26.9.22

1La vie 2mortelle

à לוי & חן

  Il y a quelques jours, j'ai eu une pensée pour le ténor autrichien Richard Tauberténor et mercédès, dont çoeur dp, sa fervente admiratrice, m'avait envoyé en 2010 cette photo, en me demandant si le numéro de sa Mercedes m'évoquait quelque chose. Et comment, puisqu'il s'agissait de 25088, soit 4 fois 6272, le nombre de jours vécus par Jung avant le 4/4/44. Peu après, je vis une camionnette immatriculée 6272 ** 04, 6272, le nombre de jours vécus par Jung après le 4/4/44.

  Ma réflexion sur TAUBER me conduisit à en chercher des anagrammes, et il m'est venu qu'à quelques années près, il aurait pu faire un duo avec Isabelle AUBRET, dont le trémolo me REBUTA.
  M'intéresser aujourd'hui à elle m'apprit que son vrai nom est Coquerelle, qu'elle était très proche de Jean Ferrat, dont le vrai nom était Tenenbaum. Tiens, TENENBAUM-FERRAT, ça donne ENFERMANT AUBRET...

  Mais surtout, ceci a provoqué un dessillement. Lorsque j'ai étudié en mai dernier Labyrinthes, que Thilliez a parsemé de nombres de Fibonacci, je n'ai pas songé que j'avais lu en 2007 Rendez-vous au bord d'une ombre, que Gérald Tenenbaum a parsemé de nombres premiers.
  Si la répartition des Fibos chez Thilliez ne semble obéir à aucune logique évidente, les 26 premiers premiers chez Tenenbaum sont donnés en ordre inverse, de 101 à 2, dans des chapitres intitulés de DIX à ZERO: le nombre 101 apparaît dans le chapitres 10, les nombres 7, 5, 3, et 2 dans le chapitre 0.
  J'avais emprunté le roman à la médiathèque de Digne, et avais remarqué après coup sa cote TEN,

puisqu'il commence par un chapitre intitulé DIX. 

  J'en ai parlé ici. Certains livres me font me demander pourquoi les écrivains les écrivent, pourquoi les éditeurs les éditent, et pourquoi les lecteurs les lisent. Certains ont apparemment des réponses, car Tenenbaum a publié 8 romans après ce premier roman...

  Ceci m'a rappelé qu'un roman, Le curieux incident du chien pendant la nuit, de Mark Haddon, a ses chapitres numérotés par les nombres premiers, et un autre, Die letzte Geschichte des Miguel Torres da Silva, de Thomas Vogel, par les nombres de Fibonacci.

  Sur la page Wikipédia Tenenbaum, je vois que son dernier roman, L'affaire Pavel Stein, est une version révisée de Rendez-vous au bord d'une ombre, et que le précédent, Reflets des jours mauves, aurait une structure kabbalistique sous-jacente...
  Ceci a éveillé ma curiosité et je me suis procuré le livre.
  Question kabbale, ça me semble aussi gratuit que l'apparition des nombres premiers dans Rendez-vous au bord d'une ombre. Dans 10 chapitres consécutifs apparaissent avec plus ou moins d'à-propos les noms des 10 sefirot, de la Couronne au Royaume.
  Le sujet du livre est intéressant, j'y reviendrai peut-être, mais ce qui m'y a frappé est le bijou khaï, jouant un rôle important.
  Il s'agit de deux lettres hébraïques, חי, correspondant à HI dans notre alphabet, formant en hébreu le mot "vivant". Ce mot et sa valeur numérique 18 (mentionnée par Tenenbaum) ont une grande importance dans la tradition juive; je les ai rencontrés à plusieurs reprises, jusque dans un polar d'Ellery Queen.

  Je n'y pensais certes pas lorsque j'ai intitulé le précédent billet Hi !, en référence aux rangs 8 et 9 de ces lettres dans notre alphabet (les lettres hébraïques ont pour rangs 8 et 10, et ce sont aussi les nombres 8 et 10).
  Ce billet m'amenait à constater de nouvelles adéquations entre ma vie et ma recherche, et, par un stupéfiant hasard, il se trouve que je suis vivant (encore que, des fois, je me demande...)
  C'est ainsi qu'avec un absurde retard je me suis avisé que mes grandes découvertes autour du nombre 6272 se sont produites quand j'avais 46 et 58 ans, alors que j'avais introduit des variantes dans mon codage du sonnet de Perec de valeur 6272, variantes anagrammatiques portant sur des mots de valeur 46 et 58, et conservant donc ces valeurs.
  Ces valeurs sont aussi celles des mots HUIT et NEUF, alors que la valeur de mon nom est 89, alors que c'est un 8/9 (2008) que j'ai fait ma découverte de l'harmonie de la vie de Jung autour du nombre 6272, alors que c'est à 72 ans, 8 fois 9, que j'ai pris conscience de cette adéquation de mes âges et de ces découvertes.

  Ce n'était pas fini, et un autre point m'est apparu 3 jours après la publication du billet. Je l'ai ajouté en note, mais cette note s'est vite avérée insuffisante, et voici donc le présent billet.

  Le premier point est donc que j'ai procédé à mon codage du sonnet fin 1999, à 49 ans, mais qu'il n'est devenu public qu'à la parution de Sous les pans du bizarre en octobre 2000, alors que j'avais 50 ans.
  Or les valeurs des mots anagrammatisés (ALCOOL=58 et NADIR=46) donnent la somme 104, qui se trouve être la valeur de
CINQUANTE = 104.

  Il y a ici une variation dans la signification envisagée des nombres. Les valeurs de NADIR et ALCOOL donnaient directement mes âges lors des découvertes des harmonies du sonnet et de la vie de Jung, ces valeurs correspondant aussi à celles de NEUF et HUIT, avec d'autres corrélations développées dans le précédent billet, tandis que la somme des valeurs des mots modifiés égale celle du mot CINQUANTE, mon âge lors de la publication du roman, retardée (initialement prévue fin 99).
  Incidemment, si le titre du roman était d'abord calqué sur "sur les bandes du billard" de Roussel, j'avais été conforté dans mon choix par sa valeur, 264, qui, additionnée au 134 de mon nom, donnait 398, deux fois la valeur 199 de RAYMOND ROUSSEL qui intervenait dans le livre, associée au nombre 58:
Lu 5-8, 58 évoquerait les églogues 5 et 8, dont les nombres de vers correspondent aux gématries modernes de Raymond=90 et Roussel=109; (chapitre 8, page 103)
  Je savais aussi que 398 était la valeur de l'hébreu "cinquante", חמשׁים, hamishim, et le nombre 50 jouait aussi un rôle dans le livre:
L'églogue centrale se situe à l'exact milieu de ces 4500 mots, soit 2250 mots (50 fois 45) pour les 4 premières églogues, 2250 pour les 4 dernières; (page 76)
  Je ne me rappelle pas avoir à l'époque fait le lien avec mon âge lors de la publication du livre.


  Comme je l'ai déjà dit, c'est après avoir écrit le roman qu'il m'est venu l'idée d'y coder le sonnet de Perec, pour des "raisons" difficiles à expliquer. Je n'ai en tout cas pas l'excuse de la contrainte sans laquelle certains auteurs se sentent incapables d'écrire.
  Lorsque j'ai appris que la parution du roman serait retardée, j'ai profité du délai pour le peaufiner, et ai donc eu l'idée d'y coder le sonnet, plus ou moins inspiré par le cut up de Burroughs. J'ignorais alors que ce que j'envisageais avais été presque exactement réalisé par Ricardou 27 ans plus tôt, et précisément pour coder un sonnet.
  Le sonnet de Perec m'était essentiel, pour ses harmonies numériques, et pour ma quasi-certitude qu'elles n'étaient pas calculées. Quoi qu'on pense de ces équivalences gématriques, c'est le même procédé qui conduit à pointer vers mes 46 et 58 ans lors de mes découvertes "6272", puis vers mes 50 ans lors de la publication du roman.

  Ceci dit, mon codage m'a cependant conduit à apporter des modifications au texte original, certaines nécessitées par des impératifs techniques, et d'autres allusives au codage. J'ai cité dans le précédent billet les majuscules intempestives dans l'ode Toi l'été, et j'ai encore donné une énigmatique formule trouvée dans les cahiers de Lapnus, mon double dans le roman:
ANAQ  CHI  DU  PSOSO
  Il s'agit de l'acrostiche formé par les 14 vers de Perec, et cette citation a fait coïncidence avec un roman paru en septembre 1999, au moment où j'achevais la première version de Sous les pans du bizarre, mais je n'ai découvert ce roman que 7 ans plus tard. Il y a d'autres coïncidences bien plus surprenantes, étudiées dans Pourquoi je n'ai pas écrit les Pans.

  Un fait nouveau est que
CINQUANTE  HUIT = 104+58 = 162, même valeur que
ANAQ CHI DU PSOSO = 162.
  Aussi, puisque
CINQUANTE = NEUF + HUIT = 46+58 = 104,
162 peut exprimer la date exacte de ma découverte de l'harmonie de la vie de Jung, à 58 ans, le
HUIT/NEUF/HUIT, 8 septembre (200)8.

  Et pour les 46 ans lors de ma découverte de l'harmonie du sonnet?
QUARANTE  SIX = 97+52 = 149.
  149 n'apparaît pas dans mon roman, mais c'est depuis longtemps un nombre qui m'est essentiel, me touchant de près.
  J'en ai parlé ici :
  Il y a d'abord eu un rêve qui m'a marqué, vers 25 ans: j'étais dans une librairie familière, et j'y repérais un nouveau titre de mon auteur de S-F favori (dans le rêve), qui m'enthousiasmait grandement:
1LA VIE 2MORTELLE
J'ai ensuite eu plusieurs projets romanesques utilisant ce titre, jamais aboutis. Lorsque j'ai commencé à m'intéresser à la gématrie, j'ai remarqué
LA VIE = 49; MORTELLE = 100
Il suffisait d'une implication plus personnelle pour obtenir une parfaite adéquation
MA VIE = 50; MORTELLE = 100
qui se trouvait correspondre à mon nom selon l'état civil :
REMY SCHULZ = 61 + 89 = 150

  Puis est venu le nombre d'or, avec un premier écho : Jean-Bernard Condat = 92-57 (149), remarquait dans son introduction à Nombre d'or et musique (1988) que les valeurs numériques de son nom étaient en rapport d'or optimal.
  Lorsque j'ai recherché des expressions pouvant désigner le nombre d'or, j'ai notamment trouvé
GOLDEN NUMBERS = 57 92.
  Depuis quelques mois, ma manie numérique m'a conduit à m'intéresser aux numéros ISBN des livres. C'est dingue, bien sûr, mais l'est-ce plus que d'avoir modifié des mots du sonnet de Perec de façon significative, a posteriori?
  Le numéro ISBN de Sous les pans du bizarre est 9782842192578, se répartissant en
978: catégorie livre;
284: numéro d'éditeur (Baleine);
219257: numéro de publication;
8: clé de vérification, calculée à partir des 12 chiffres précédents.
  L'éditeur fait ce qu'il veut pour attribuer le numéro de publication. J'imagine que 284 correspond plutôt à un groupe d'édition, et que 219 correspond à Baleine, dont le premier titre édité avait pour numéro 219000. L'aventure s'est interrompue avant que 1000 titres aient été publiés, ainsi tous les livres ont un numéro débutant par 219.

  Quoi qu'il en soit, je suis émerveillé que le numéro de publication de mon roman s'achève par 9257, correspondant à
JEAN-BERNARD  CONDAT = 92 57 = 149,
car rejeter un oeil à sa page Wikipédia m'a rappelé qu'il était surnommé "le concombre", or j'ai publié un billet intitulé Sous les pans du concombre, en novembre 2017 où je venais d'apprendre qu'avait été publié en juillet un roman intitulé Sous l'aile du Concombre (paru le 6/7, le jour de mes 67 ans).

  Sans aucun lien, il était paru en 2000, presque en même temps que mon Sous les pans du bizarre un roman anglais traduit Sous l'aile du bizarre.
  Le numéro ISBN original ne m'évoque rien, mais il est ensuite paru en Livre de poche avec l'ISBN 225-3-15234 (pour les chiffres significatifs), et comme il y avait alors une certaine logique chez l'éditeur, c'était le LP n° 15234. 52-34 m'évoque
JUNG CARL = 52 34 (et 1 l'Unus Mundus, et l'ensemble 15234 est un réarrangement de 1-2-3-4-5).

  Je reviens au "Concombre" Condat, personnage trouble avec qui j'ai échangé quelques mèls après avoir découvert son livre, mais nous ne partagions guère que l'amour de la musique et l'intérêt pour le nombre d'or.
  Il m'arrivait de consulter son blog, et il me semble que c'est ce qui m'a donné l'idée de créer mon premier blog, Blogruz, en avril 2007. Sous l'aile du Concombre?

  Evoquer Condat m'a rappelé quelque chose, que j'ai retrouvé en revenant à son blog, pour la première fois depuis plus de 10 ans. Le 14 mars 2006, soit le Pi Day (3/14 à l'américaine), mais il ne le mentionnait pas, il donnait les 14929 premières décimales du nombre d'or (Phi), calculées le 2 décembre 1996 (date proche de ma découverte du sonnet de Perec, à 46 ans, avec toujours QUARANTE SIX=149).
  Je me souviens avoir imaginé 14929 sous la forme 14(92)9, avec
149 = JEAN-BERNARD  CONDAT, et
92 = JEAN-BERNARD, le rapport 149/92 étant proche de Phi.

  Pour le 92 du numéro de Sous les pans du bizarre, je pense à un autre Jean-Bernard, Pouy, qui m'a permis de le publier, et Lapnus dans mon roman décodait aussi ses oeuvres, notamment la vache pie Larchmütz 5632, avec
NOIR = 56, BLANC = 32 (ce dont Pouy a été le premier surpris).

  Revenant aussi à mon premier blog, j'y trouve un billet que j'avais complètement oublié, publié à dessein le 8/9/2007, ou 1/1/135 du calendrier pataphysique, parce qu'une coïncidence importante était associée au premier jour de l'an pataphysique précédent, relatée ici.
  Ce billet au titre pataphysique Gidouilles & Co(rnes) s'achevait sur la dernière page d'une revue présentant deux notices de lecture. Les auteurs concernés sont
Pierre DUDAN = 71 + 44 et
Antoine BECHAMP = 78 + 48
que je constatais être des noms dorés idéaux, mais je n'avais pas eu l'idée de joindre prénoms et noms pour obtenir
71+78 = 149, et
44+48 = 92.

  Je m'étais arrêté aussi à la page 326 du numéro 326 de cette revue Atlantis parce que Guy Béatrice y donnait une photo au format doré d'un chapiteau de la basilique de Saulieu, et que
GUY BEATRICE = 116 (53+63),
SAINT ANDOCHE DE SAULIEU = 210 (63+50+9+88),
soit 326 pour un total de 32 lettres et 6 mots.

  Aujourd'hui, je remarque que le nom de la basilique a 21 lettres de valeur 210, alors que le code postal de Saulieu est 21210. J'en suis BABA (2-1-2-1)...
  Je connais ce code parce que mon ami JP Le Goff a choisi ce lieu d'après son code postal pour point de départ d'un voyage déterminé par les lancers d'un dé (21 somme des points du dé). J'en ai parlé dans le billet Au seuil du hasard, en octobre 2015, à l'occasion d'une coïncidence sur Saulieu, mais j'ai manqué alors un beau rebond.
  Saulieu est célèbre pour le relais Bernard Loiseau, or Le Goff se renverse phonétiquement en Vogel, "oiseau" allemand. Par ailleurs Saulieu est à une lettre près (saolieu), l'anagramme de "l'oiseau". Mes recherches sur un autre drôle d'oiseau amateur d'anagrammes, Ricardou, m'ont mené à constater qu'en hébreu "oiseau", tsippor, צפּור, est l'anagramme de "anagramme", tserouph, צרופ.
  Moralité, en paraphrasant monsieur Madeleine (alias Jean Valjean): Il n'y a pas de sot lieu, il n'y a que de sots voyageurs.

  Les coïncidences pataphysiques de 2006 et 2007, liées au jour de l'an pataphysique, m'avaient amené à prévoir pour le 8/9/2008 un billet sur une gidouille dorée, découverte quelques jours plus tôt.
  La fantastique intuition de ce 8/9/8 ne m'a pas empêché de publier De la gidouille considérée comme un des beaux-arts à la date prévue, et j'ai remis au lendemain 9/9 le premier compte-rendu de ma découverte de l'harmonie de la vie de Jung autour du 4/4/44. J'ai ensuite décidé d'y consacrer un nouveau blog, Quaternité, auquel je me suis essentiellement consacré.
  Le 8/9 y est resté une date privilégiée de publication, mais peu à peu je me suis désintéressé de la pataphysique, et le billet du 8/9/2017 est le dernier où j'ai mentionné le nouvel an pataphysique.
  Ce désintérêt m'a conduit à ne pas renouveler mon adhésion au Collège pour l'an 2019-20 (ou an 147).

  Ce n'est qu'en écrivant ce billet que je me rends compte que le billet du 8/9/2021, inspiré par la découverte peu avant que les valeurs des mots modifiés dans mon codage du sonnet correspondaient à HUIT et NEUF, fêtait le premier jour de l'an 149, et m'en serais-je rendu compte alors que je n'aurais pu faire le lien avec mes 46 ans lors de la découverte de l'harmonie du sonnet, et
QUARANTE  SIX = 149.
  C'est donc la prise de conscience le 27/8 dernier que les valeurs de NEUF et HUIT correspondaient à mes 46 et 58 ans lors de mes découvertes des harmonies 6272 qui m'a conduit à publier le précédent billet le 8/9/2022, premier jour de l'an pataphysique 150, et c'est en écrivant ce nouveau billet, alors que son titre était déjà choisi, que je constate que 149 et 150 sont les valeurs de
LA VIE MORTELLE et
MA VIE MORTELLE.

  Ce billet s'est avéré très différent de ce que j'envisageais au départ, et plusieurs points seront étudiés ultérieurement.
  Je vais conclure pour l'instant avec ce qui m'a mené à la valeur 104 de CINQUANTE. J'ai déjà indiqué que, cette année, la liste Oulipo parcourt un calendrier des Papous révisé par Bernard Maréchal, lequel a décrété que le 9 septembre était la Saint Fifti-Fifti.
  Je ne connaissais pas cette orthographe, effectivement usitée. Robert Rapilly remarqua que la valeur de FIFTI était précisément 50, et ceci me rendit curieux de la valeur de CINQUANTE, que je découvris donc être 104, alors que je venais de publier la veille, le 8/9, le billet explorant les valeurs 58 et 46 de HUIT et NEUF, mentionnant leur somme, 104.

  Une dernière petite chose. Le précédent billet, Hi !, était dédié à Hervé & Iléane, prénoms débutant par H et I de valeurs 58 et 46. Comme l'hébreu était prévu pour jouer un rôle important dans le présent billet, je l'ai dédié à deux prénoms hébraïques de valeurs 58 et 46, finissant par H et I, Noah (Noé) et Lévi.
Note du 3/10: Il m'est revenu que
UN + DEUX = 35 + 54 = 89,
ce à quoi je n'avais pas pensé à en intitulant le billet précédent
Hi !, pour HI = 8-9 ou 89, et celui-ci
1La vie 2mortelle pour d'autres raisons.
  Curieusement, c'est le billet suivant, a priori sans rapport avec ces deux, qui m'a conduit à ces constatations.

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