10.10.22

de quatre-vingt-neuf à twenty-one

à 21 & 89

  Les deux billets de septembre étaient intitulés
- Hi !, pour HI = 8-9 ou 89, parce que je me suis avisé que mes deux découvertes sur 6272, valeur du sonnet Vocalisations de Perec, avaient eu lieu à 46 et 58 ans, valeurs des mots du sonnet que j'avais modifiés dans son codage pour mon roman, et des mots NEUF et HUIT, la seconde découverte datant du 8/9 (2008), mon nom SCHULZ ayant en outre la valeur 89.
- 1La vie 2mortelle, en lien avec Hi ! parce que la valeur de QUARANTE-SIX, 149, est la même que LA VIE MORTELLE, titre de roman SF vu dans un rêve vers 25 ans, sur lequel j'ai bâti divers projets.
 
  Je prévoyais des suites à ce dernier billet, où plusieurs pistes restaient ouvertes, mais j'ai consacré le billet suivant au roman de Bernard Werber qui venait de paraître, La diagonale des reines, avec des échos à mes préoccupations antérieures.
  J'étais satisfait de m'éloigner des thèmes évoqués dans les deux précédents billets, n'étant guère à l'aise avec ce qui me touche de près, et puis patatras, le roman de Werber m'a conduit à un lien imprévu entre ces deux billets. 
  L'alternance de ses chapitres où la narration suit tour à tour les deux protagonistes m'a conduit à retrouver ceci:
UN + DEUX = 35+54 = 89.
  Ainsi les 1-2 laissés de côté dans 1La vie 2mortelle font écho au 89 de Hi !, surtout vu comme 8-9.

  La diagonale des reines compte 89 chapitres, dont 21 particuliers, où la narration est additionnée d'extraits encyclopédiques, familiers aux lecteurs de Werber, mais dans ses autres romans ils constituent des chapitres à part.
  Le roman est divisé en 8 parties, probablement parce que le jeu d'échecs y est au premier plan, et qu'il se joue sur un plateau de 64 cases, 8x8. 
  Le nombre soixante-quatre est cité à diverses reprises par les deux héroïnes du roman, joueuses d'échecs, et j'ai remarqué que son numéro de publication chez Albin Michel était 646478, doublant la séquence 64. C'est certainement un hasard, mais je m'intéresse à de tels hasards, surtout quand ils se répètent.

  Ce doublement 64 m'a conduit à me remémorer une équivalence entre les valeurs d'un couple d'opposés:
JOUR = NUIT = 64.
  Je ne l'avais pas mentionné, mais je me suis ensuite demandé ce que ça devenait en anglais:
DAY = 30, NIGHT = 58, et 30+58=88,
déjà repéré comme correspondant à des couples opposés, notamment
LOVE & HATE LOVE HATE = 54+34 = 88,
en anglais également.
  J'en avais tenté une récapitulation, retrouvée ici en faisant une recherche "88" sur Quaternité, et j'y ai ajouté le couple day-night.

  Cette recherche m'a aussi fait redécouvrir un roman dont j'avais parlé en 2012, sur le premier billet consacré aux Lieux-dits de Ricardou, roman en 8 parties de 8 sections chacune, à l'image immédiate de l'échiquier.

  Incidemment, ce billet mentionnait les deux versions de "Numéro 24" publiées par Bernard Magné, ce qu'il m'avait semblé amusant d'illustrer par un médicament de confort, le Magné 24, composé de gélules différenciées à prendre le matin pour le JOUR, le soir pour la NUIT...
  Ces numéros 24 se réfèrent à la 24e lettre, X, que Ricardou voyait achever idéalement le mot "croiX", et sa table des matières, en 8 lieux de 8 lettres, faisait croiser BELCROIX en diagonale avec le 4e lieu, Belcroix.
  J'avais exploité la Saint-André (le crucifié en X) pour publier le billet le 30/11, à 8:08 car il y était question aussi d'une nouvelle de Yolande Villemaire inspirée par Les lieux-dits, dont les aspects prémonitoires du Onze Septembre étaient étudiés ici.
  Dans le roman et la nouvelle intervenait le nom Atta. Il y avait une chambre 808 dans la nouvelle, et le mot BELCROIX a pour valeur 88, ce qui m'amenait à écrire ceci:

   Chambre 808, Belcroix 88, Atta... J'ai lu il y a quelques mois un thriller de Henri Loevenbruck, Le syndrome Copernic (2007), en 88 chapitres, s'ouvrant sur l'attentat commis à 8:08 le 8/8 contre la plus grande tour de La Défense, qui s'effondre en faisant 2634 victimes.
  Le roman multiplie les 8 divers (...)

  Je ne reviens pas sur l'intrigue, qui démarre fort bien, mais qui s'essouffle ensuite à mon goût, jusqu'à un dénouement sans réelle originalité. Bref, s'il fallait recommander une histoire de personne découvrant que le monde où elle vivait n'est qu'illusion, je citerais en premier lieu Le temps désarticulé, de PK Dick.

  Je notais encore ceci:
  Il y a une curiosité numérologique dans ce roman, où 26 des 88 chapitres sont des notes du carnet du héros, Vigo Ravel. Ces notes sont numérotées par des nombres premiers successifs, à commencer par celui qui suit 88, soit 89, aussi nombre de Fibonacci. La dernière note porte le numéro 233, autre Fibo, mais ceci n'est possible que grâce à deux discontinuités dans la suite des nombres premiers, les notes 179 et 227 ayant été oubliées (...)
  Bien que les faits étaient plus frais en 2012, je ne me suis pas souvenu alors de ce qui m'est revenu en septembre dernier:
- les 11 chapitres de Rendez-vous au bord d'une ombre, de Gérald Tenenbaum (2002), lu en 2007, font apparaître les 26 premiers nombres premiers, en ordre inverse, de 101 à 2, dans des chapitres intitulés de DIX à ZERO;
- Le bizarre incident du chien pendant la nuit, de Mark Haddon (2003), lu peu après, a ses 51 chapitres numérotés par les nombres premiers, de 2 à 233.

  Sinon, j'aurais creusé le roman de Loevenbruck, car c'est intrigant d'y trouver une suite de 26 nombres premiers, comme dans le roman de Tenenbaum, s'achevant sur 233, comme dans le roman de Haddon.
  Il n'est pas trop tard pour approfondir. Ces notes constituent des chapitres complets, comme les extraits encyclopédiques qui parsèment les romans de Werber (un des 21 membres, comme Loevenvruck, de La Ligue de l'Imaginaire). Il n'est jamais question des nombres premiers dans le texte, c'est au lecteur qu'il incombe de les identifier (ce qui ne m'a pas été difficile).
  Ces notes sont données dans les chapitres 4, 6, 9, 11, 15, 18, 22, 25, 30, 32, 34, 37, 41, 45, 48, 51, 54, 60, 64, 66, 71, 74, 79, 83, 85, 87.
  Les numéros des notes sont donc les nombres premiers de 89 à 233, dans l'ordre, mais il manque 179 et 227. Le contenu est généralement en rapport étroit avec la narration.
  Il m'a semblé s'imposer de s'intéresser aux chapitres de notes dont les numéros sont eux-même premiers, soulignés ci-dessus. Ce sont donc 11-37-41-71-79-83, et ceci amène à un étrange constat:
11+37+41 = 89, le numéro de la première note;
71+79+83 = 233, le numéro de la dernière note.

  C'est vraiment étrange, et l'étrangeté peut être évaluée en constatant qu'il n'y a qu'une seule possibilité d'obtenir 233 comme somme de trois nombres premiers inférieurs à 88. J'en vois au moins une autre pour 89 (23+29+37).
  Il est sans doute temps de montrer comment se présentent ces notes, avec par exemple le début du chapitre 71:
71.

Carnet Moleskine, note n° 197 : quatre-vingt-huit.
  J’ai peut-être été paresseux. J’ai sondé l’année 1988, en espérant y trouver quelque écho de mon histoire, mais sans doute aurais-je dû chercher plus loin, dans les mystères du nombre.
  Je me suis prêté au jeu, et je ne suis pas sûr d’avoir trouvé quoi que ce soit de concluant. Il y aurait tant à dire !
  88 est un nombre intouchable. Ça en impose, comme ça, mais c’est simplement un truc de mathématiciens. En gros, cela signifie que 88 est un entier naturel qui ne peut pas être exprimé comme la somme des diviseurs propres de n’importe quel entier. Les premiers nombres intouchables sont 2, 5, 52 et 88.
  Je n'ai évidemment pas choisi au hasard ce chapitre, dont le numéro est un nombre premier, et qui est le seul où Vigo Ravel s'aventure dans la théorie des nombres. La suite des nombres intouchables est A5114 sur l'OEIS.
  J'ai souligné le s de diviseurs propres, car il est absent dans le roman, où je n'ai pas repéré d'autres erreurs. Ceci pourrait suggérer que Loevenbruck a recopié une définition utilisant des termes qui ne lui sont pas familiers, à moins que l'erreur ne soit volontaire, pour égarer les exégètes...
  Par ailleurs, "diviseurs propres" est aujourd'hui impropre, le langage mathématique utilisant "diviseurs stricts". J'avoue que j'utilisais moi-même le terme "diviseurs propres", et plusieurs pages en ligne donnent l'exact énoncé de Loevenbruck, "qui ne peut pas être exprimé comme la somme des diviseurs propres" (sans faute); j'ignore ce qu'il en était en 2006 lorsqu'il a écrit son roman.

  Aller plus avant conduit à quelque chose d'encore plus vertigineux. J'ai eu l'idée de considérer comme un tout les 26 chapitres de notes, de 1 à 26, et de regarder à quels rangs apparaissent les chapitres de numéro originalement premier (11-37-41-71-79-83), ce qui conduit aux rangs
4-12-13-21-23-24, de somme 97.
  La somme des rangs des autres chapitres est 254 (et la somme de l'ensemble 351, somme des 26 premiers nombres, le compte est bon).
  Or 97 et 254 appartiennent à la suite additive que Guy Bernard a nommée suite de Pythagore.

  Ici il faut faire un peu de théorie. La suite additive la plus simple est celle de Fibonacci, débutant par les termes 1 et 1:
1-1-2-3-5-8-13-21-34-89-144-233-...,
dont les termes sont (entre autres) les réductions successives de la fraction continue du nombre d'or.
  La suite qui débuterait par 1 et 2 est la même suite décalée d'un rang.
  Ensuite vient la suite de Lucas, débutant par 1 et 3:
1-3-4-7-11-18-29-47-76-123-199-322-...,
dont les termes sont (entre autres) les approximations successives des puissances du nombre d'or. Elle est unie à la suite de Fibonacci par la formule
Ln  = Fn-1 + Fn+1
  Ensuite vient la suite "de Pythagore", débutant par 1 et 4:
1-4-5-9-14-23-37-60-97-157-254...
  Cette suite A285 de l'OEIS y figure aussi en tant que A104449, dite suite de Pibonacci, car en partant du terme initial P0 on a la succession
3-1-4-5-9 correspondant presque aux premiers chiffres de Pi (3,14159...). En partant des termes d'ordre zéro, les suites ci-dessus pourraient être décrites comme débutant par 0-1, 1-1, 2-1, et 3-1.

  97 et 254 sont donc les termes P9 et P11 de la suite de Pythagore (ou Pibonacci, disons Pithagore), tandis que 89 et 233 sont les termes F11 et F13 de la suite de Fibonacci. Il est étonnant que Loevenbruck ait éliminé deux nombres premiers pour parvenir à 26 notes, n° 89 à n° 233, plus curieux que les chapitres de numéro premier donnent également ces nombres 89 et 233, et il devient franchement ahurissant qu'un calcul assez immédiat sur l'ensemble de ces 26 notes mène à deux autres nombres d'une des premières suites additives, de rangs également différant de 2, si bien que les rapports 233/89 et 254/97 sont tous deux proches du carré du nombre d'or, 2,618...
  Et ce n'est pas tout!

  L'addition de deux nombres de Fibonacci de rangs différant de 2 mène à un nombre de Lucas, 322 dans le cas présent, ou L12.
  De même, l'addition de deux nombres de la suite Pithagore de rangs différant de 2 mène à une autre suite additive qui m'est depuis longtemps importante, que je pourrais baptiser suite Alphabet, que l'OEIS identifie comme A22388:
6-13-19-32-51-83-134-217-351-...

  Pourquoi Alphabet? parce qu'elle s'est imposée à moi le 13 avril 2005, en constatant que Perec avait séparé les 26 lettres de l'alphabet en deux groupes pour son recueil Alphabets:
ESARTINULO = 134, les 10 lettres les plus fréquentes en français, utilisées dans chaque poème;
BCDFGHJKMPQ VWXYZ = 217, les 16 autres lettres, chacune étant utilisée pour une suite de 11 poèmes composés avec cette lettre et les 10 précédentes.
  Le partage de ces 10 lettres en voyelles et consonnes livre
AEIOU = 51, et
LNRST = 83, à nouveau des nombres de la suite Alphabet...

  L'approfondissement du recueil met en évidence des relations mettant en oeuvre la suite de Fibonacci, la suite de Lucas, la suite Pithagore, et je remarquais dans mon étude mise en ligne en mai 2005, à propos du rapport entre cette dernière et la suite Alphabet:
C’est exactement de la même manière qu’on obtient la suite de Lucas à partir de la suite de Fibonacci.
  Je me gardais de me prononcer sur l'intentionnalité de cette architecture, d'autant que mes découvertes étaient liées à diverses coïncidences extérieures relatées sur des pages annexes, perdues lors de la suppression de mon site. Je ne me reconnais plus trop dans ces pages, mais j'ai remis celle-ci en ligne.

  Je ne vais pas plus me prononcer sur l'intentionnalité de l'architecture des notes du Syndrome Copernic, d'autant que mes découvertes sont liées à diverses coïncidences extérieures.
  Il y a déjà le temps. Loevenbruck déclare avoir écrit son roman entre mars 2004 et mai 2006, et mes découvertes sur Alphabets tombent en plein milieu de cette période. Le héros du roman de Loevenbruck entend des voix, et croit être schizophrène, jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'il perçoit les pensées des autres.
  Il a fait l'objet d'une expérience, le Protocole 88, destinée à améliorer les performances de militaires d'élite, créant notamment un lien télépathique privilégié entre eux. L'un d'eux a disjoncté, et commis le lundi 8 août à 8:08 l'attentat à La Défense, là où un psychiatre suivait les sujets de l'expérience. Vigo Ravel y venait précisément ce jour, et a perçu les pensées du disjoncté, ce qui lui a permis de sortir de la tour avant les explosions.
  L'année n'est pas précisée, et j'avais envisagé la possibilité 2008 dans ma première analyse, mais c'est en 2005 qu'il y a eu un lundi 8/8.

  Ce billet est le 351e de Quaternité, et j'ai décidé de le consacrer au Syndrome Copernic avant d'y découvrir la relation mettant en jeu le nombre 351.
  Toujours avant de découvrir cette relation, je lui ai trouvé un titre de valeur 351, basé sur les nombres 89 et 21, or une relation essentielle dans Alphabets est que le mot à valeur substantivale le plus abondant est "or", se répartissant entre les deux parties du recueil selon le rapport 55/34, deux nombres de Fibonacci dont la somme est 89 et la différence 21.

  J'ai commencé le billet le 8 octobre, le 8 8bre écrit-on parfois, et une coïncidence est survenue alors que je me rendais à Manosque, vers 10 h 30. J'ai mis la radio, sur France-Culture, et c'était l'émission Concordance des temps, que je n'écoute que lorsque le hasard s'y prête (en voiture). Jean-Noël Jeanneney avait ce jour pour invité Michel Pastoureau, venu présenter son livre à paraître, Blanc, histoire d'une couleur.
 

  C'est le dernier volet d'une hexalogie consacrée aux couleurs, et Pastoureau avait publié Noir en octobre 2008.
BLANC NOIR = 32+56 = 88
fait partie des couples d'opposés de somme des valeurs 88, dont la recherche m'a conduit aux 88 chapitres de Loevenbruck.

  Hier, 9 octobre, était annoncée la mort de Bruno Latour.
  C'était un ami de Tobie Nathan, lequel l'a introduit dans un de ses romans, Dieu-Dope, sous la forme Bruno Lareine, en référence évidente au jeu d'échecs.
  C'est La diagonale des reines qui m'a conduit au présent billet, et le mot "reine" a joué un rôle crucial dans mes découvertes sur Alphabets.

Note du 15/10: La page que je citais à propos de Latour/Lareine est en fait la seconde mouture d'une première analyse, Nathan-dez vous à savoir, que je viens de remettre en ligne car Latour n'apparaît pas dans la seconde version. Tobie Nathan le faisait tuer en 1995 par un assassin, attal en égyptien, ce qui pouvait être une prémonition de l'attentat d'Atta contre les Twin Towers, or dans un roman de Nathan postérieur au 11 septembre sont codées les lettres ATTA pour un motif explicite qui m'a paru fragile. Mon titre était une allusion à la formule Attendez-vous à savoir de Geneviève Tabouis, et sa page Wikipédia m'apprend que Léon Daudet l'avait surnommée Madame Tata la voyante, TATA anagramme de ATTA.

  Il semble au moins assuré que ce n'est pas un hasard si le roman a 88 chapitres, et leur répartition pourrait souligner une intentionnalité dans les 26 chapitres de notes, et l'omission de 2 nombres premiers:
- un prologue en 2 chapitres, sur l'explosion anéantissant la tour SEAM;
- une première partie, Le murmure des ombres, en 26 chapitres, s'achevant lorsque Ravel, qui pensait être Azimuté, Barjo, Cinglé, découvre qu'il n'est pas Zinzin;
- la deuxième partie, Gnosis, a 60 chapitres, probablement plus pour parvenir à 88 que pour avoir un nombre de la suite Pithagore.

  Je crois néanmoins devoir mentionner que le roman suivant de Loevenbruck, Le rasoir d'Ockham (2008!), a 97 chapitres, le nombre suivant de la suite Pithagore, et qu'il y est question du nombre d'or.

  Le syndrome Copernic semble être une invention de nombre de Loevenbruck, je n'en trouve pas trace ailleurs, voici ce qu'en dit le chapitre 34:
34.

Carnet Moleskine, note n° 139 : la révolution copernicienne.
(...)Le syndrome Copernic tient son nom à la fois de la certitude que celui-ci avait de détenir une vérité susceptible de bouleverser l’ordre du monde – en admettant qu’il en ait un – et du refus de ses contemporains de le prendre au sérieux.
  Je m'en sens quelque peu atteint aussi... Quoi qu'il en soit, le nom a peut-être été choisi pour ses 8 lettres, comme "syndrome", et pour l'attentat de la rue Copernic en octobre 1980, ce qui permet à Ravel de voir une coïncidence avec l'attentat de La Défense.

  Je remarque
LE SYNDROME COPERNIC = 17+113+83 = 213,
et Loevenbruck est né un 21/3, comme Bach, et certains ont vu cette date exprimée dans sa musique, notamment sous la forme 213.
  En y ajoutant
HENRI LOEVENBRUCK = 54+128=182, on a
213+182 = 395, que je sais être en hébreu la valeur du mot shemone, שׁמנה, "huit".
  J'écrivais récemment que j'étais conscient que la valeur du titre de mon roman Sous les pans du bizarre, additionnée à celle de mon nom, égalait 398, valeur de l'hébreu "cinquante", חמשׁים, hamishim, mais j'ignorais que sa parution serait retardée à octobre 2000, où j'aurais 50 ans.

  J"ai encore pas mal de choses sous le coude, mais je vais arrêter ici ce billet, aujourd'hui 10/10, à 18:29, 18 et 29 étant des nombres de Lucas contenant les chiffres 8-9-1-2 présents dans mes billets de septembre.

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