à Denise
En 1997 la relecture de Et le 8e jour... de Queen m'avait été un tel choc que j'avais aussitôt entrepris de rassembler tous les Queen, pour la plupart déjà lus mais non conservés. Il s'était alors posé le problème de leur trouver une place, résolu en partageant un haut casier parmi mes rayonnages. Par paresse, j'avais fait reposer la planchette supportant les Queen sur deux livres choisis d'abord pour leur hauteur de 24 cm, supérieure à la moyenne, ensuite parce que je les jugeais alors de peu d'intérêt, Alliance de feu, d'Annick de Souzenelle, et La 12e planète, de Zecharia Sitchin (tiens, les deux sont donnés nés en 1922 par Wikipédia.fr, mais selon d'autres sources Sitchin serait né le 9 octobre 1920).
Le déménagement proche m'a amené à ranger les Queen dans un carton, libérant les deux piliers les supportant depuis 17 ans. Voici à peu près à quoi ressemblait l'étagère inférieure, mais je n'ai pas eu le courage de réinstaller les Queen :
Un rapide coup d'oeil à La 12e planète a été l'occasion d'un nouveau choc. J'y ai lu page 159
Une fois compris que mu et shem devraient être traduits dans les textes mésopotamiens non pas par "nom" mais par "véhicule spatial", on commence à comprendre le vrai sens de nombreux récits anciens, en particulier l'histoire de la tour de Babel.Voici toute la page (clic pour agrandir).
J'ai mentionné à diverses reprises l'hébreu shem, "nom", formé des lettres S et M, ש et מ, de rangs 21 et 13 dans l'alphabet hébreu, couple fibonaccien qui m'est si important que j'ai répertorié sur cette page plus de 100 cas remarquables. Les lettres de rangs équivalents dans notre alphabet actuel sont U et M, aussi m'est-il immédiatement évocateur que le sumérien MU soit équivalent à l'hébreu שמ.
Si le véhicule spatial de Sitchin a tout de l'affabulation, il semble au moins acquis que mu est parfois employé à la place du sumérien shu-mu, "nom", à l'origine de l'hébreu shem. Aucune source n'accrédite cependant l'idée qu'un sens de mu ait été "ce qui s'élève tout droit", alors que Sitchin affirme que c'est son sens principal, ni que shu-mu soit dérivé de mu par l'addition du relatif shu, totale invention car les pronoms relatifs sont inconnus en sumérien...
Tout semble à l'avenant dans ce qu'avance Sitchin, à tel point qu'on peut douter de sa raison, et s'étonner que des éditeurs aient publié ses élucubrations, semblant néanmoins avoir trouvé un public puisque pas moins de 9 titres ont suivi The 12th Planet, ce premier opus ayant été traduit dans de nombreuses langues.
Enfin on sait que certains éditeurs se soucient plus de rentabilité que de sérieux, et je bénis cette faiblesse sans laquelle j'aurais ignoré l'extravagante idée qu'un shem, un 21-13, puisse être un vaisseau spatial. Sitchin reprend diverses hypothèses extraterrestres déjà proposées par d'autres, comme l'élévation au ciel de Enoch et Elie, ce dernier sur un char de feu volontiers identifié à un vaisseau ET. Ces cas sont étudiés pages 149 et 164 dans La 12e planète, lors du développement de l'hypothèse mu-shem, et il ne fait nul doute pour Sitchin que Enoch comme Elie aient été emmenés chacun dans un shem.
Or un de mes cas 21-13 essentiels est les valeurs numériques en hébreu de Enoch-Elie, 84-52, dont le rapport 84/52 se simplifie en 21/13. Ces nombres sont obtenus en additionnant les valeurs de chaque lettre dans l'alphabet numéral hébreu, alors que 21-13 représentent les rangs des lettres composant shem. Cet autre mode de calcul est aussi couramment utilisé par l'exégèse, et le nom Elie, Elyahu translittéré ALYHW, "Dieu (est) YHWH", se décompose selon ce mode en
AL = 1+12 = 13
YHW = 10+5+6 = 21
Selon certaines exégèses un autre "nom", shem, de Enoch-Metatron serait YHWAL, "YHWH (est) Dieu", interversion des deux mêmes "noms" divins principaux.
Je remarque qu'en utilisant la forme très répandue du nom Elie,
ELIJAH = ENOCH = SHEM = 45 (selon notre alphabet)
Enfin, je n'avais pas encore vu que les deux calculs du nom ALYHW donnent
ALYHW (rangs) = 34 = CARL
ALYHW (valeurs) = 52 = JUNG
Je rappelle que l'un des instructeurs de Jung dans le Livre Rouge est Elijah.
Sitchin relie la destruction de Babel au fait que ses constructeurs prétendaient se faire un shem (Gn 11,4). Il se gausse des traductions usuelles "faisons-nous un nom", et c'est bien entendu la construction d'une base spatiale qui a provoqué le courroux des Dieux, désireux de conserver le monopole de la navigation interstellaire.
J'avais mis en relation Enoch-Elie, seuls personnages de l'Ancien Testament à avoir été élevés vivants au ciel, et Haemmerli-Jung, protagonistes du premier récit (à ma connaissance) de rencontre hors de la terre lors d'une NDE. Si ni Jung ni son docteur n'avaient eu besoin d'un mu ou d'un shem pour se rendre sur un roc flottant loin dans l'espace, j'avais été frappé par les valeurs de leurs noms dans notre alphabet :
HAEMMERLI / JUNG = 84/52 = 21/13, comme Enoch/Elie en hébreu.
Le nom du docteur de Jung est lié au "marteau", Hammer, et ceci m'avait rappelé l'oracle contre Babel du chapitre 51 de Jérémie, oracle où est employé le code atbash, peut-être premier exemple connu d'un codage sophistiqué. Divers auteurs ont envisagé d'autres emplois du code que les deux cas certains de l'oracle, Babel (BBL) transformé en Sesak (SSK), et "Chaldéens" (KSDYM) transformé en "coeur de mes ennemis" (LB QMY), et j'ai pour ma part remarqué que YHWH appelle à 10 reprises Babel son "marteau", MPÇ, dont le codage atbash est YWH, les 3 lettres composant le Tétragramme, le nom divin suprême qu'il est depuis la destruction du Temple interdit de prononcer, remplacé dans l'usage courant par la formule ha shem, "le Nom".
J'ai à maintes reprises parlé de Babel, et notamment de sa destruction en l'an 1996 de la Création selon la chronologie traditionnelle, soit 340 ans après l'autre grand cataclysme provoqué par Dieu, le Déluge. Les commentateurs ont relié ces 340 ans à la valeur de shem, qui est aussi le "nom" du principal fils de Noé, Sem, père des Sémites et donc des Sumériens, ce qui donne un écho aux élucubrations de Sitchin, sans bien sûr les valider.
Mes investigations sur Babel-Sesak m'ont conduit aux châteaux triangulaires Wewel et Sisak. Une mini-série TV sur la lance sacrée m'a consuit au nom sumérien de la constellation de la Lance, kak-si-sa, en étroite résonance avec Sisak, le château triangulaire croate rappelant curieusement le codage SeSaK de BaBeL, tandis que l'autre château triangulaire de mon Etoile de Babel, Wewel, symbolisait pour certains le fer d'une lance pointée vers le Septentrion.
J'avais été frappé par les glyphes correspondant à mul (constellation) kak-si-sa : mul est un triangle d'étoiles, et kak un parfait triangle isocèle, ce qui est d'ailleurs assez logique puisqu'il s'agit de la pointe d'une arme, mais il est tout de même remarquable de trouver ces divers triangles associés à un nom ressemblant si fortement à Sisak.
La requête kak-si-sa livrait pour premier résultat (en avril 2009) le pseudo kaksisa du photographe amateur Christopher Hamersley, sur Flickr. C'est encore un formidable écho, puisque c'est le nom du médecin qui a sauvé Jung, Haemmerli, qui m'a orienté vers Babel, comme je l'explique dans D'un marteau l'autre, après la première piste du meurtre à coups de marteau chez les Esséniens de Quenan, le mercredi 5 avril 1944 dans Et le 8e jour... (un des derniers Queen qui était donc à peu près au-dessus de La 12e planète dans mes étagères).
Le lien ci-dessus est toujours valide, mais Christopher Hamersley a choisi de s'appeler désormais Kaksisa Kobayashi (d'autres pages montrent qu'il s'agit toujours de Hamersley) :
En novembre 2014, Kaksisa a 620 photos sur Flickr, or 620 est précisément la valeur du codage de Babel SSK, valeur qui faisait déjà coïncidence avec SNOR, Shinéar, nom donné à Sumer dans la Bible.
Le Nouveau Testament a adjoint à Enoch et Elie deux autres personnages encore vivants aux cieux, Malkitsedeq et Moïse, et il est fabuleux que ces deux personnages aient une relation privilégiée avec le mot shem.
Malkitsedeq est identifié traditionnellement au patriarche Shem.
Moïse, descendant de Shem à la 15e génération, s'écrit en hébreu MSH, renversement de HSM, ha shem, "Le Nom", désignation commune du Tétragramme YHWH.
Ceci me fournit une transition vers l'autre "pilier" de l'étagère Queen, Alliance de feu, d'Annick de Souzenelle, relecture du premier chapitre en hébreu de la Genèse, bereshit, "au commencement", traditionnellement lu berit esh, "alliance de feu". Je n'ai rien de négatif à en dire, sinon que la cosmogonie de la Genèse est à l'évidence calquée sur les croyances mésopotamiennes, et qu'une étude approfondie ne peut à mon sens éluder ce fait.
Un parallèle frappant existe avec La 12e planète, où Sitchin a choisi de rendre par l'hébreu shem toutes les occurrences des mots sumériens mu ou shu-mu désignant selon lui un vaisseau spatial. Souzenelle a choisi d'écrire en majuscules NOM chaque traduction du shem hébreu, et c'est le seul mot bénéficiant de ce traitement.
Il y a peu de personnages nommés dans le livre, et l'un d'eux est Malkitsedeq, lequel n'apparaît cependant que dans un court passage biblique. Je donne ci-contre cette page 415 où apparaît aussi un NOM.
Souzenelle introduit le Tétragramme ainsi, page 41 :
יהוה est le NOM sacré que les Hébreux ne prononcent jamais, qu'ils épèlent Yod-He-Waw-He des quatre lettres qui le constituent ou qu'il glorifient sous le nom d'Adonay "mon Seigneur". Enfin ils le nomment HaShem השם, le NOM, celui qui est au-dessus de tous les noms.Ainsi le NOM shem a-t-il un traitement particulier dans ce qui constituait les deux piliers de l'étagère Queen, et il apparaît d'étonnants échos avec la forme atbash de SM, soit BY.
Ces lettres Bet-Yod sont les initiales de Yakin et Boaz, ou Jakin et Boaz, les deux colonnes du Temple de Salomon, symbole essentiel des Francs-Maçons, souvent identifiées par les initiales JB. Je ne pensais aucunement à ceci lorsque j'ai placé une équerre sur l'étagère pour prendre la photo ci-dessus.
BY signifie "par moi", ou "en moi". Il me semble exister des commentaires sur la transformation atbash SM <> BY, mais je n'en trouve aucune référence. Du moins suis-je sûr du jeu HSM <> ÇBY, "le NOM" <> "cerf", notamment revendiqué par Shabbataï Tsevi, messie autoproclamé au 17e siècle.
BY a pour valeur 12. Selon Sitchin, les Sumériens connaissaient 11 planètes dans le système solaire, ce qui me semble loin d'être assuré, et il l'est encore moins que sa 12e planète soit le corps céleste habité par les Nephilim, dieux des Sumériens, corps traversant tous les 3600 ans le système solaire... Parmi les derniers Queen, rangés non loin au-dessus de La 12e planète, il y a le 30e roman, Le mot de la fin, construit sur deux nombres clés, le 12 dans ses multiples acceptions, et le 20 nombre des lettres de l'alphabet sémitique. Le roman suivant est L'adversaire, mystérieux criminel signant Y, et qui n'est autre que YHWH, le NOM... Puis vient Et le 8e jour..., dernier roman basé sur un thème sémitique.
Je connais l'akkadien shum, "nom", depuis bien avant mes recherches bibliques, grâce à une BD de la série Conan, L'abîme du temps. Il y apparaît le sorcier Shamash-Shum-Ukin, "le Soleil a établi son nom", dont le nom est emprunté à un roi de Babylone. Ce "nom" m'a frappé et je ne l'ai jamais oublié, bien qu'ignorant son sens.
Sitchin exploite le voisinage des mots shum, "nom", sham, "ciel", shamash, "soleil". Souzenelle remarque de son côté que l'hébreu shamayim, "ciel", pourrait correspondre à un pluriel duel de shem, "nom", substantif masculin qui a un pluriel irrégulier de forme féminine, shemot.
Le dernier développement de l'affaire Nour-Kmar ("lumière-lune") m'a donné assez récemment l'envie de trouver un couple de mots apparentés qui offrirait un rapport d'or idéal, comme l'hébreu hama-levana ("soleil-lune") de valeurs 53-87 correspondant aux deux périodes séparant les dates connues de l'échange Jung-Haemmerli :
- 11 février, fracture du pied de Jung, expédié à la clinique de Haemmerli;
- 4 avril, lever de Jung et alitement de Haemmerli, 53 jours après le 11/2;
- 30 juin, mort de Haemmerli (et peut-être sortie de l'hôpital de Jung), 87 jours après le 4/4. Jung a gravé sur la pierre de Bollingen les symboles du soleil de la lune, de part et d'autre d'un Télesphore mercuriel symbolisant sa guérison du 4/4/44.
NOUR = 68, KMAR = 43, dans notre alphabet.
La relation dorée la plus parfaite est 68/42, et j'y étais parvenu en utilisant le fait que la voyelle de KM(A)R n'était pas notée en arabe. Les autres relations dorées proches sont 69/43 et 70/43, auxquelles on peut parvenir avec les adjectifs nouar et anouar, "lumineux", qui sont aussi des noms propres arabes courants. La requête "nouar" "kmar" a aujourd'hui 15 novembre pour premiers résultats deux pages du Quotidien d'Oran citant les noms Kmar Bendana, la mariée de l'épithalame de Perec elle-même, et Karim Nouar, nom assez courant (il y en a 6 sur FaceBook).
La requête "anouar" "kmar" a pour premier résultat une page FaceBook où les prénoms Anouar et Kmar se succèdent immédiatement. Je note que l'identifiant du post débute par 68043, 68 et 43 valeurs de Nour et Kmar.
Mes recherches m'ont fait privilégier 69/43, correspondant au partage doré de 112, 112 étant le nombre de mots du sonnet de Perec Vocalisations de valeur 6272, nombre de jours vécus par Jung après le 4/4/44. Jung avait vécu 4 fois 6272 jours avant ce 4/4/44, et il existait 4 arrangements des 497 lettres de ce sonnet avant que j'en compose une nouvelle anagramme en décembre 2006. J'avais veillé à marquer dans mon anagramme les césures dorées selon 4 modalités :
- la gématrie 6272 répartie en 2396-1480-2396, et je me suis émerveillé ensuite que le 1480 central soit la valeur du grec Telesphoros;
- les 497 lettres en 190-117-190;
- les 168 pieds en 64-40-64;
- les 112 mots en 43-26-43.
Je ne pense pas avoir encore écrit que ce dernier partage pouvait se lire 26-86, gématries des deux noms principaux de Dieu en hébreu, YHWH et Elohim, ALHYM, le Tétragramme et le "pentagramme".
Le partage doré de 112 est donc 43-69. Puisque 43 correspond à kmar, "lune" arabe, je me suis demandé si un "soleil" sémitique pouvait donner un 69, et il y a bien l'akkadien shamash, vu plus haut. Une recherche "kmar" "shamash" donne divers résultats, dont la présence en Iran de deux montagnes Kuh-e Tu Kmar (2717 m) et Kuh-e Shamash (1595 m).
On rencontre encore la translittération shemse (69 encore) pour l'arabe "soleil".
J'avais vu qu'à kmar-nour correspond en français
LUNE-LUMIERE = 52-83, autre équilibre doré, moins bon cependant que le fibonaccien 52/84 = 13/21.
SOLEIL = 72, auquel il manque un L = 12 pour faire 84, or une orthographe commune en vieux français est "solleil", et une requête "solleil" "lune" donne de nombreux résultats, desquels j'extrais ce poème du 15e siècle :
Je constate que les différentes relations soleil/lune trouvent toutes des échos jungiens immédiats:
- hama-levana (hébreu) = 53-87, les intervalles entre les jours clés de 1944;
- SHAMASH-KMAR = 69-43, les 112 mots du sonnet de valeur 6272, avec 112 pouvant se lire 11 février, date significative pour Perec comme pour Jung;
- SOLLEIL-LUNE = 84-52, comme HAEMMERLI-JUNG, ou Enoch-Elie (hébreu).
Jouer avec l'anglais m'a conduit à découvrir
SUNNY-MOON = 93-57 ("lune ensoleillée)", avec 93-57 correspondant aux deux briques dorées de l'acrostiche du double roman circulaire O Révolutions, SAMHAILEY et le triple AND.
Je rappelle
SAM AND HAILEY = 112 = DANIELEWSKI (et la possibilité de relier aux divers 112 vus plus haut)
Je ne sais à quoi ressemble le shem, "vaisseau spatial", qui a permis à Zecharia Sitchin de découvrir sa 12e planète, mais son shem, "nom", a en hébreu une particularité remarquable, à condition de prendre en compte la forme finale (sofit) de la lettre noun achevant son nom. Une variante de l'alphabet numéral hébreu donne aux formes finales de 5 lettres les valeurs de 500 à 900 (et les rangs 23 à 27).
J'utilise rarement cette variante qui est tardive, mais, la gématrie elle-même étant postérieure à l'écriture de la Bible, aucun procédé n'a de réelle prévalence, et rien ne s'oppose à étudier ce que donnent les diverses méthodes traditionnelles.
Toujours est-il que le nom hébreu de Zecharia Sitchin a 11 lettres, זכריה סיטשין, et que la valeur sofit de ces 11 lettres est 1331 = 11x11x11.
Les deux autres valeurs données par cet outil sont la valeur ordinale, 143 = 11x13, et le mispar qatan (en ne tenant pas compte des zéros), 44 = 11x4.
C'est la simple arithmétique qui fait que la divisibilité par 11 dans l'un des modes se transmet aux autres modes.
Enfin, puisque la triade Soleil-Mercure-Lune de la pierre de Bollingen a été à nouveau convoquée ici, je crois opportun de signaler le nouveau site d'Ariaga, dont l'en-tête d'Ephême montre un arbre lunaire et un arbre solaire dont les branches convergent vers une colombe mercurielle :
2 commentaires:
Je lis quand je peux mais j'ai des problèmes oculaires qui ne me permettent pas de lire des textes longs. Avez vous été sur le nouveau site, votre avis m'intéresse et quand je vais arriver aux nombres vous serez précieux pour les "augmentations" que je compte faire. amitiés.
Oui, chère et fidèle Ariaga, j'avais été voir le chouette nouveau site.
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