31.8.21

de l'algèbre à la croisade : constellation


Buvons un coup, buvons en deux,
Et trois, et cinq, et huit de mieux !

  318e billet de Quaternité, le 31/8, et je n'imaginais guère en privilégiant cette date au début du blog qu'il se prolongerait à ce point, et que diverses circonstances m'amènerait à pouvoir publier son 318e billet un 31/8, avec un total à-propos.

  Mon 316e billet, publié le 17/8, tentait d'approcher sobrement mes récentes investigations aux archives Ricardou de l'IMEC, mais des coïncidences survenues en cours d'écriture m'ont fait comprendre que la sobriété était une erreur. Non seulement le monde est dingue, mais ma propre folie interfère avec cette dinguerie...
  Bref la découverte du groupe 137/1237 Synchronicity m'a rappelé les coïncidences 137 notamment évoquées dans mon 183e billet, publié le 18/3/2015, nommé à partir du numéro 137 de la collection Présence du futur, L'orbite déchiquetée. J'ai compris qu'il faudrait que je parle de 137 dans le billet suivant, 317e, puis de 183 dans le 318e, qu'il s'imposait de publier le 31/8, 13e anniversaire de ma lecture d'un roman ayant joué un rôle essentiel dans la création de ce blog.
  Le 317e billet serait donc publié à mi-chemin, le 24/8, doublement significatif car 2-4-8 sont les "nombres fondamentaux" de Ricardou, et car ce jour ma fille Aurélie aurait 48 ans.

   Je lui dédiai le 317e billet, ce dont elle me remercia, et ceci me rappela que je lui avais dédié implicitement un autre billet, que je recherchai illico.
  C'était le 137e billet, publié le 21/1/2013, le 21.1.13 selon la forme choisie pour le blog:

  J'avais exploité ce premier billet de l'an "13" pour faire apparaître mes propres nombres fétiches, 21 et 13, d'autant qu'il en était question. Je rappelle qu'un livre lu le 31/8/2008 m'a fait découvrir le 8 septembre l'échange
JUNG / HAEMMERLI = 52/84 = 13/21,
et que je me suis avisé ensuite que le 31/8 vulgaire était le 21/13 du calendrier pataphysique, et que le 8 septembre y était le premier jour de l'an 136 (52+84). 

  Je ne me sentais pas particulièrement concerné en 2013 par le nombre 137, dont j'avais cependant parlé à diverses reprises, notamment pour le psaume 137 (cette requête permet d'accéder à toutes mes mentions sur le blog), aussi il n'est pas question dans le billet de son rang.
  Il est d'abord consacré à la tétralogie Frederica de Antonia S. Byatt, native du 24/8, la Saint-Barthélémy, comme son héroïne Frederica, avec laquelle elle a probablement d'autres points communs.
  Dans les années 50 et 60, Frederica comme Antonia ont évolué dans le milieu universitaire britannique, où il subsistait une influence des travaux d'Alan Turing, lequel, après un rôle décisif dans la victoire alliée, s'est passionné après la guerre pour la présence dans la nature de la suite de Fibonacci. Il en va de même pour plusieurs personnages de Byatt, dont le frère de Frederica, mathématicien, et un doyen d'université qui a connu Turing.

  Bart est un personnage de La créature de John Fowles (A Maggot, 1985), roman que je venais de lire parce que j'avais appris qu'il y était question de Fibonacci. Incidemment, Byatt a dit le plus grand bien de ce roman (ici, page 49).
  Le livre conte une étrange expédition en avril 1736, conduite par un certain Bartholomew, lequel évoque l'omniprésence de la suite 1-2-3-5-8-13-21 dans l'univers.
  Un enquêteur l'a transmise à un réel mathématicien de Cambridge, Nicholas Saunderson, lequel lui répond qu'il s'agit de la suite de Fibonacci, et qu'il avait eu l'occasion d'en parler avec Bart, qu'il a eu pour étudiant, et qui se serait montré un précurseur de la phyllotaxie qui passionnerait Turing, lequel étudierait et enseignerait également à Cambridge. je donnais cette photo de la page 211 du roman:
 
  La version française offre une curiosité, car c'est page 211 qu'apparaît la suite de Fibonacci et la loi des proportions qui lui est associée, or le nom de ce réel mathématicien a pour valeur 211 et se partage selon cette même loi du nombre d'or:
NICHOLAS  SAUNDERSON = 81 + 130 = 211.

  Je ne me souvenais évidemment pas de cette page 211 lorsque j'ai décortiqué les 211 mots de la phrase de Ricardou aux pages 105-106 de Révélations minuscules, en guise de préface, à la gloire de Jean Paulhan, avec 105+106 = 211, dans un texte dont il est certain qu'il a été calibré pour faire apparaître quelques pages auparavant le nombre 99 page 99, un texte auquel le lecteur est explicitement invité à dénombrer les mots de ses phrases. Les parenthèses découpent cette phrase ainsi,
34 (7) 21 (20) 13 (12) 104, et je remarquais que 34-21-13 étaient des nombres consécutifs de la suite de Fibonacci, le suivant 8 pouvant être signifié par 104, 8 fois 13.

  Il m'est venu la curiosité de dénombrer les mots du paragraphe de la page 211 de La créature, et je suis parvenu à 211 ! Ce que j'ai vérifié, plutôt deux fois qu'une. Il compte 6 phrases, en
35 - 13 - 23 - 25 - 72 - 43 mots.
  La phrase en 211 mots de Ricardou occupe également un seul paragraphe.
 
  Il est assez évident que c'est un hasard de trouver un paragraphe de 211 mots page 211, attribué à un personnage de valeur 211, puisque la phrase originale n'avait pas 211 mots (mais 207), et qu'une traductrice (Annie Saumont en l'occurrence) ne va pas se lancer dans de tels calculs
  Voici le paragraphe original de Fowles: 
  If I am to find fault in him, it is that he was sometimes seized by beliefs or theories of this physical world that I must term more phantasies than probable or experimental truths. The one that you require me to explain is such; in my view. The series of numbers to which you allude appears first in the Liber Abaci of one Leonardo da Pisa, a learned Italian. He did devise it, but, upon his own admission, for no more than to calculate the multiplication of conies in a warren. Yet his Lordship would find this rate of proportion (which doth stay the same however superfetatiously its parts be increased) everywhere in nature besides, indeed even discernible in the motions of the planets and the arrangement of stars in the heavens; and saw it likewise in all plants, in the disposition of their leaves, for which ordering he would make a name, that is, from the Greek, phyllotaxis. And he did believe also that this same most elementary sequence might be traced in the history of this world, both past and to come; and thus that were it fully understood, the chronology of the future might be mathematically prophesied as well that of the past explained.
  Les 6 phrases ont 34, 13, 22, 22, 68 et 48 mots, 207 en tout. Tiens, 34 et 13 sont des Fibos, et 34 était le premier nombre obtenu par le découpage de la phrase de Ricardou.

  La traduction française du roman de Fowles est parue en octobre 1987, et il est probable que le travail de traduction a été réalisé plus tôt dans l'année. Révolutions minuscules de Ricardou est paru en mars 1988, et il est établi que l'essentiel du travail d'écriture a été réalisé en 1987.
  Le précédent billet m'a fait envisager cette date comme significative, parce que  les nombres 34-21-13 obtenus par le partage de la phrase ont les rangs 9-8-7 dans la suite de Fibonacci (et je rappelle que 987 est le Fibo de rang 16). Ces rangs 9-8-7 m'ont fait envisager une signification aux 211 mots, vus comme 2-1-1, les Fibos de rangs 3-2-1.

  Ainsi auraient été écrits en 1987 les deux paragraphes de 211 mots, destinés à paraître aux pages 211 et 105-106 des livres respectifs.
  Il y a davantage, ainsi les deux paragraphes sont attribués par les auteurs l'un au réel Nicholas Saunderson, l'autre à une hypothétique soeur de Ricardou, Noëlle Riçoeur.
  Les auteurs réels ont le même prénom, John et Jean. Le prénom Annie de la traductrice est de même origine (de l'hébreu hen, "grâce").

  Le nom Fowles aurait pour origine le vieux mot fugol, "oiseau sauvage". C'est encore un "oiseau dans l'oiseau" (owl, "hibou").
  La signature de Ricardou se limite souvent à une sorte de croix, les initiales JR stylisées, et il révèle précisément dans cette Préface qu'il s'agit pour lui d'une "empreinte d'oiseau", parce que l'oiseau est le porte-plume, l'écrivain. Elle fournit un argument à la Préface, avec quatre grains de sable qui se seraient collés aux lèvres de Jean Paulhan, selon une disposition évoquant à Ricardou sa signature. Il en est précisément question dans la phrase en 211 mots.

  Une petite digression. Lors de mon séjour à l'IMEC, je me suis accordé quelques instants pour consulter le blog ami de Patrick Bléron, et son article Les muses de Bruno Schulz a provoqué un nouveau dessillement. Il y est beaucoup question d'oiseaux, notamment sous la forme allemande Vogel, avec deux personnages de romans, Debora Vogel, nom donné à La fiancée de Bruno Schulz, d'Agata Tuszyńska (Grasset, 2015), et Christina Vogel dans Le bruit du dégel de John Burnside (Métaillié, 2018). Il est question d'oiseaux dans ces romans, comme dans l'oeuvre de Bruno Schulz dont une nouvelle des Boutiques de cannelle est précisément titrée Les oiseaux. J'ai aussitôt envoyé ce bref commentaire:
  Ton article me rappelle que j'avais fait remarquer à JP Le Goff que son patronyme faisait entendre, renversé, Vogel, "oiseau". Je ne savais pas alors qu'en hébreu "oiseau" est l'anagramme de "anagramme", et Le Goff explorait volontiers les anagrammes.
   J'avais tenté de lui faire lire Siva, de PK Dick, car ça se renverse en avis, "oiseau" latin, mais il n'avait pas du tout accroché.
    29 juillet 2021 à 14:56
  Je pensais évidemment aussi à la signature de Ricardou, lequel a dans une nouvelle fait apparaître par anagramme "le vocable hébreu tserouf", sans en donner le sens, "anagramme", et donc anagramme de tsippor, "oiseau".

  Siva, que j'avais recommandé à Le Goff, est le n° 317 de la collection Présence du futur, 180 numéros après le n° 137, L'orbite déchiquetée, qui inspirerait le billet où j'évoquais les coïncidences 137 sur Unus Mundus. 180° est l'angle d'une demi-révolution, du retournement qui peut faire passer par palindromie de AVIS à SIVA, de 987 (avènement de Hugues Capet, merci dp), à (1)789, un coup dur pour "Capet", surnom donné à Louis XVI par le peuple, ou encore, par renversement effectif de 180°, de 89 à 68, la "Nouvelle Révolution Française", comme Ricardou nomme la NRF.

  JP Le Goff a été inspiré par une anecdote d'un roman de Byatt, Des anges et des insectes, et il a communiqué avec elle à ce sujet, en vue d'une expérience qui fut relatée ainsi dans Pour la Science:

  J'y ai remarqué que l'image "ants" avait provoqué un déport de 5 lignes du texte, 5 lignes s'achevant par les signes ,àtns , soient les lettres mêmes écrites par les ants, les fourmis ! Plus de détails ici, avec un écho à un livre paru aux Impressions nouvelles, livre que j'ignorais alors être un hommage à Ricardou.

  J'ai Les boutiques de cannelle, de Bruno Schulz, dans l'édition Denoël de 1983. J'ai la curiosité de consulter sa page 211, dernière page d'une introduction à une interview de Schulz donnée ensuite. Elle s'achève ainsi:
Fait avant d'avoir lu la réponse de Schulz, le 4 avril 1935.
  Voilà qui rejoint le fondement de Quaternité...

  Debora Vogel, la fiancée de Schulz, me rappelle Debbie, la Lady137 de Unus Mundus, à laquelle j'avais communiqué que debora est un mot hébreu, "abeille", de valeur 217 selon l'alphabet hébreu, soit 7.31.

  Un membre du groupe 137/1237 Synchronicity où je l'ai retrouvée a publié ceci le 21 mai 2020:
 

  Revoici la phyllotaxie chère à Alan et Bart. J'apprécie ce
FIBONACCI SPIRAL = 137,
mais l'angle d'or est 137.5°, et s'il fallait l'arrondir, ce serait 138° plutôt que 137... Je signalais dans le billet 137 que la présence dans les fleurs de type tournesol de parastiches correspondant le plus souvent à deux nombres consécutifs de Fibonacci était une énigme aujourd'hui résolue.
  Il n'en va pas de même pour l'angle d'or, soit
360° / phi ≈ 222.5°, ou 137.5° en tournant dans l'autre sens. Les rameaux d'un arbre se diversifient souvent du tronc principal selon cet angle d'or qui assure un ensoleillement maximal.
 
  Je reviens aux deux paragraphes de 211 mots, que voici mêlés, en alternant des sections de 10 mots de chaque paragraphe:

   Si je dois lui trouver quelque défaut, ce sera qu'
   Revenant donc à lui au terme de la légère sidérale
il est quelquefois le jouet de croyances ou de théories
hypnose que lui avait infligée, apparemment, et la pharamineuse méridionale
relatives à ce monde physique que j'appellerais plutôt fantaisies
jactance, et l'abracadabrante kyrielle des élucubrations, l'illustre directeur
que vérités probables ou expérimentales. Celle que vous me demandez
de revue, après avoir (ils n'y avaient que trop
d'exposer en fait partie, à mon avis. La série
perduré) ôté de ses lèvres les quatre grains de sable
des nombres à laquelle vous faites allusion apparaît en premier
selon un geste divinement machinal, très simple, du revers de
dans le Liber Abaci d'un Leonardo da Pisa, érudit
son bras (et c'est pourquoi, bien sûr, je crains
italien. Il ne l'a imaginée, a-t-il admis
par anticipation, en vint lors à interférer certain "méchant parler
lui-même, pour rien autre que le calcul de la
d'outre-manche"), murmura avec la plus aimable des douceurs, non
multiplication des lapins dans une garenne. Toutefois Monseigneur voulait retrouver
pas, même au neuvième degré (qui vous parle du cimetière
cette loi des proportions (qui reste la même quelle que
des parenthèses au bord de l'eau ?), ce n'était
soit l'augmentation du nombre des éléments) partout dans la
guère son genre, et même si les moins scrupuleux d'
nature, et qui est discernable jusque dans les mouvements des
entre vous eussent souhaité pouvoir en nourrir le pire de
planètes et l'arrangement des étoiles dans le ciel; il
leur chuchotis, "ma chère âme, je ne suis pas tout
la voyait pareillement dans toutes les plantes, dans la disposition
à fait celle que vous croyez", mais tout bonnement, ayant
de leurs feuilles; et à cette loi il donnait le
su lire entre les lignes à demi-mots qu'il s'
nom de phyllotaxis, qu'il empruntait au grec. Il pensait
agissait, outre les sphères, plutôt un peu de littérature, "mon
aussi que cette séquence primordiale pouvait être retrouvée dans l'
cher ami, votre jeu est trop compliqué pour que quiconque,
histoire du monde, dans le passé et l'avenir; et
y compris vous à plus d'un titre, et sauf
donc, si elle était totalement élucidée, qu'on pourrait s'
le Très-Haut peut-être, avec ses machines, puisse jamais apercevoir l'
expliquer la chronologie du passé et prédire celle de l'
intégrale transmutation que vous me paraissez avoir le dessein de
avenir.
faire...".


  J'avais reproduit la page 211 parce que son texte y est attribué à Nicholas Saunderson, nom de valeur 211 se répartissant en un couple doré, 81-130.
  Sachant maintenant que le paragraphe compte 211  mots, j'ai la curiosité d'aller voir ce qui se passe à la césure d'or, entre les mots 81 et 82, qui se trouvent être les mots "lui-même", désignant Léonard de Pise, Fibonacci. C'est l'un des seuls tirets du paragraphe, un tiret grammatical à distinguer des tirets des mots composés, comme "outre-manche", "peut-être", "demi-mots", qui ne comptent que pour un seul mot pour Ricardou, selon ses propres énumérations dans la Préface.
  Il est tentant d'imaginer que ce "lui-même" pourrait s'appliquer à Nicholas-Saunderson, mathématicien d'outre-Manche, or à ces rangs 81-82 correspondent chez Ricardou les deux mots "d'outre-manche".

    Deux mots se trouvent aux mêmes rangs dans les deux textes, "lui-à", mots peu significatifs, et peut-être n'est-il en rien remarquable de trouver deux mots identiques dans des textes quelconques de longueurs identiques, je n'ai pas le courage de le vérifier.
  Les rangs de ces mots sont 4-155, de somme 159, moitié du rang 318 de ce billet, et ceci m'amène à sa conclusion.

  Le billet 316 a été intitulé Une intégrale transmutation, mots empruntés à la fameuse phrase de 211 mot, choisis parce que l'expression a pour valeur 316.
  La coïncidence 137 survenue pendant l'écriture du billet m'a conduit, après la constatation que "transmutation" compte 13 lettres, à y joindre une épithète de 7 lettres portant la valeur du total à 317, et le titre du billet 317 fut donc Une transmutation cryptée.
  Je savais en écrivant ce billet 317 que le billet 318 serait publié le 31/8 et que son titre aurait pour valeur 318. Il n'y avait guère de solution avec une épithète de 8 lettres, Une transmutation complexe, Une transmutation profonde... Je me suis alors orienté vers un titre en 21+13 lettres, parce que le 31/8 m'est significatif en tant que 21/13 du calendrier pataphysique.
  Les 13 lettres de "transmutation" ayant une valeur trop élevée (185) pour parvenir à un résultat, j'ai songé au mot "constellation" utilisé par Ricardou comme exemple de la présence du nombre de Fibonacci 13 dans La prise de Constantinople.
  Il se trouve que ce mot a pour valeur 159, l'exacte moitié de 318, ainsi, si je trouvais une expression satisfaisante en 21 lettres de même valeur 159, la valeur moyenne d'une lettre de "constellation" serait en rapport 21/13 avec celle d'une lettre de l'expression.
  Il me fallait aussi un mot de 8 lettres accolé à "constellation", j'ai pensé à "croisade", toujours à cause du roman de Ricardou. Je suis parvenu assez facilement ensuit à
  De l'algèbre à la croisade : constellation
qui m'a paru significatif, car voici quelle était la dernière proposition de Ricardou quant à la présence de Fibonacci dans son roman:


  J'ai dit ce que j'en pensais dans le billet 316, et je remarque maintenant que Ricardou associait la parution du livre d'algèbre de Fibonacci (également mentionné par Saunderson) à la croisade. Le mot "algèbre" s'est imposé à moi en cherchant quels mots de 7 lettres de valeur 50 débutaient par une voyelle.

  Après coup, je remarque que les 21 lettres peuvent se découper en 3-18 (2 et 4 mots), et que les 18 lettres ont pour valeur 138.
 
   Pour qui l'ignorerait, le nombre 318 est souvent cité comme exemple d'intervention de la gématrie dans la Bible. Chapitre 14 de la Genèse, Abraham est dit mener une mission accompagné de 318 hommes, or c'est en hébreu la valeur du nom de son intendant, Eliézer.
 
  Je rappelle que, en langage jungien, la "constellation de l'archétype" est mise en oeuvre dans la synchronicité.

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