Je rappelle une fois de plus l'expérience essentielle de Jung, victime d'une fracture du pied le 11 février 44, puis d'un infarctus qui le laisse entre la vie et la mort pendant plusieurs semaines.
Il a des visions pendant cette période, notamment ce qui ressemble fort à une NDE. Il baigne dans la félicité, s'éloigne de la terre, et parvient jusqu'à un temple bâti dans un roc flottant dans l'espace. Il sent qu'il aura à l'intérieur les réponses à toutes les questions, mais il ne peut en franchir le seuil, car son docteur est là, qui lui assure qu'on a encore besoin de lui sur terre.
Il réintègre son corps malade, et la rencontre du docteur Haemmerli dans l'autre monde lui fait soupçonner que ce dernier pourrait être menacé. Il lui fait part de ses craintes, mais Haemmerli considère son récit comme un délire symptomatique de son état.
Il vient à Jung l'idée que Haemmerli pourrait mourir à sa place, et le 4/4/44, le jour où il est autorisé à s'asseoir sur son lit, Haemmerli doit s'aliter. Il ne se relèvera pas jusqu'à sa mort le 30 juin 44, au moment où Jung quitte l'hôpital (peut-être ce jour précis, fin juin ou début juillet selon les biographes).
C'est du moins le récit que fait Jung dès 45 dans une lettre à une amie en phase terminale, réitéré en 55 dans une lettre au frère de Haemmerli, enfin publié dans son autobiographie publiée après sa mort, Ma Vie.
J'ai repris ceci parce qu'il y a un nouvel élément, ahurissant. Si Haemmerli avait pris le récit de Jung au sérieux, peut-être aurait-il pu se soigner à temps, mais l'expérience de Jung ne pouvait guère être prise au sérieux en 1944. Ce n'est qu'en décembre 1975 que serait publiée la première enquête sur les témoignages des "ressuscités", multipliés par les progrès de la médecine, montrant leurs points communs, fort similaires au récit de Jung.
C'était donc La vie après la vie, du docteur Raymond Moody, qui se trouve être né le 30 juin 1944, le jour même de la mort de Haemmerli !
Les études de Moody l'ont ensuite amené à croire en la réincarnation, et il est ébouriffant qu'il soit né le jour même de la mort d'un médecin sceptique impliqué dans ce qui est peut-être le plus fascinant témoignage de NDE historique. On pourrait imaginer que Haemmerli, avant de mourir de septicémie, se fût dit : Bon sang ! ce Jung avait raison. S'il m'était donné une autre vie, je la consacrerais à étudier cet étrange phénomène.
Si je ne connais pas l'heure de la mort de Haemmerli, Moody serait né selon cette page à 20 h en Géorgie, soit le 1er juillet en Europe, après la mort de son confrère suisse.
Moody ne connaissait en 1975 que des cas récents, mais son livre suivant, Lumières nouvelles sur La vie après la vie, donne en 1977 quelques cas historiques, dont brièvement celui de Jung:
D'un égal intérêt est le fait que le célèbre psychiatre Carl Gustav Jung connut une expérience semblable au cours d'un coma : il en a écrit le récit détaillé dans le chapitre intitulé Visions du livre Ma Vie.
Je suis venu à m'intéresser aux pionniers des NDE à la suite d'une découverte qui sera peut-être jugée moins immédiate, bien qu'elle me semble au moins aussi fascinante.
Ce 20 octobre, après avoir posté le dernier billet, j'ai jeté un oeil peu complaisant sur Enquête sur l'existence des anges gardiens, de Jovanovic. En fait j'y ai trouvé des passages dignes d'intérêt, et surtout un rappel des 5 stades retenus dans l'étude de Kenneth Ring, l'un des premiers à avoir marché sur les traces de Moody.
Alors que Moody ne s'appuyait que sur une centaine de cas, la validation du phénomène a multiplié les témoignages, et Ring a soumis à des milliers d'expérienceurs un questionnaire d'où il a tiré dans Sur la frontière de la vie (1980) un schéma en 5 stades d'une NDE type, d'après les pourcentages recueillis :
1) - sensation de paix et de sérénité (60 %)
2) - séparation du corps physique (37 %)
3) - entrée dans l'obscurité (du tunnel) (23 %)
4) - vision de la Lumière (16 %)
5) - fusion avec la Lumière (10 %)
J'avais déjà lu ceci dans le temps, mais je n'avais pas prêté attention aux nombres qui, aujourd'hui, m'évoquent aussitôt une suite d'or, ainsi, à partir de 60, les divisions successives par Phi (1.618) mènent à
60.00 - 37.08 - 22.92 - 14.16 - 8.75
Les 3 premiers pourcentages en sont le reflet idéal, et, si l'on voulait voir une corrélation avec cette suite d'or, on pourrait avancer que la marge d'erreur est nécessairement plus élevée sur les pourcentages les plus faibles, mais pourquoi existerait-il une telle corrélation ?
Je n'en ai aucune idée (la loi de Zipf rend compte dans certains cas de curiosités analogues, mais sans référence connue au nombre d'or). J'observe encore que 60 % est proche de la section d'or de 100 %, et voici ce que serait la suite d'or construite à partir de 100 :
100.0 - 61.8 - 38.2 - 23.6 - 14.6 - 9.0
Voici donc ce qui m'a conduit à un renouveau d'intérêt pour les NDE, et à ressortir mes livres sur la question, dont celui de Paul Misraki, Les raisons de l'irrationnel (achevé d'imprimer le 14 avril 76, mais déjà paru en 1970 sous le titre Plaidoyer pour l'extraordinaire), où j'avais découvert, le 4/4/4 !, le schématisme du 4/4/44 de Jung.
J'avais bien sûr ressorti aussi ce livre lorsque j'ai découvert le motif 4-1 autour du 4/4/44, et relu le passage concernant Jung au chapitre X, mais j'avais alors manqué le récit au chapitre III d'une expérience vécue par une connaissance de Misraki lors d'une anesthésie ayant mal tourné, où il constatait des points communs avec le cas de Jung qu'il détaillerait plus loin.
Ainsi quelqu'un avait envisagé la parenté des témoignages d'expérience de mort imminente bien avant la parution du livre de Moody, et en utilisant le cas de Jung ! Après avoir 40 ans plus tôt offert à Ray Ventura un succès éternel avec Tout va très bien, madame la marquise, et de nombreux autres titres, Misraki s'avère le précurseur d'un autre Ray, Ray Moody...
...pour ce qui concerne la publication du moins, car Moody avait découvert le phénomène dès 1965, pendant ses études de médecine. Après la publication de son livre, il a appris qu'il avait damé le pion à d'autres médecins qui avaient aussi recueillis de nombreux cas.
C'est Paul Misraki qui a traduit et préfacé les deux premiers livres de Moody, en 77 et 78.
J'avais signalé que PAUL MISRAKI = 50/80 est ce que j'appelle un nom doré, soit un nom dont la somme prénom+nom se répartit selon le nombre d'or en deux entiers correspondant au prénom et au nom. Deux listes de 3700 actrices et 2700 acteurs livrent exactement la même probabilité de 1 chance sur 35, ce qui est proche du calcul pour deux entiers tirés au hasard dans une fourchette comparable.
Un nom doré n'est donc pas particulièrement extraordinaire, et mon intérêt porte plutôt sur le contexte où apparaissent de tels noms, ainsi on est loin du 1/35 dans la liste des 27 auteurs de fiction qui ont évoqué dans leurs oeuvres le nombre d'or, à ma connaissance, où j'ai relevé 4 noms :
PERNILLE RYGG = 91/57
GEORGES PEREC = 76/47
PHIL DICK = 45/27
MARK Z - DANIELEWSKI = 69/112
Si Pernille Rygg ne figure ici que pour le titre de son polar La section dorée, le nombre d'or joue un rôle essentiel dans l'oeuvre, sinon la vie, des trois autres, alors que la plupart des autres auteurs ne sont présents qu'à titre anecdotique. Si je me suis permis une licence en utilisant le diminutif de Dick, elle est compensée par le fait que MARK/Z = 43/26, autre couple doré.
Il faudra que je donne le détail de cette liste, qui n'est pas close. Si les noms dorés, 4/27, y sont nettement plus abondants que l'espérance 1/35, que dire alors de la liste officielle des 5 cofondateurs de IANDS, l'Association internationale d'étude des expériences de mort imminente ?
Ils furent donc 5 lors de cette fondation en 1978 à Peoria, et voici leurs noms et diminutifs éventuels :
JOHN AUDETTE = 47/76
KENNETH RING = 77/48
ou KEN RING = 30/48
RAYMOND MOODY
ou RAY MOODY = 44/72
MICHAEL SABOM
ou MIKE SABOM
BRUCE GREYSON
Selon le témoignage de John Audette, considéré comme le principal artisan de cette fondation,
Thus the formal organization known today as IANDS was indeed co-founded and co-created by Drs. Greyson, Moody, Ring and Sabom and myself.Il y a donc 3 dorés parmi les 5 (3 sur 5 qui était pour Phil Dick le premier rapport fibonaccien significatif), ou encore 4 noms dorés parmi les 8 possibilités (ce qui en considérant 1 chance sur 30 pour un nom doré mène à une probabilité d'environ 1 chance sur 7000).
Je suis frappé par la réunion des deux diminutifs
MOODY-RING / RAY-KEN = 120/74 = 60/37, les pourcentages établis par Ring pour les deux premiers stades de la NDE type (et RING/KEN = 48/30 = 16/10 correspond aux deux derniers stades).
Le cas de Ring est exceptionnel, avec son nom officiel doré comme le diminutif sous lequel il se présente volontiers. Il est né le 13/12/1935, l'année des 60 ans de Jung, celle où il a achevé la 4e étape de l'édification de la Tour de Bollingen, qui connaîtrait un 5e stade en 1956.
J'ai eu la curiosité de regarder parmi ma liste des acteurs dorés s'il existait un "homorithme" 77/48, et il y en a un, Scott Bakula, intéressant car il est d'abord connu comme héros de la série Code Quantum, où Sam Beckett est perdu dans le tourbillon du temps, se trouvant à chaque épisode dans la peau d'un personnage à un tournant de sa vie.
J'ai été frappé de voir un de ses premiers sauts dans le temps (épisode 1/7) le 6/6/61, le jour même de la mort de Jung. Il devient donc le jeune Cameron Wilson, et sa mission est d'empêcher le mariage de sa soeur Cheryl avec un mauvais garçon. Cheryl est étudiante en psychologie, et doit donc connaître Jung...
Une autre date d'incorporation de Sam a attiré mon attention, le 4 avril 60 dans l'épisode Goodbye Norma Jean (5/18). Il s'y trouve dans la peau du chauffeur de Marilyn Monroe, pendant le tournage des Misfits, et doit empêcher une mort prématurée de la star.
Marilyn est menacée par Barbara qu'elle engage comme secrétaire ce 4/4, et qui intrigue pour prendre sa place, d'une part en encourageant ses vices, alcool et barbituriques, d'autre part en la remplaçant sur le tournage quand Marilyn est indisponible. Ceci est bien sûr inspiré par All about Eve de Mankiewicz (où Eve, Anne Baxter, tente de prendre la place de Margo, Bette Davis).
Sam parvient à contrer ces agissements, et Marilyn achèvera le film de Huston (et l'histoire officielle enregistrera son décès le 5/8/62).
Ce 4/4/60 n'est pas un 4 avril quelconque, car c'est aussi la date de l'indépendance du Sénégal, qui sera commémorée 44 ans plus tard par Youssou N'Dour dans sa chanson 4-4-44, le 4/4/4 qui est donc aussi le jour où j'ai découvert le schématisme du 4/4/44 dans le livre de Misraki...
L'enquête sur Code Quantum m'a appris une curiosité. La date de naissance de Sam, le 8/8/53, est déduite de celle du créateur de la série, Donald Bellisario, le 8/8/35.
Je connais deux autres cas de ce type, et ils concernent aussi des créateurs nés une année dont le dernier chiffre du millésime excède de deux unités le précédent, en conséquence leurs personnages ont 18 ans de moins qu'eux. De fait ces cas concernent 3 années successives offrant ce schéma :
Don Bellisario (8/8/35) a créé Sam Beckett (8/8/53)
JiBé Pouy (2/1/46) a créé Pierre de Gondol (2/1/64)
Jaco van Dormael (9/2/57) a créé Nemo Nobody (9/2/75)
Je rappelle que Nemo Nobody est un nom doré (47/75), qui m'était apparu lors de sa découverte comme un troisième nom doré pour un voyageur du temps.
Il est en outre le héros d'un film où apparaît la suite de Fibonacci.
Sans que je le cherche expressément, le thème natal de Raymond Moody m'a appris que deux personnes connues de moi étaient nées le même jour que lui, le 30/6/1944 :
- Guy Mardel, qui eut son temps de gloire en 1965 avec la chanson N'avoue jamais.
- Anna Torv, première femme de Rupert Murdoch, ce que j'ignorais, mais je connais fort bien sa nièce homonyme, Anna Torv, héroïne de la série Fringe où on voyage occasionnellement dans le temps. Phi et la suite de Fibonacci y sont abondamment évoqués; j'ai déjà montré l'affiche inaugurale où figurent les nombres 5-8-13-21-34 en braille, et voici une autre image promotionnelle où Anna Torv apparaît devant un tableau de calculs sur Phi, comme
(2φ + 1)/(φ + 2) = (5 + 3√5)/10 = 1.17082
Raymond... Il m'est venu une lecture
Ra - y - Mond,
soit en égypto-hispano-allemand "Soleil et Lune". Je rappelle les étranges relations d'or associées à l'échange de 1944, dont les dates 11/2, 4/4, et 30/6 bornent des périodes de 53 et 87 jours, nombres qui non seulement sont en rapport d'or, mais correspondent aux valeurs des mots hébreux 'hama et levana, "soleil" et "lune", dont les symboles sont gravés en gros sur la pierre de Bollingen (les 5 autres astres classiques y figurent aussi, mais en plus petit), sculptée par Jung en souvenir de sa guérison de 44.
L'autre relation est Jung-Haemmerli = 52-84, nombres correspondant encore en hébreu aux noms Elie et Enoch, les seuls personnages de l'Ancien Testament montés au ciel de leur vivant, cas souvent cités dans les études sur les NDE. 52/84 se simplifie en 13/21, et je rencontre si souvent l'association de ces deux nombres de Fibonacci que j'ai tenté ce recensement riche déjà de plus de 80 cas.
Si Raymond est un prénom d'origine germanique, issus des mots ragin, "conseil", et mund, "protection", il peut être tentant de rapprocher ragin de la racine indoeuropéenne reg d'où viennent les mots "raja", "roi", "règle", "recto", etc.
De toute manière le diminutif Ray est homonyme de l'espagnol rey, "roi"; j'ai évoqué ici une remarquable série de coïncidences RAY-REY, faisant intervenir le grec basileus, "roi". Dans sa vision de 44, Haemmerli apparaissait à Jung en "Basileus de Kos", le titre que se donnaient les premiers disciples d'Asclepios (Esculape).
L'une des coïncidences concernait le Ray le plus fameux, Ray Charles, né Raymond Charles Robinson, dont le pseudo associe le "remplaçant" en quelque sorte de Haemmerli et Jung lui-même (Carl). Cette association peut faire apparaître les deux dates gémellaires 4/4 et 6/6 bornant le dernier cinquième de la vie de Jung :
RAY CHARLES = 44 66
A propos du 4/4, mon dernier billet me faisait rappeler le film 1984, tourné à partir du 4/4/84, conformément au déroulement du roman. C'est une curiosité que La vie après la vie soit paru en 1984 sous le n° 1984 dans la collection J'ai Lu.
J'ai revu le film L'expérience interdite, de Joel Schumacher (1990), où 5 étudiants en médecine tentent d'explorer le phénomène en se plaçant en état de mort clinique. Seuls 4 d'entre eux tentent effectivement l'expérience, et leurs noms m'ont été évocateurs :
Nelson Wright = 79 85
Rachel Mannus = 47 82
David Labraccio = 40 64
Joe Hurley = 30 89
totaux = 196 320 = 4 (49 80)
Il y a un nom doré, 40/64 = 5/8 (Fibo), et surtout la moyenne prénom/nom pour les 4 est 49/80, rapport doré bien connu (par exemple 80/49 pour Anne-Marie Green, directrice de la collection ayant édité le livre sur le nombre d'or chez Bach).
Dans ce quaternion jungien, 3 hommes et 1 femme, la femme a un nom de valeur 129 correspondant à la moyenne exacte du groupe.
196 est aussi la valeur des 3 noms dorés des cofondateurs de IANDS, et le calcul avec les diminutifs donne un résultat très particulier :
JOHN-RAY-KEN = 47+44+30 = 121
AUDETTE-MOODY-RING = 76+72+48 = 196
121/196 est un parfait rapport d'or, mais ce sont aussi deux carrés, et donc 14/11 est une bonne approximation de la racine de Phi, √φ. C'est encore la pente de Khéops.
La proximité de Kenneth/Ring = 77/48 et John/Audette = 47/76 m'a rappelé le cas de Caroline/Graham = 77/48, créatrice du personnage de l'inspecteur Barnaby dans la ville imaginaire de Causton, mot que j'ai retrouvé dans les hétérogrammes d'Alphabets de Georges Perec = 76/47. Ce sont des poèmes carrés de 11x11 = 121 lettres, et Perec en a expérimenté d'autres formes, jusqu'aux 14x14 = 196 lettres de Métaux.
Je veux encore revenir sur Phil Dick = 45/27 = 5/3, depuis mes 20 ans un de mes auteurs de prédilection. J'ai trouvé dans son roman de 1977 Substance mort le récit d'une expérience qui m'a rappelé celle que j'avais faite avant mes 20 ans.
J'ai ensuite appris que Dick avait conté ce qui lui était arrivé à lui-même, au début de sa crise de février-mars 1974, et qu'un détail non mentionné dans son premier récit était que le seuil vers l'autre monde dont il avait eu la vision était un rectangle d'or.
J'ai donné ici le récit de ma propre expérience, que j'ai également transmis à un forum spécialisé. Selon son animatrice Martine, qui semble connaître parfaitement la question, de telles expériences ne sont pas des NDE mais des ECM, expériences de conscience modifiée. Les points communs sont cependant frappants.
Le nom RAYMOND MOODY = 90-72 est aussi intéressant au niveau quaternitaire, car 90/72 = 5/4.
Je rappelle qu'on pourrait considérer que Haemmerli a sacrifié sa vie, à 60 ans, pour donner à Jung une nouvelle tranche de vie, le quart de ses 25088 jours au 4/4/44, soit 6272 jours. J'ai évoqué à multiples reprises le sonnet de Perec de valeur 6272, mais je m'aperçois que j'ai omis de mentionner sur cette page dédiée la propriété de son acrostiche, ANAQCHIDUPSOSO = 162, qui se répartit en
6 voyelles AAIUOO = 62
8 consonnes NQCHDPSS = 100
partage doré immédiat de 162, aussi valeur de RAYMOND MOODY
Il a été vu des possibilités de lecture numérologique pour 3 des 5 cofondateurs de IANDS, dont les noms complets sont donc
JOHN AUDETTE = 47+76 = 123
KENNETH RING = 77+48 = 125
RAYMOND MOODY = 90+72 = 162
S'il n'y a rien d'immédiat pour les deux autres,
MICHAEL SABOM = 51+50 = 101
BRUCE GREYSON = 49+103 = 152
il est frappant que leur somme 101+152 = 253 soit la section d'or entière de la somme des 3 autres noms, 123+125+162 = 410.
PS du 7 novembre : Hier je me suis souvenu d'une curiosité de l'adresse de IANDS pendant plus de 30 ans, le domicile de Bruce Greyson, 1308 Wertland St, à Charlottesville, VA. J'avais appris ceci il y a deux ans lors de la vision de l'Enquête Extraordinaire de Stéphane Allix consacrée aux NDE, qu'on peut visionner ici (temps 25:36, et je remarque la durée totale 80:50 correspondant à Misraki:Paul), et j'avais remarqué ce 1308 qui d'une part exhibe les Fibos 13-8, d'autre part correspond à la valeur du mot grec tykhè, "destin", également nom de la déesse de la destinée.