à Anne & moi
J'ai déjà fait part de mon idée de quitter ce monde en 2025, année sympa car 2025 carré de 45, valeur de "Rémi" comme de "carré".
J'aurai 75 ans le 6/7/2025, 2025 multiple de 75, de même que 1950, mon année de naissance.
J'ai envisagé la date du 26/7, où Jung aurait 150 ans.
Et puis mon obsession des Fibos 13 et 21, et de leur produit 273, gématrie de arba', "quatre" en hébreu, m'a conduit à calculer que le dernier jour de 2025 serait le 27573e de mon existence, 27573 produit de 101 par 273. Sympa encore, car 31/12 c'est 21/13 à rebours.
Quelques problèmes de santé motivaient ma décision, et ma vie n'était pas très marrante depuis la mort d'Anne le 13 février 21 (et avant avec sa maladie c'était pas spécialement le pied tous les jours).
Peu après le 4e anniversaire de sa mort, le principal problème, non identifié par les allopathes, est revenu, avec une acuité telle qu'il m'a fallu recourir au fentanyl conservé depuis 4 ans.
Il m'a semblé devoir réviser mes calculs, et je me suis aperçu que le 2 avril serait le 27300e jour de mon existence. Avec l'histoire des intervalles, le 3 avril survient 27300 jours après ma naissance, et, du 3/4 16:45 jusqu'au 4/4 16:44 ma vie contiendrait 27300 jours (périodes de 24 h) et des poussières.
Le billet Praelude op. 2025 était le 442e de Quaternité. J'ai créé ensuite le billet 443, commencé à l'écrire, et constaté que son PostId (identifiant propre à chaque billet, était
4440256918605723090,
débutant par 444. J'ai donc créé un autre billet, et réservé ce numéro pour le 444e billet, à publier idéalement le 4/4, mais j'envisageais d'autres publications avant l'aggravation de mon état...
La donne a changé avec le problème de santé qui semble si sérieux que je ne sais si je vais tenir jusque là. D'autres calculs m'ont amené d'autres découvertes.
Le 4/4 est le 273e jour à partir du 6/7 de l'année précédente, inclus ou non selon que l'année en cours est banale ou bissextile.
Le 4/4 à venir sera le 1512e jour à compter depuis celui, inclus, de la mort d'Anne. 15 et 12 sont dans le rapport 5/4, quintessence et q
uaternité. Lors de la création de Quaternité, j'ai trouvé significatif que son BlogId (identifiant du blog, figurant avant le PostId, accessible par le champ "commentaires" au bas du billet) débute par les chiffres 8064, avec de même 80/64 = 5/4
. Ceci eut un écho presque immédiat, avec le second billet de Quaternité, consacré à la BD Quintett, dont les 4 premiers tomes ont 64 pages, le 5e et dernier, 80.
1512 et 8064 sont des multiples de 168, le nombre de pieds d'un sonnet d'alexandrins, forme poétique que j'utilise fréquemment.
Il m'est venu d'écrire un sonnet en 168 lettres de valeur 1512, et un autre en alexandrins, débutant par "1512", puis 504 lettres de valeur 6552.
J'ai écrit le premier, que voici:
Anne en Rémiet je le poste illico, avant de partir pour l'hosto. J'y reviendrai si je survis...
fugace manne
là se délie
l'habile arcane
faible alibi
chiasme profane
il plaide ainsi
Rémi fête Anne
ce double quatre
face à la vie
face à la mort
ce double quatre
là l'ombre amie
se devine aurore
Le dernier vers a 5 pieds, c'est voulu.
La fin du 9e vers, "quatre", correspond à la valeur 936, 13 fois 72. La valeur totale 1512= 21 fois 72. Un autre 13/21, non prémédité... Les 5 derniers vers, 576= 8 fois 72, ou carré de 24.
L'autre sonnet prévu aura donc la valeur totale 8064, indicatif de Quaternité, répartie en 1512 et 6552, produit des Fibos 3.8.13-21. Du temps où je choisissais des heures de publication significatives des billets, en essayant d'y associer des PostId en rapport, j'avais choisi pour heure de publication du billet consacré à mon 60e anniversaire l'heure 06:07 et un PostId asssocié finissant par 65526552. C'est détaillé ici.
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1er mars. Je reviens à ce post 444, après avoir publié une 1e version, inachevée du post 443. Pour l'heure il me semble plus important de partager quelques constatations.
Je renonce à l'idée énoncée ci -dessus d'écrire le sonnet 1612+6552. J'en serais peut-être encore capable mais ça n'aurait sans doute que peu d'intérêt.
Alors voici ce qui me semble importemps, bien que je me sente incapable en mon état actuel de l'expliciter.
J'ai été conduit à relire les billets du 4/4/11, Marina 1870, et Sloty 1959, traitant de L'insolite aventure de Marina Sloty, survenue à cette demoiselle le 4 avril 1959, selon R. de Warren (1981), et de la nom moins bizarre histoire de Tania Vläsi arrivée ce même 4 avril 1959, selon la nouvelle éponyme de Philippe Claudel (2003).
Outre qu'il s'agit chaque fois d'une fille au nom slave associée au nombre 56(-)91 perdant son pucelage le 4/4/59, d'autres points communs sont apparus ensuite, comme ces illustrations de Burne-Jones en couverture, avec probablement le même modèle, Maria Zambaco.
C'est ce que j'appelle, et j'en décide ainsi aujourd'hui, un "merle or". J'avais d'abord opté pour merle blanc, mais, quoique rares, il y a des merles blancs, alors que le merle or semble inconnu de l'ichtyologie.
Si mes facultés intellectuelles me semblent avoir fortement régressé, je connais des gens, certains étant de chers amis, dont je sais que le ciboulot est bien meilleur que ce qu'a jamais été le mien. Pourtant, si je leur parle de ce "merle d'or" par exemple, ils ne veulent pas en entendre parler, parce que les merles d'or ça n'existe pas, donc je me goure forcément.
Ou alors on fait appel à la loi des grands nombres. Il y a tellement de faits qu'il existe forcément des coïncidences. Je connais des tas d'autres merles d'or, qu'à cela ne tienne, il n'y a pas de limite à la loi des grands nombres puisque les cas sont infinis...
Et puis mes merles d'or font souvent appel à des connaissances particulières, et "je ne peux pas en juger, car je ne suis pas latiniste-hébraïsant-musicologue-arithmomancien-etc. (rayer les mentions inutiles)". Mais il existe des spécialistes de toutes ces matières.
Et puis moi je connais des dizaines, des centaines peut-être, de merles d'or, que je ne peux tous considérer dans leur globalité, car selon Daumal on ne peut appréhender plus de 5 choses à la fois, mais je pourrais au moins les lister, alors que tout autre est contraint d'étudier laborieusement tel ou tel cas, puis de passer à tel ou tel autre.
Et puis il y a les métadonnées...Je ne sais trop ce que ce mot signifie exactement, mais il dénote ici ma certitude qu'on ne peut isoler un merle d'or du reste de la volière. Il existe, il doit exister, une image dans le tapis, quelque chose qui rende compte de l'ensemble du phénomène. Après y avoir été confronté depuis près de 40 ans, j'ai quelques idées, purement empiriques, mais il me semble prématuré d'en faire part à qui récuse le phénomène.
Il y aurait aussi le zarbi, mais le zarbi se caractérise essentiellement par sa non-répétitivité, sinon ce ne serait plus du zarbi. Alors qu'en principe, pour mon exemple, chaque lecteur de Marina Sloty ou de Tania Vläsy la verra perdre son berlingot le 4/4/1959, l'une ayant la gématrie 56 91, l'autre recevant le numéro 5691.
Pour les cupides, il serait envisageable de se faire des burnes en or en abordant le phénomène de façon commerciale...
Voici ce qui m'a retenu en relisant Sloty 1959 du 4/4/11.J'y avais été amené à découper les noms de nos saisons en 8 syllabes, selon l'ordre usuel :
hi17 ver45 prin[119]57 [119]
temps[192]73 [73]
é5 té25 au22 tomne67 [119]
[Ce texte de 24 lettres a une somme gématrique de 311.]
- 02 -
2 mars. Une nuit de passée, difficile... Je me borne à une petite anecdote. Les docteurs demandaient souvent à Anne, Sur une échelle de 1 à 10, à combien évaluez-vous votre douleur?
"200" lui arrivait-il de répondre.
Le passage au Gématron supra montrait donc une double césure d'or des 8 syllabes saisonnières en 3-1-4, avec au centre TEMPS = 73, une syllabe qui est aussi un mot, et un mot qui n'est pas sans rapport avec l'année.
Je donnais quelques échos dans ce billet Sloty 1959, mais avais aussi en tête une comparaison ultérieure avec l'ode Toi l'été composée en 1999 pour mon roman Sous les pans du bizarre, se présentant ainsi dans le premier jet:
Toi l’été tu es et serasLes 72 lettres de ce petit texte se sont ensuite miraculeusement adaptées à un prolongement utilisant les propriétés du nombre 365 ayant motivé le roman, puis encore plus miraculeusement à une harmonie bachienne. J'y suis souvent revenu, notamment en avril dernier.
Rusée était ta loi, t’es
Seul
Afin d’emprunter
La faim des printemps
La première syllabe HI de HIVER m'est devenue ensuite si significative que j'ai titré Hi ! un billet de 2022. Ceci est en relation avec le sonnet que j'avais codé dans le roman, une récriture des Voyelles de Rimbaud.
J'imaginais que c'était une innovation, mais j'appris plus tard que Jean Ricardou avait publié en 1972 un texte où était codée une récriture du Cygne de Mallarmé. Le mot "hiver" était présent dans le sonnet de départ, et
ETE AUTOMNE = 30 89 = JEAN RICARDOU !!!
La somme 311 pour les 4 saisons ne m'est guère évocatrice. Une recherche sur le blog m'apprend que j'ai étudié un détail de la page 311 du Dernier Hyver.
L'autre occurrence notable est précisément dans Hi !, parce que les quatrains des Voyelles totalisent 311 lettres. Ces 311 lettres totalisent la valeur 3665.
La répartition en quatrains et tercets était importante chez Ricardou comme chez moi.
La valeur 73 de TEMPS m'est importante, parce que 5 fois 73 font 365, parce que le roman de Warren débute le 7/3 par un saut dans le temps, deux semaines avant l'équinoxe de printemps. Le saut suivant surviendra le 4/4, deux semaines après cette équinoxe.
La retrouvaille de cette syllabe centrale TEMPS m'a aussitôt évoqué la voix de Gilbert Bécaud:
Une recherche m'a appris qu'il s'agit de la chanson de 1972 Un peu d'amour et d'amitié. Je n'étais alors en rien fan de Bécaud, et n'appréciais guère cette chanson, mais j'ai un certain souvenir d'avoir été marqué par ce quintuplet.
C'est une curiosité d'avoir les noms des deux saisons où les jours croissent en rapport d'or avec ceux des deux autres saisons, où les jours décroissent. Sol invictus? Le symbole du soleil est aussi celui de l'or.
Je remarque que 311 + 54 = 365 (54 valeur de JUIN, DEUX, VIER, par exemple).
Les saisons suivant les solstices sont HI-VER et E-TE, ce qui me fait penser au mot VERITE.
Si l'accent doit être mis sur le jour le plus long, à la "fin du printemps" (la faim des printemps), je souligne que
PRINTEMPS = 130 = QUATERNITE,
et que l'addition au 311 des 4 saisons mène à 441, valeur de l'hébreu emeth, "vérité", valeur qui m'occupe intensément depuis mai dernier, avec la série des Thilliez non-Sharko en 441 chapitres, et le rebond récent de la découverte des Thilliez Bellanger en 441 chapitres itou.
Or 441 c'est aussi 3 fois 147, MARINA SLOTY = 56 91, mais encore SINOUE HALTER, les deux auteurs qui ont joué un rôle certain dans ma découverte de l'harmonie de la vie de Jung autour du 4/4/44. Je rappelais dans le billet précité que les deux formules anagrammes trouvées dans Alphabets de Perec, Hélas ni route. et Sait-on l'heure? donnaient avec Sinoué-Halter un autre 441.
Lors de ma découverte du PostId du projet de billet 443, 4440256918605723090, il m'a paru de l'immédiate évidence de l'utiliser pour le billet 444. J'y remarquai que 444(0) était suivi par 256, soit 4.4.4.4, or une orthographe de l'autre protagoniste de l'échange du 4/4/44 est
"THEODOR HÄMMERLI-SCHINDLER" = 85+79+92 = 256.
Aujourd'hui 02 mars où je poursuis l'écriture de cet ultime billet, je m'avise que les chiffres suivant 56 sont 91, alors que je ne prévoyais nullement au départ d'y utiliser l'affaire Sloty. Je ne me rappelle en fait pas ce qui m'a conduit à relire ces billets et y retrouver l'équilibre oublié autour de (PRIN)TEMPS.
Il y a sans doute plus hallucinant. En prenant en compte le nom complet de Jung,
CARL GUSTAV JUNG = 34+90+52 = 176, l'addition à 256 donne 432, soit deux fois 216.
Une personne dont je me suis senti très proche en ce monde est Jean-Pierre Le Goff, obnubilé par le nombre 216. JPLG a fêté ses 21600 jours d'existence par un aller à Thoires (21), puis ses 21816 (101x216) par un aller à Thouars (79). Lorsque je lui ai fait part qu'un village proche de chez moi était Thoard (04), il a souhaité y intervenir, mais nous n'avons été que nous deux sur le coup.
La date de ses 102x216 jours était le 26/11/02, mais je ne me suis aperçu que bien plus tard de l'équivalence des chiffres, et ne sais s'il en était conscient.
Si j'arrive à tenir jusqu'au 4/4, et à publier ce jour le billet 444 achevé, peut-être aurai-je réussi à faire quelque chose en ce monde, avant d'en visiter quelques autres, je l'espère un peu moins tartes.
Il y eut un autre "aller à Thoiry". Lorsque je remmenais JPLG à Aix-TGV le 27/11/02, en devisant sur le nombre d'or chez Perec, il me demanda soudain de m'arrêter, dans un coin nommé ravin de Laval. Il venait de voir un panneau
Je les ai rencontrés, Anette Prins et son mari Rein-Jan.
Prins-Printemps?
Le croira-t-on, j'ai jadis (1982) fait partie de la secte Ananda Marga où j'ai reçu le nouveau nom Ranjan, et j'ai publié une nouvelle (2001) sous le pseudo Annette Devi.
J'avais oublié de me munir d'un décamètre lorsque j'ai visité les Prins, mais j'ai dénombré les planches de leur chalet, 56 en largeur, 91 en longueur. J'ai des photos qqpart, mais où?
JPLG a aussi lu Marina Sloty, et fait une intervention sur les lieux (Larzac). J'en ai parlé qqpart, mais où?
- 86 -
3 mars. Un 4/4 important a été le 4/4/2019 où j'ai publié Quatre quarts au carré, Carl, 279e billet du blog.
Intermezzo: je consulte à 10:00 le tableau de bord du blog, affichant
Je n'avais signalé qu'à 2 personnes le billet 443, également inachevé.
Retour au billet du 4/4/19, consacré à à une ambitieuse création, la transformation du carré diabolique d'ordre 4 en 16 vers de 34 lettres, chaque vers de gématrie 408.
Il y avait deux versions du poème, l'une en 128 mots afin d'ajouter une nouvelle harmonie à ce niveau. Je ne suis pas mécontent de ces textes, bien qu'ils aient été réalisés en temps polynomial (soit "rapidement", c'est une expression de matheux).
Le dernier vers était dans les deux cas
"Apprend-on l'intérêt ?", rit la fille du Temps.C'est une allusion à Rabelais:
la responce faicte par le saige Taies à Amasis Roy des Egiptiens quant par luy interrogé en quelle chose plus estoit de prudence, respondit : on temps. Car par temps ont esté & par temps seront toutes choses latentes inuentees & c’est la cause pourquoy les anciens ont appelle Saturne le Temps, père de Vérité, & Vérité fille eut Temps.Ce n'est plus le moment de me livrer à une exégèse. Qu'on sache qu'il y a 30 ans j'ai écrit au moins deux études sur Rabelais, Eléments pour une gématrie rabelaisienne, que Noël Arnaud souhaitait publier, mais je venais alors de découvrir Vocalisations de Perec, et ne pensais plus qu'à ça.
Une autre étude était La langue hagarène, que j'ai égarée. Selon Rabelais, le nom Pantagruel vient du grec panta-, "tout", et de l'hagarène gruel, "altéré".
Hagar est le nom de la servante d'Abraham, la mère d'Ismaël. En hébreu, ça s'écrit en 3 lettres H-GR, et se traduit "L'Etrangère". Les 2 lettres GR, Gimel-Resh, formant le mot "étranger", sont un couple atbash : G est la 3e lettre à partir du début de l'alphabet, R la 3e lettre à partir de sa fin. Ce code atbash est employé dans la Bible, et il intervient souvent dans mes analyses.
Le point de départ de mon étude était que, dans l'alphabet rabelaisien, c'est-à-dire l'alphabet latin, GR sont aussi un couple atbash : G est la 7e lettre à partir du début de l'alphabet, R la 7e lettre à partir de sa fin. C'est plutôt inattendu. Tout ce dont je me souviens de cette étude est que
V E R I T E = 20 5 17 9 19 5 = 75 (alphabet latin), donne l'atbash
D T G P E T= 4 19 7 15 5 19 = 69, tandis que
T E M P S = 19 5 12 15 18 = 69.
VERITE fille eut TEMPS ?
Je rappelle que j'ai une approche valériano-ricardolienne de la littérature, sinon de la vie en général. Lorsque Marina Sloty (56 + 91 = 147, multiples des Fibos 8-13-21) fait un saut temporel de 89 ans vers l'an 1870 = 34x55, 34-55-89 Fibos suivants, dans un roman dont le titre vaut 377, 144-233-377 Fibos suivants, pour moi ça veut dire que Fibo est concerné, même si l'auteur n'en avait aucune conscience.
J'ajoute que j'ai hésité plus haut à donner la valeur de la chanson de Bécaud,
Un peu d'amour et d'amitié = 235, m'évoquant 2-3-5, les Fibos précédant 8-13-21, et voici que la Wikisource de "VERITE fille eut TEMPS" est une page 235.
Je reviens aux deux poèmes s'achevant sur
"Apprend-on l'intérêt ?", rit la fille du Temps.Ils illustrent le carré diabolique ou pandiagonal d'ordre 4, connu depuis près de 10 siècles en Inde, où il figure sur un pilier du temple de Khajuraho, les chiffres indiens correspondant à
7 12 1 14
2 13 8 11
16 3 10 5
9 6 15 4
La découverte des partages verticaux 13-21 du carré de Dürer
JUNG HAEMMERLI = 52+84
avec 52/84 = 13/21, le même partage apparaissant pour les lettres paires et impaires de CARL.
Le carré diabolique a apporté d'autres corrélations. C'est ainsi que parmi les 1820 combinaisons de 4 nombres parmi les 16 premiers, il y en a 86 offrant la constante magique 34, 86 valeur de CARL JUNG.
Et parmi ces 86, seules 52 (JUNG) sont "logiques", se déduisant par d'immédiates symétries dans le carré diabolique.
Je ne reviens pas sur le nombre 1768 évoquant les 68 et 17 ans de Jung autour du 4/4/44, car le PostId 4440256918605723090 ne semble pas avoir encore livré toutes ses possibilités.
J'ai donc isolé 444, puis 02 pour ma découverte du 2 mars, puis 5691. Viendrait maintenant 86, pour CARL JUNG par exemple, mais aussi pour MERLE OR, l'expression que j'ai forgée pour désigner l'oiseau rare, l'oiseau impossible plutôt, or
MERLE OR = 53 33, partage doré entier idéal de 86.
Il me semble que "merle or" pouvait se justifier à partir de "merle blanc", mais je peux tout à fait envisager que mon esprit familier de ces calculs soit capable de forger de telles harmonies sans en informer ma conscience. Je rappelle au passage que sloty signifie "or".
Mais il y a davantage, et du lourd, difficilement attribuable à mes neurones cacochymes.
J'ai été amené à forger l'idée de séries additives conjuguées. J'imagine que ça a été vu ailleurs, mais je ne suis pas matheux, juste amatheur, alors je ne sais où chercher confirmation.
Il y a ainsi par exemple la fameuse suite Fibo, 0-1-1-2-3-5-8..., dont la conjuguée est la suite de Lucas, 1-3-4-7-11..., ou (0+1)-(1+2)-(1+3)-(2+5)-(3+8)... Ces nombres de Lucas sont dans un rapport proche de racine de 5 avec les nombres de Fibo, et réitérer les opérations conduit à 5 fois la suite Fibo, puis 5 fois la suite Lucas, 25 fois la suite Fibo...
Alors 33-53 fait partie de la suite 22096,
1-6-7-13-20-33-53-86...
incidemment mentionnée par Perec dans "53 jours", mais l'absolument éplapourdissant (ça fait longtemps que je l'avais pas ressorti), c'est que la conjuguée de cette suite 22096 est la suite 206420,
8-19-27-46-73-119-192-311...
précisément la suite saisonnière vue plus haut, que je propose de baptiser
resurgissement solsticial
car
resurgissement solsticial = 192 119, de même que
(HIVER PRINTEMPS) (ETE AUTOMNE) = 192 119
en rapport d'or optimal 192/119 = 1,613...
192 = 3 fois 64, valeur de ZERO. J'ai une vague réminiscence de Corsaire Triplex de Paul d'Ivoi ou le triple zéro jouait un rôle.
4 mars.
En fait, tout simplement,
CORSAIRE TRIPLEX = 192, mais il y avait autre chose, probablement paumé dans un vieil ordi. Une curiosité associée était que le roman avait une suite, La capitaine Nilia, et qu'un chapitre entier avait été oublié dans l'édition en LP, rendant le roman incompréhensible.
La vérification au Gématron de
resurgissement solsticial
hiverprintemps étéautomne
amène à constater, outre les égalités 14+10 lettres, que la petite section d'or, sous cette forme, tombe exactement après SOL:
L'équilibre doré des paires de saisons séparées par les solstices m'avait fait évoquer plus haut le fameux Sol invictus, le Soleil invaincu, principale fête des Romains, remplacée par la naissance du Christ pour la faire oublier. De même on a fait correspondre le Baptiste à l'autre solstice (Il faut que Jean décroisse pour que Jésus croasse...)
Tiens, selon l'alphabet latin,
sol invictus = antichristus = 154,
valeur de FRANCK THILLIEZ selon notre alphabet.
Mais mieux vaut ne pas partir dans trop d'hébraïsme, je crains que tout le monde ne suive pas...
Lorsque j'ai redécouvert le 311 des 4 saisons, j'ai aussitôt pensé au nombre 113, dont j'ai souvent parlé, et qui faisait précisément l'objet d'une compilation en préparation.
Il se trouve que les jeux 56-91 et 5691 commandaient de revenir sur les OMSOS (OrthoMagic Squares Of Squares) où ces nombres étaient plutôt miraculeusement apparus, et je me suis avisé que j'avais abordé la question dans le billet 113 de Quaternité, pas par hasard car le billet précédent était
consacré à ma seconde anagramme de Vocalisations, en 112 mots, avec carré orthomagique intégré...
5 mars
Certes, MARINA SLOTY, c'est 56 + 91, alors qu'il y a ici 91 OMSOS dont 56 avec une constante carrée.
Je remarque que les rangées de nombres à la puissance 1 totalisent 105-119-121, 3 fois 115, les colonnes 115-123-107, 3 fois 115 (ET LE TEMPS). Ou encore 2 fois 345, ce qui me rappelle une découverte associée à une synchronicité (à noter dans ce post une référence 235 à l'atbash).
Il y a 6 autres sommes de 3 carrés totalisant la constante 5691, 29-37-59 (premiers), 1-47-59, 25-29-65, 19-29-67 (premiers), 5-25-71, et 1-19-73.
Des prolongements sur le billet 113 où j'explorais les OSMOS d'ordre 4.
6 mars
Le billet 112 précédent était donc consacré à une nouvelle anagramme de Vocalisations, construite autour d'un carré orthomagique à partir des 16 premières consonnes, de constante 45 donc. Je rappelle que nous sommes en 2025 = 45x45.
Il semble que ma prognose soit plus favorable, et que j'aie des chances d'atteindre le 4 avril, au moins.
Le sonnet du billet 112 citait CARL (Jung) et ARMIN, le frère de Theodor Haemmerli, le médecin qui avait guéri Jung, tombé malade le 4/4/44, au début de la convalescence de Jung, et mort le 30 juin suivant, au moment où Jung quittait l'hôpital.
J'ai cité ici l'intégralité d'une lettre de Carl à Armin en soulignant
CARL JUNG = 34+52 = 86 avec
ARMIN HAEMMERLI = 55+84 = 139.
Chaque élément du premier nom est en rapport d'or avec l'élément correspondant du second. Il a été vu que 52 et 84 sont les quadruples de 13 et 21, termes de la suite de Fibonacci qui se poursuit précisément par 34 et 55, CARL et ARMIN...
Ainsi chacun des deux noms peut correspondre d'une certaine manière à un motif quintessentiel 1+4.
8-19-27-46-73-119-192-311...
précisément la suite saisonnière vue plus haut, que j'ai proposé de baptiser
resurgissement solsticial,
en pensant au Sol Invictus, et à l'harmonie dorée des deux paires de saisons autour des solstices. Il n'y a pas adéquation entre ces paires de saisons et les semestres (Haemmerli est mort le jour même de la fin du premier semestre), probablement à la,suite d'erreurs impossibles à corriger ensuite. Même la naissance de Jésus ne coïncide pas exactement avec le solstice.
Et évidemment ARMIN - MARINA (Sloty).
7 mars, Perec aurait 89 ans.
Après [56 91] du PostId évoquant MARINA SLOTY, j'ai vu [86] pouvoir correspondre à MERLE OR (53 33, suite 22096) ainsi qu'à CARL JUNG (34 52, suite 22370).
Ce pourrait encore être ACHT SECHS (ou 8 6), 32 54 = 86, nombres de la série Bleue du Modulor. J'ai déjà dit la navrante débilité de ce système. Tout le monde ne mesure pas 183 cm, et on ne verra jamais Victor Wembanyama s'aventurer dans la Cité Radieuse du fada. Je l'ai visitée et ai éprouvé une terrible sensation d'oppression alors que je ne mesure que 170 cm.
Voilà. C'est pas fini mais j'arrête là pour le moment et poste en l'état, histoire que ça ne soit pas perdu si je crève dans la nuit.
Mais j'espère pouvoir y revenir.
à la fin duquel je relate mon OBE vers mes 18ans.
Et il y a qqch que j'avais oublié et qui relance complètement la "vérité" chez Thilliez.
Ce sont 2 des 444 posts du blog, et ça me désole que tout ça risque d'être perdu avec moi, à cause de ma timidité et de ma difficulté à communiquer, alors que ça va bien plus loin qu'une théorie de plus. Il s'agit de l'âme du monde...
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le hi-ver-é-té du 2nd post est à rapprocher de
APRIL ORENSKI = 56/91
https://quaternite.blogspot.com/2013/02/
LUCAS / JOUBERT = 56/91
http://quaternite.blogspot.com/2013/02/seraphita.html
LUCAS / ilan (hébreu)
https://quaternite.blogspot.com/2016/08/puzzle-pour-fous.html
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J'y mentionnais encore que les 2 quatrains totalisaient 67 mots, 289 lettres, et la valeur 3618, avec
3618 = 67 x 54.
Je rappelle que la valeur moyenne des 112 mots est 56, en conséquence le déficit des quatrains par rapport à cette moyenne est 134, qui va subséquemment être le nombre en excédent dans les tercets, ainsi le nombre 134 (ARSENELUPIN) marque la division la plus immédiate du sonnet de valeur 6272 (62-72 = ARSENE-LUPIN).
Il y a du neuf avec les 289 lettres des quatrains, car 289 c'est le carré de 17, ou encore
289 = (9+8)2.
Plus haut, j'énonçais
(8+9)(HUIT+NEUF) = 1768,
mais surtout, il y a quelques mois, en juin, j'étais amené à trouver du sens dans les 289 lettres des quatrains du sonnet que Ricardou a codé dans son Improbable strip-tease.
Lorsque j'ai découvert en 2012 ce sonnet codé en majuscules dans un texte antérieur de Ricardou, légèrement modifié, je n'ai pas songé aussitôt à mon propre codage (en lettres d'un corps supérieur), alors que c'étaient d'autres coïncidences entre nos écritures qui m'avaient mené à Ricardou.
J'ai eu ensuite plusieurs occasions de commenter le parallélisme, en soulignant qu'il s'agissait dans les deux cas d'un sonnet classique parodié, le Cygne de Mallarmé, et Voyelles de Rimbaud.
Voici donc une autre rencontre, avec les 289 lettres des deux quatrains codés par 2 auteurs de valeur 89. Certes il n'y a rien d'étonnant en soi à ce que 8 alexandrins totalisent 289 lettres, mais ce nombre peut varier de plusieurs dizaines, ainsi les quatrains du Cygne comptent 284 lettres, ceux de Voyelles 311.