours complets jusqu'à sa mort le 6/6/61 (je rappelle que 6272 m'évoque au premier chef ARSENE-LUPIN = 62-72).
Quel rapport entre Tauber et Jung ? Rien d'immédiat à première vue, sinon qu'il s'agit de deux célébrités contemporaines qui ont évidemment entendu parler l'une de l'autre, mais le mot Tauber apparaît dans un des quelque 55 rêves racontés par Jung dans Ma Vie... Vers la Noël 1912 il rêva qu'il se trouvait dans une loggia au sommet d'une tour d'un château, assis avec ses enfants autour d'une table taillée dans une pierre verte comme l'émeraude. Une colombe arriva et se transforma en une petite fille qui joua avec ses enfants quelques instants, puis redevint une colombe, qui expliqua lentement avec une voix humaine : "Ce n'est qu'au cours des premières heures de la nuit que je peux prendre forme humaine, lorsque la colombe mâle est occupée avec les douze morts."
J'ai abrégé le récit donné dans Ma Vie..., où ne figure pas un détail révélé dans la biographie de Deirdre Bair, laquelle a eu accès aux Protocoles, les entretiens retravaillés ensuite pour former le livre. Jung y précisait que sa première impression au réveil était le bizarre mot der Tauber, rare en allemand, pour la colombe mâle. Il s'est souvenu l'avoir entendu jadis dit par un de ses oncles, mais n'a rien réussi à en tirer.
1912 est l'année où Tauber commença sa carrière, et celle où les divergences entre Freud et Jung devinrent irréversibles, menant à une rupture officielle en 1913, et à la naissance de la psychologie analytique.
Puisque j'ai commencé avec Lupin, je crois devoir rappeler le roman "813", la plus ambitieuse aventure de Lupin, qui se passe en 1912 avec une surdétermination de 12, notamment dans le climax du roman, au 12e chapitre où Lupin découvre théâtralement une cache dans la 12e des 12 salles d'une galerie d'un château, vouée aux 12 Olympiens, et la cache pratiquée dans une horloge murale s'ouvre au 12e coup de midi.
Le nombre 12 est aussi présent dans le rêve de Jung, et la table de pierre verte ne peut que rappeler la Table d'Emeraude du mage Hermès, portant le nom d'un des 12 Olympiens, dieu des voleurs entre autres.
Je rappelle encore le roman Pilgrim de Timothy Findley, dont Pilgrim et Jung sont les principaux protagonistes, qui non seulement se passe en 1912 mais commence le 17 avril, comme "813", jour d'une éclipse solaire unique dans le siècle pour les Parisiens.

J'en viens au mot Tauber, "colomb" pourrait-on dire, peu courant donc masculin de die Taube, "la colombe" (anglais dove). Ce sont probablement des évolutions étymologiques indépendantes qui ont conduit à l'adjectif taub, "sourd" (anglais deaf), qui se décline en taube et tauber, notamment.
SOURD est l'anagramme phonétique d'OURS.
Par ailleurs Tauber se scinde en Tau-Ber, Ber étant "ours" en yiddish, et tau la lettre grecque couramment nommée "croix de Saint-Antoine". Je suppose que Plantard se serait empressé d'utiliser ces correspondances s'il les avait connues, puisque le 17 janvier et la Saint-Antoine sont au coeur de son système. J'ai la curiosité de rouvrir ses Archives secrètes du Prieuré de Sion, pour y trouver le chapitre Saint Antoine l'Ermite (SAE vu dans le billet précédent avec le 4 avril de SIS, Isidore de Séville), où Plantard établit un parallèle entre le 17 janvier de St Antoine et le 17 juillet de St Timothée, au pôle opposé de l'année.
Je suis ébahi de retrouver Timothée, alors que je viens de parler plus haut du roman jungien de Timothy Findley, d'autant que le commentaire de Plantard fait une large place à "l'argent lunaire reflet de l'or du soleil". Selon l'arithmétique plantardienne, entre le 17 janvier et le 17 juillet viendrait le 17 avril, où commence le roman de Timothy avec la mort de Pilgrim à Londres et sa résurrection vers midi (où l'éclipse atténuée à Londres était à son maximum).
Selon Plantard, Timothée aurait disparu pendant 17 ans. Ses parents entendirent un jour une voix mystérieuse qui les porta à penser qu'un vagabond (pas loin d'un pèlerin, pilgrim) qu'ils avaient accueilli chez eux était Timothée. Rentrés chez eux il y trouvèrent leur fils mort. Curieuse survie pendant 17 ans, à laquelle j'ai été amené via le 25088 (4 fois 17 ans) de Tauber.

Je ne trouve pas trace de ce Timothée, alors que le saint du 17 juillet est Alexis, auquel est rapportée la même anecdote. La Légende dorée conte l'affaire bien plus clairement que Plantard. Alexis était le fils du noble et pieux Euphémien, à Rome au 4e siècle. Il passa la nuit de ses noces à instruire sa jeune femme dans la crainte de Dieu et le goût de la virginité, et le lendemain s'embarqua pour Edesse, en Syrie, où était conservée l'image du Christ miraculeusement gravée sur le linge de Ste Véronique.
Il y passa 17 ans à mendier à l'entrée de l'église, jusqu'à ce que la Vierge dans l'église demande qu'on fasse entrer ce mendiant, car Dieu reconnaissait la pureté de ses prières. L'humble Alexis estima alors qu'il ne méritait pas cette gloire, et reprit la mer. La providence le ramena à Rome, où il décida, pour n'être à charge de personne, de résider incognito dans la maison de son père, auquel il demanda d'être admis chez lui, "afin que, si quelqu'un des tiens se trouve à l'étranger, Dieu ait pareillement pitié de lui !" Euphémien se souvenant de son fils l'accueillit, et Alexis resta 17 ans chez lui. L'Esprit-Saint lui ayant annoncé que sa fin était proche, il consigna par écrit l'histoire de sa vie.
Le dimanche suivant, une voix miraculeuse se fit entendre durant la messe :"Cherchez dans la maison d'Euphémien l'homme de Dieu, afin qu'il prie pour Rome !" Les empereurs Arcade (un nom ursin...) et Honorius se rendirent chez Euphémien, y trouvèrent Alexis mort mais ne purent arracher le papier contant son secret de sa main, qui ne consentit à s'en séparer qu'à l'arrivée du pape Innocent...
Edifiante histoire... J'avoue n'avoir aucune idée de pourquoi Alexis est devenu Timothée pour Plantard, mais je constate que la simultanéité des 17, des noms Antoine et Alexis, de la légende de Ste Véronique est immédiatement évocatrice pour le lupinologue. Véronique retrouve en juin 1917, en l'an quatorze et trois, son père Antoine mort depuis 14 ans et son mari disparu Alexis, dans L'île aux 30 cercueils où elle est menée par un jeu de signes de piste en 17 étapes.
Les "chercheurs" ont remarqué que cet Antoine spécialiste des mégalithes habitait le Prieuré, et j'avais pour ma part pensé que la triple crucifixion préludant au supplice de Véronique évoquait le symbole du Triple Tau, correspondant au initiales TH de Templum Hierosolymae, Temple de Jérusalem synonyme de Prieuré de Sion.

J'ai développé ailleurs que ce roman de Leblanc, où Alexis entend tuer 30 personnes en suivant à la lettre un programme dicté par un poème absurde, me semblait avoir inspiré Dix petits Nègres, lequel a connu quantité de clones, livres ou films. Le hasard a voulu que je visse hier (9 mars où j'ai découvert la conjonction Antoine-Timothée chez Plantard) l'un de ces clones, Identity, où 11 personnes se trouvent réunies dans un motel où un tueur insaisissable les élimine l'une après l'autre, laissant sur le cadavre une clé avec un numéro de chambre, à partir de 10 dans l'ordre décroissant. ATTENTION SPOILER : sans tout dévoiler, le responsable des 10 meurtres se nomme Timothy.
Et c'est aujourd'hui 10 mars que j'ai eu la curiosité de consulter La Légende dorée, pour m'apercevoir que Plantard avait "confondu" Timothée et Alexis.

Je renonce à commenter la lecture T-Ours, qui m'entraînerait trop loin, alors que la piste ours-colombe est loin d'être close. Je rappelle que je me suis intéressé à cette piste à cause du nom hébreu de l'ours, dov, homonyme de la colombe anglaise, dove, sans connaître alors ni l'amour affiché de Plantard pour les plantigrades, ni sa plus secrète colombophilie.
La requête "Tauber" Colombe me fait découvrir parmi les 10 premiers résultats un article du rabbin Yanki Tauber, hébergé par un site Loubavitch de France domicilié à Bois-Colombes. Les Loubavitch ont adopté la doctrine 'HaBaD fondée par Rabbi Schneour-Zalman, représentée ensuite par son fils Dov-Ber ("ours" en hébreu et yiddish). Ce nom Dov-Ber est ensuite repris par plusieurs représentants 'HaBad.
Le rabbin Tauber semble être l'un des principaux responsables de ce site américain. Son article traduit à Bois-Colombes concerne Amalek, ce qui me rappelle la prodigieuse découverte vue ici, par le rabbin précurseur du code biblique dont le nom complet est Dov Weissmandl ou Ber Weissmandl :
Il existe une seule occurrence dans la Genèse de l'ELS de distance 12111 (nombre de lettres du livre d'Esther) des 4 lettres du nom Amalek, et cette ELS unit les 2 seules occurrences du nom Amalek dans ce livre.

Si j'ai relié plus haut la colombe, ou plutôt le "colomb" à Jung, et au commencement de sa carrière autonome libérée de la tutelle de Freud, c'est une ourse qui apparaît au crépuscule de sa vie, sur une pierre sculptée après la mort de sa femme.
Je soulignais ici que la mort d'Emma avait conduit Jung à une 5e étape de travaux pour sa "tour" de Bollingen, ses "tours" (ou T-ours) plutôt puisque la maison comptait déjà deux tours, dominées ensuite par la dernière élévation.
Jung avait besoin d'activité physique et artistique, ce dont cette pierre sculptée à 83 ans est un des derniers témoignages. Ursa movet molem, "L'ourse bouge la masse".
Vu la rotondité de la masse en question, je serais tenté d'écrire "l'OURSE meut les ROUES", en pensant à la lecture par Plantard du carré SATOR, devenu ARTOS tenet ROTAS, "l'ours maîtrise les cycles"...
Si la réduction du réel arktos grec, "ours",est plus que discutable, le mot artos existe en grec où il signifie "pain", d'où encore une étonnante logique à l'achat par Plantard d'une boulangerie à Colombes.
En revanche les noms "artus" et "arthur" sont bien issus du grec arktos, et je m'émerveille du rapprochement entre le numéro de la Mercédès du "colomb" Tauber, 25088 = 4 fois 6272, et la valeur 6272 du sonnet Vocalisations signé "Arthur Rimbaud" par Perec dans La Disparition, alors qu'un Tauber et une ursa apparaissent avant et après le pivot 4/4/44 dans la vie de Jung.

S'il ne peut y avoir de Mercédès dans La Disparition, roman écrit avec les seules 4 voyelles AIOU parmi les 5 voyelles rimbaldiennes, Perec concevra en 1972 un autre roman où la seule voyelle autorisée est E. Les Revenentes débute ainsi :
Telles des chèvres en détresse, sept Mercédès-Benz vertes, les fenêtres crêpées de reps grège, descendent lentement West End Street (...)

Mes investigations autour de Plantard-Cherisey m'ont conduit à lire Livre à vendre, paru en 1977, roman écrit à 4 mains par Dubillard et Cherisey, dont la première partie a été écrite par l'un des deux auteurs, la deuxième par l'autre. S'il ne faut peut-être pas accepter aveuglément cette affirmation, je reconnais mieux le style de Cherisey dans cette deuxième partie, où il est question de Jung.
Plusieurs chapitres de ce délire exubérant sont consacrés au grand-père du narrateur, inventeur obsédé par les pendules enfermé à Sainte-Anne à la suite de sa participation au premier concours Lépine.
Il passe ensuite entre les mains des représentants de la nouvelle psychanalyse, Adler, Jung qui "l'entoura de ce romantisme qui fait de lui le seul cas intéressant qu'on puisse relever dans les manuels de psychologie pour le baccalauréat", et Freud qui "le baptisa W (on se demande pourquoi.)"
Il échoue ensuite dans la clinique du professeur Cosbuc, en Moldavie roumaine, à Sfânta Slujbä (soit "sainte messe" en roumain), "où l'on accède par un treuil après avoir sonné de la bâtâturâ, espèce de cor..." (c'est bien un cor en roumain, mais un cor au pied !)
Quelques pages sont consacrées au Rapport Cosbuc, sur son patient W, entrecoupé de quelques notes personnelles, comme celle-ci lors de la 96e séance, seconde mention de Jung:
Retour du congrès neurologique de Zürich. Charmant accueil (...) Mort d'un martin-pêcheur dans le jardin de Jung.
En épilogue au rapport, on apprend que le grand-père W serait peut-être bien encore vivant aujourd'hui dans les Carpathes. Cosbuc lui-même a dû être interné, il a survécu aux deux guerres et est actuellement en traitement à Philadelphie.

Voilà. Je ne vois pas quoi en tirer, sinon que Jung a droit à deux mentions. Il existe un poète roumain nommé George Cosbuc, ayant plus probablement inspiré Cherisey que le Basileus de Cos cher à Jung (ici et on apprend que Cherisey nommait Plantard Basile).
L'association d'un George à un W me rappelle le W ou le souvenir d'enfance, de Perec, paru deux ans plus tôt en 1975.

Ce qui n'implique évidemment pas un quelconque rapport, mais me permet de conclure.

1 commentaire:

Ariaga a dit…

De retour(tout doucement), ton commentaire sur mon blog m'a fait plaisir. Je viendrai te lire bientôt. Amitiés.