à Thanatos & Lavie
Ce 382e billet de Quaternité est la seconde partie du précédent, qu'il faut donc avoir déjà lu.
Le 381e billet a été initié par la découverte que le nom d'un auteur qui m'était cher,
Jean-Marie Villemot, contenait
ma vie mortelle, une expression issue d'un rêve fait à 25 ans, associée aux chiffres 1 et 2. Ce rêve possédait une certaine adéquation avec l'arithmologie, car
MA VIE / MORTELLE = 50/100 = 1/2, alors que je ne faisais pas de tels calculs à 25 ans. C'est peut-être ce rêve qui m'y avait mené.
Après la mort de ma compagne, j'ai pris la décision, pas absolument définitive, d'en finir avec la vie à 75 ans, et l'écriture du précédent billet m'a fait prendre conscience que le rêve fait à 25 ans partageait ces 25 ans en
25/50 = 1/2, et 25-50 sont les moitiés de 50-100.
Villemot ne m'était important que pour un seul roman, Abel Brigand (2002), où son héros abbé d'initiales A-B suit un jeu d'énigmes qui lui font découvrir 4 lettres-missives dans des lieux, l'Aéroport du Bourget, le Lac d'Enghien, l'Eglise de Royaumont, le Cirque d'Orry, dont les lettres-initiales semblent désigner Alec Cooper.
Mais les lieux forment géométriquement un rectangle 1×2, ce qui désigne l'autre suspect, le peintre Alain Vogt dont toutes les toiles ont ce format.
En fait toute l'affaire est truquée, et Cooper et Vogt sont innocents...
J'avais été marqué par ce roman, car j'avais découvert l'année précédente La bibliothèque de Villers (1980), de Benoît Peeters, où 4 crimes sont commis tous les 25 jours aux 4 coins d'un carré dans la ville de Villers.
Les initiales des 4 morts, dans l'ordre IVRE, forment l'allemand VIER, "quatre", mais Peeters avait une tout autre raison pour choisir ces initiales.
J'ai mentionné les 25 jours dans le précédent billet, mais omis de faire le lien avec ma VIE de 25-50 ans, et Verley meurt 25 jours après Imbert, Ervil 50 jours après Verley. Leurs 3 initiales forment VIE.
J'ai découvert le roman de Peeters le lendemain du jour où je signais le mien au Salon du Livre, le 18 mars 2001. Or mon roman faisait mourir 4 latinistes aux sommets d'un rectangle 3×4 dans Paris. Ce n'est qu'aujourd'hui 4 juillet 23 que je réalise, alors que j'aurais pu le faire il y a 21 ans, que les 3 quadrilatères rectangles définis dans ces romans ont les formats, en choisissant pour côté commun 4,
4×4, 3×4, 2×4... !!!
C'est par hasard que les lieux que j'avais choisis pour les 3 premières morts aient formé un triangle de Pythagore, alors que ce triangle était au coeur de l'affaire, et j'avais utilisé explicitement ce hasard. Il y avait des jeux dans les noms des victimes, en partie dus au hasard aussi, voir ici, et je me suis aperçu en 2010 que les noms des 3 premiers lieux avaient un point commun, "franc", voir là.
Le 4e lieu était la rue La Condamine, et je découvre aujourd'hui qu'elle a abrité la première loge féminine de franc-maçonnerie.
Le précédent billet m'a conduit à voir que les lettres BERO, initiales des 4 lieux d'Abel Brigand, formaient le mot hébreu RBOE, reva'a, "quatuor". Je n'ai pas besoin de demander à Villemot si c'était intentionnel, et heureusement puisqu'il est mort voici 12 ans.
Je pensais avoir lu ses autres romans, un Série Noire et deux autres enquêtes d'Abel Brigand, où je n'avais rien vu à commenter, or j'ai appris qu'il en existait un 5e, paru juste avant sa mort, L'évangile obscur.
Le roman suit Yeshuâ (Jésus) en Palestine en l'an 28. Il est alors âgé de 33 ans, et le roman a 3 parties de 33 chapitres chacune, découpage évidemment intentionnel.
Au passage, je note que c'est donc un ROMAN qui a intentionnellement 99 chapitres, et je suis particulièrement attaché aux rapports d'or 160/99/061, valeurs de
NOUVEAU ROMAN = 99 61.
Enfin, pour la nouveauté, c'est pas l'idéal ici. Villemot a imaginé que Myriam (Marie) avait accouché de jumeaux, Yeshuâ et Imânouel (Emmanuel). J'ai imaginé que ç'allait être l'explication de la résurrection, mais le récit ne va pas jusque là.
Il existe un clan pour lequel Yohanon (Jean le Baptiste) est le vrai Messie. Le clan a entendu parler de l'annonce faite à Myriam, surveille les jumeaux, et tente de les éliminer lorsqu'ils prennent conscience de leur destinée messianique.
Yeshuâ et Imânouel ont été séparés juste après leur naissance, lors de la chasse aux bébés de Bethléem organisée par Hérode. Yôsef a marqué leurs fronts de signes distinctifs.
A la fin de la première partie, les jumeaux se retrouvent.
A la fin de la seconde partie, Mariamene (Marie de Magdala) leur apprend que les signes sur leurs fronts sont des lettres hébraïques. Yeshuâ porte
qui seraient les lettres Yud, Chet, Zayin, et Imânouel
qui seraient les lettres Yud, Shin, Ayin.
Au début de la troisième partie, Mariamene réunit ainsi les deux inscriptions:
Yeshuâ comprend "Yahvé le sauvera". Ceci signifie qu'ils doivent se rendre au mont Horeb, là où Yahvé s'est révélé au peuple juif.
Je suis profondément troublé. Quand un auteur fait intervenir une langue étrangère, soit il la connaît, soit il se renseigne, or les lettres formant le Tétragramme YHW(H) sont en hébreu
Yud, He, Waw, יהו, rangs 10-5-6, et non
Yud, Chet, Zayin, יחז, rangs 10-8-7.
Si ça se ressemble, ces lettres sont voisines dans l'alphabet, et la ressemblance ainsi immédiatement perceptible devrait inciter à la circonspection.
C'est loin d'être la seule erreur, mais il est clair que Villemot ne bénéficiait pas d'un conseiller fiable en hébreu, alors je n'insiste pas. Je ne comprends guère pourquoi les jumeaux doivent se rendre à l'Horeb (je signalais dans le précédent billet que BERO, initiales des 4 lieux d'Abel Brigand, se renverse par rot-13 en OREB).
Une autre fausse interprétation permet de passer quelques chapitres, envoyant les jumeaux à Jéricho, et l'idée vient enfin de lire les inscriptions dans l'autre ordre:
Yeshuâ y lit alors "Isaïe (chapitre) 7", car ז est aussi le nombre 7, et ce chapitre 7 d'Isaïe est celui de la prophétie dite de l'Emmanuel, annonçant qu'une jeune femme donnera naissance à un enfant qui sauvera le royaume de Juda.
Les partisans de Yohanon retrouvent les jumeaux, Yeshuâ est tué, mais Imânouel décide de prendre son identité, Yeshuâ de Nazareth...
Et le roman s'arrête là. J'avoue ne pas bien comprendre ce que ça change, que Jésus ait été Jésus ou son frère jumeau. Peut-être cela permet-il d'accommoder la revendication christique de la prophétie d'Isaïe, Jésus devenant ainsi à la fois le Sauveur et l'Emmanuel. A la suite de Matthieu, bien des traductions ont rendu le mot "jeune femme" d'Isaïe par "vierge".
Curieusement, Villerot n'a pas rendu le nom Isaïe par une prononciation vernaculaire, or, fondamentalement, Isaïe (Yeshayahu) et Jésus sont le même nom, même si l'on ignore quel était exactement le nom hébreu ou araméen de Jésus, pour autant qu'il ait existé...
C'est aussi le nom Josué, le vainqueur de Jéricho, après l'expédition des deux espions, à laquelle m'a fait penser l'incursion des jumeaux.
Villerot a profané multiplement le Tétragramme, en se trompant doublement sur son orthographe, et en ne lui donnant que 3 lettres. Serait-ce Dieu qui l'aurait fait mourir quelques mois après la parution du roman?
Comme, en espagnol ou en portugais, Yahvé est transcrit Javé, je propose une nouvelle anagramme de
Jean-Marie Villemot,
le roman limite Javé.
J'ai découvert cette erreur hénaurme trois mois après une autre aberration auctoriale, celle de Thilliez dans La forêt des ombres, où l'allemand acht, "huit", est orthographié dans ses 9 occurrences archt.
Je ne vois pour l'heure rien de comparable, des petites bévues, certes, mais ici les erreurs touchent des points essentiels des intrigues. Je suis émerveillé que
- (יהו) = 21 devient (יחז) = 25;
- ACHT = 32 devient ARCHT = 50;
25 - 50, L'ÂGE ! MA VIE !!
Je rappelle que Thilliez donnait dans son roman suivant un triangle équilatéral de côté 50 km (ce qui était, après vérification, fortement approximatif, probablement parce que les noms des lieux aux sommets avaient été choisis pour un jeu subtil).
Il y avait d'autres occurrences de 50 dans ce roman, nombre auquel les Esséniens vouaient un culte, parce qu'il est la somme des carrés des côtés du triangle 3-4-5 (9-16-25). L'évangile obscur débute avec l'arrivée de Yeshuâ à Qumran.
Les néo-Esséniens de Quenan vénèrent aussi le nombre 50. Queen a également joué avec la prophétie de l'Emmanuel, car le Maître des Quenanites meurt le Vendredi saint 1944, et le Dimanche pascal un avion s'écrase à proximité, son pilote rescapé se nommant Manuel.
Les erreurs en hébreu et en allemand me rappellent un point laissé en suspens dans le précédent billet, où j'indiquais avoir avoir trouvé au fil des ans des échos au rêve de mes 25 ans,
1LA VIE 2MORTELLE.
En hébreu, j'avais trouvé assez tôt
423 = (תחיה), tahayah, « tu vivras », moitié de
846 = (תמות), tamout, « tu mourras ».
En allemand, c'était un à-côté de mes études bachiennes, où il apparaît une curiosité dans les diptyques Prélude-Fugue du second cahier du Clavier bien tempéré:
Mi maj: Prélude 54 Fugue 43 mesures; moitiés de
mi min: Prélude 108 Fugue 86 mesures, or, selon la gématrie prêtée à Bach,
43 = ich lebe, « je vis », moitié de, ou mi-
86 = ich sterbe, « je meurs ».
Fort étonnamment, avec des suppléments détaillés ici, la relation 423-846 apparaît pour les 24 Fugues du premier cahier, avec
423 mesures pour les 8 premières Fugues, moitiés de
846 mesures pour les 16 autres Fugues.
Je m'avise aujourd'hui, 5 juillet 23, que les 8 premières fugues vont de Do maj à mi♭ min, les 16 autres de Mi maj à si min, et selon la notation allemande
C-es = 26, double de
E-h = 13, toujours selon l'alphabet prêté à Bach.
Bach connaissait évidemment les noms italiens des notes, et il était à sa portée (waf waf!) de jouer avec les mi-...
En tout cas Boilet-Peeters l'ont fait dans leur album Demi-tour (1996) auquel il a été fait allusion dans les deux précédents billets. Boilet avait rencontré Jean-Pierre Le Goff, qu'il avait manifestement pris pour un demi-fou, et l'avait un tant soit peu ridiculisé dans le personnage de André-Marie Le Goff, devenu Arisu dans la seconde édition de 2010:
Ce Le Goff, parce que Joachim et Miryam ont tous deux les lettres MI dans leurs prénoms, décrète qu'ils forment un couple idéal, et, lorsque chacun part de son côté, fait valoir que "deux MI = demi", ils devront faire demi-tour. C'est bien ce qui se passe, mais pas avec le résultat escompté.
La mutation de Le Goff en Arisu avait eu divers échos, et je n'en reprends qu'un ici, pour une nouveauté. En japonais, ari signifie "fourmi",
et, JPLG n'étant pas fou pour tout le monde, Pour la Science avait fait écho à son expérience de faire écrire ants, "fourmis", par des fourmis, dans un entrefilet où le hasard fit apparaître une remarquable dispositions des lettres ants.
L'expérience s'était tenue à la mi-mars 2001, précisément au moment où je découvris La bibliothèque de Villers de Peeters, le lendemain de ma signature au Salon du Livre.
J'ai connu JPLG parce qu'il avait lu mon livre, et parce que j'avais lu le sien paru quelques mois plus tôt. C'est lui qui m'a fait connaître Villemot, belle intrication...
Aujourd'hui, je remarque que, si "deux MI = demi", "fourmi = four mi = quatre MI", le double...
...et ridiculiser Le Goff / Arisu par des demis devient un hommage pansémiotique en constatant que
LE = 17, moitié de
GOFF = 34, moitié de
ARISU = 68.
Autre point laissé en suspens, l'anagramme complète de
Jean-Marie Villemot est
ma vie mortelle jaïn.
Un jaïn est un adepte du jaïnisme, du sanscrit jina, "vainqueur", ce qui m'a aussitôt rappelé La Tétralogie du Monstre, d'Enki Bilal. J'avais entendu lors de la publication du premier volet en 1998 une interview de Bilal où la journaliste l'interrogeait sur le fait que le nom du principal personnage, Nike, était l'anagramme d'Enki. "Je ne m'en étais pas aperçu", assura Bilal.
Je sais que nikê signifie "victoire" en grec, et c'est bien pour cette raison que la marque a adopté ce nom.
Anne était fan de Bilal. Moi pas tellement, mais ça ne m'a pas empêché de lui offrir le dernier volet de la tétralogie en 2007, Quatre?, pour son 60e anniversaire, le 18 mai.
J'y avais inscrit ce quatrain palindrome phonétique,
768 = 64 × 12, ou 4×4×4×4×3.
La liste Oulipo avait aussi participé; j'avais invité ses membres à composer 138 anagrammes de Pamela Anderson. Pourquoi elle? parce qu'une anagramme idéale allemande exprime idéalement ses atouts mammaires, Das Paar Melonen (la paire de melons).
Pourquoi 138? parce que c'était la valeur de son nom, et que le 18 mai était le 138e jour de 2007.
J'avais trouvé en dernier lieu une anagramme qui titra l'ensemble, Palmes d'or à Anne, car le lendemain avait lieu la remise des prix du Festival de Cannes. De plus le Festival, créé en 1947, fêtait aussi son 60e anniversaire.
La Palme d'or fut attribuée le 19 mai à 4 mois, 3 semaines, 2 jours, un titre que ne me disait rien alors, mais qui aujourd'hui m'évoque furieusement les quadrilatères rectangles décrits plus haut, de formats
4×4, 3×4, 2×4...
Il me reste à expliciter les titres de ces deux billets, 381e et 382e de Quaternité. Les recherches pendulaires de Lethbridge
l'ont amené à des résonances équivalentes pour le blanc, la vie, l'amour à 20 pouces d'une part (50 cm), et le noir, la mort, la colère à 40 pouces d'autre part (100 cm). Il m'a semblé que LA HAINE était un antonyme plus immédiat de L'AMOUR, et j'ai constaté que
LEBLANC LAVIE LAMOUR = 49+49+80 = 178,
LENOIR LAMORT LAHAINE = 73+79+50 = 202,
la somme de l'ensemble étant 380, et le billet 380 m'avait conduit à pouvoir exprimer ce nombre à partir de BLANC NOIR JOUR NUIT.
J'ai interverti LAMOUR et LAHAINE afin d'avoir pour le premier billet, du 3 juillet,
1LAVIE LAHAINE LEBLANC = 149 = LA VIE MORTELLE.
Pour ce second billet, j'ai renversé totalement l'ordre afin d'avoir en tête
LENOIR = 73, car aujourd'hui 6 juillet est mon 73e anniversaire.
C'est en fait
2LENOIR = 75 = 25 + 50 = 2NI + LERO, correspondant à la décision que j'ai prise quant à mon avenir.
Tiens, ce 6 juillet 1950 était aussi un jeudi, et mes 26663 jours de vie représentent donc exactement 3809 semaines. J'entamerai ce soir ma 3810e semaine.
Le billet 380 forme une trilogie avec ces billets 381-382, car c'est pendant son écriture que m'est venue l'anagramme de Villemot. Ainsi
380+381+382 = 1143, un nombre fort évocateur dans la galaxie perecquienne, auquel j'ai trouvé des échos synchronistiques.
Le centrage sur 381 est aussi significatif, car le motif 1-2 répartit ce nombre en 127 et 254, or le pouce mesure exactement 2,54 cm, en conséquence
127 et 254 correspondent à 50 et 100 pouces (MAVIE MORTELLE).
J'ai envisagé aussi comme titres alternatifs des billets 381-382
Leben1 et Death2, car l'allemand Leben, "vie", et l'anglais death, "mort", ont tous deux pour valeur 38.
Lethbridge, "pont sur le Léthé" ?, m'a conduit à m'apercevoir que
LA MORT / LA VIE = 79 / 49
est un partage d'or idéal de la somme 128.
Il en va de même de
L'AMOUR / LA HAINE = 80/50
qui de plus est la traduction exacte d'un autre partage d'or idéal,
LOVE / HATE = 54/34.
Je paraphraserais volontiers Jung ainsi:
J'expliquerai prochainement pourquoi je relis des Farjeon, dont un commentateur a dit de ses romans:
Je savais qu'il y avait des bizarreries dans la numérotation des Masques, or Sombre nuit offre en fin de volume la liste complète des numéros antérieurs, et j'ai retrouvé les anomalies, il y a eu deux numéros 382 et deux numéros 387, ainsi
Bien entendu, il n'est pas paru de numéro 382 bis, mais deux numéros 382. J'ai le numéro 381, dont le titre exact est Le Crime de la 5ème Avenue, il a été achevé d'imprimer le 10 août 1950, et coûtait 100 francs. Un livre ne se fait pas en 24 heures, ainsi l'erreur, d'où qu'elle vînt, est proche de ma date de naissance.
Le Gématron donne pour le titre de ce n° 381:
Le Crime de la 5ème Avenue = 183.
Si j'associe 382 à la mort, que Lethbridge voit vibrer à la même fréquence que le Nord, le titre et l'auteur du second n° 382 ne manquent pas d'à-propos...
Si le n° 566 de Sombre nuit ne me disait rien a priori, il n'en est plus de même après la découverte de ces 2 382, car
566 = 283.2.
Le 381e billet a été initié par la découverte que le nom d'un auteur qui m'était cher,
Jean-Marie Villemot, contenait
ma vie mortelle, une expression issue d'un rêve fait à 25 ans, associée aux chiffres 1 et 2. Ce rêve possédait une certaine adéquation avec l'arithmologie, car
MA VIE / MORTELLE = 50/100 = 1/2, alors que je ne faisais pas de tels calculs à 25 ans. C'est peut-être ce rêve qui m'y avait mené.
Après la mort de ma compagne, j'ai pris la décision, pas absolument définitive, d'en finir avec la vie à 75 ans, et l'écriture du précédent billet m'a fait prendre conscience que le rêve fait à 25 ans partageait ces 25 ans en
25/50 = 1/2, et 25-50 sont les moitiés de 50-100.
Villemot ne m'était important que pour un seul roman, Abel Brigand (2002), où son héros abbé d'initiales A-B suit un jeu d'énigmes qui lui font découvrir 4 lettres-missives dans des lieux, l'Aéroport du Bourget, le Lac d'Enghien, l'Eglise de Royaumont, le Cirque d'Orry, dont les lettres-initiales semblent désigner Alec Cooper.
Mais les lieux forment géométriquement un rectangle 1×2, ce qui désigne l'autre suspect, le peintre Alain Vogt dont toutes les toiles ont ce format.
En fait toute l'affaire est truquée, et Cooper et Vogt sont innocents...
J'avais été marqué par ce roman, car j'avais découvert l'année précédente La bibliothèque de Villers (1980), de Benoît Peeters, où 4 crimes sont commis tous les 25 jours aux 4 coins d'un carré dans la ville de Villers.
Les initiales des 4 morts, dans l'ordre IVRE, forment l'allemand VIER, "quatre", mais Peeters avait une tout autre raison pour choisir ces initiales.
J'ai mentionné les 25 jours dans le précédent billet, mais omis de faire le lien avec ma VIE de 25-50 ans, et Verley meurt 25 jours après Imbert, Ervil 50 jours après Verley. Leurs 3 initiales forment VIE.
J'ai découvert le roman de Peeters le lendemain du jour où je signais le mien au Salon du Livre, le 18 mars 2001. Or mon roman faisait mourir 4 latinistes aux sommets d'un rectangle 3×4 dans Paris. Ce n'est qu'aujourd'hui 4 juillet 23 que je réalise, alors que j'aurais pu le faire il y a 21 ans, que les 3 quadrilatères rectangles définis dans ces romans ont les formats, en choisissant pour côté commun 4,
4×4, 3×4, 2×4... !!!
C'est par hasard que les lieux que j'avais choisis pour les 3 premières morts aient formé un triangle de Pythagore, alors que ce triangle était au coeur de l'affaire, et j'avais utilisé explicitement ce hasard. Il y avait des jeux dans les noms des victimes, en partie dus au hasard aussi, voir ici, et je me suis aperçu en 2010 que les noms des 3 premiers lieux avaient un point commun, "franc", voir là.
Le 4e lieu était la rue La Condamine, et je découvre aujourd'hui qu'elle a abrité la première loge féminine de franc-maçonnerie.
Le précédent billet m'a conduit à voir que les lettres BERO, initiales des 4 lieux d'Abel Brigand, formaient le mot hébreu RBOE, reva'a, "quatuor". Je n'ai pas besoin de demander à Villemot si c'était intentionnel, et heureusement puisqu'il est mort voici 12 ans.
Je pensais avoir lu ses autres romans, un Série Noire et deux autres enquêtes d'Abel Brigand, où je n'avais rien vu à commenter, or j'ai appris qu'il en existait un 5e, paru juste avant sa mort, L'évangile obscur.
Le roman suit Yeshuâ (Jésus) en Palestine en l'an 28. Il est alors âgé de 33 ans, et le roman a 3 parties de 33 chapitres chacune, découpage évidemment intentionnel.
Au passage, je note que c'est donc un ROMAN qui a intentionnellement 99 chapitres, et je suis particulièrement attaché aux rapports d'or 160/99/061, valeurs de
NOUVEAU ROMAN = 99 61.
Enfin, pour la nouveauté, c'est pas l'idéal ici. Villemot a imaginé que Myriam (Marie) avait accouché de jumeaux, Yeshuâ et Imânouel (Emmanuel). J'ai imaginé que ç'allait être l'explication de la résurrection, mais le récit ne va pas jusque là.
Il existe un clan pour lequel Yohanon (Jean le Baptiste) est le vrai Messie. Le clan a entendu parler de l'annonce faite à Myriam, surveille les jumeaux, et tente de les éliminer lorsqu'ils prennent conscience de leur destinée messianique.
Yeshuâ et Imânouel ont été séparés juste après leur naissance, lors de la chasse aux bébés de Bethléem organisée par Hérode. Yôsef a marqué leurs fronts de signes distinctifs.
A la fin de la première partie, les jumeaux se retrouvent.
A la fin de la seconde partie, Mariamene (Marie de Magdala) leur apprend que les signes sur leurs fronts sont des lettres hébraïques. Yeshuâ porte
qui seraient les lettres Yud, Chet, Zayin, et Imânouel
qui seraient les lettres Yud, Shin, Ayin.
Au début de la troisième partie, Mariamene réunit ainsi les deux inscriptions:
Yeshuâ comprend "Yahvé le sauvera". Ceci signifie qu'ils doivent se rendre au mont Horeb, là où Yahvé s'est révélé au peuple juif.
Je suis profondément troublé. Quand un auteur fait intervenir une langue étrangère, soit il la connaît, soit il se renseigne, or les lettres formant le Tétragramme YHW(H) sont en hébreu
Yud, He, Waw, יהו, rangs 10-5-6, et non
Yud, Chet, Zayin, יחז, rangs 10-8-7.
Si ça se ressemble, ces lettres sont voisines dans l'alphabet, et la ressemblance ainsi immédiatement perceptible devrait inciter à la circonspection.
C'est loin d'être la seule erreur, mais il est clair que Villemot ne bénéficiait pas d'un conseiller fiable en hébreu, alors je n'insiste pas. Je ne comprends guère pourquoi les jumeaux doivent se rendre à l'Horeb (je signalais dans le précédent billet que BERO, initiales des 4 lieux d'Abel Brigand, se renverse par rot-13 en OREB).
Une autre fausse interprétation permet de passer quelques chapitres, envoyant les jumeaux à Jéricho, et l'idée vient enfin de lire les inscriptions dans l'autre ordre:
Yeshuâ y lit alors "Isaïe (chapitre) 7", car ז est aussi le nombre 7, et ce chapitre 7 d'Isaïe est celui de la prophétie dite de l'Emmanuel, annonçant qu'une jeune femme donnera naissance à un enfant qui sauvera le royaume de Juda.
Les partisans de Yohanon retrouvent les jumeaux, Yeshuâ est tué, mais Imânouel décide de prendre son identité, Yeshuâ de Nazareth...
Et le roman s'arrête là. J'avoue ne pas bien comprendre ce que ça change, que Jésus ait été Jésus ou son frère jumeau. Peut-être cela permet-il d'accommoder la revendication christique de la prophétie d'Isaïe, Jésus devenant ainsi à la fois le Sauveur et l'Emmanuel. A la suite de Matthieu, bien des traductions ont rendu le mot "jeune femme" d'Isaïe par "vierge".
Curieusement, Villerot n'a pas rendu le nom Isaïe par une prononciation vernaculaire, or, fondamentalement, Isaïe (Yeshayahu) et Jésus sont le même nom, même si l'on ignore quel était exactement le nom hébreu ou araméen de Jésus, pour autant qu'il ait existé...
C'est aussi le nom Josué, le vainqueur de Jéricho, après l'expédition des deux espions, à laquelle m'a fait penser l'incursion des jumeaux.
Villerot a profané multiplement le Tétragramme, en se trompant doublement sur son orthographe, et en ne lui donnant que 3 lettres. Serait-ce Dieu qui l'aurait fait mourir quelques mois après la parution du roman?
Comme, en espagnol ou en portugais, Yahvé est transcrit Javé, je propose une nouvelle anagramme de
Jean-Marie Villemot,
le roman limite Javé.
J'ai découvert cette erreur hénaurme trois mois après une autre aberration auctoriale, celle de Thilliez dans La forêt des ombres, où l'allemand acht, "huit", est orthographié dans ses 9 occurrences archt.
Je ne vois pour l'heure rien de comparable, des petites bévues, certes, mais ici les erreurs touchent des points essentiels des intrigues. Je suis émerveillé que
- (יהו) = 21 devient (יחז) = 25;
- ACHT = 32 devient ARCHT = 50;
25 - 50, L'ÂGE ! MA VIE !!
Je rappelle que Thilliez donnait dans son roman suivant un triangle équilatéral de côté 50 km (ce qui était, après vérification, fortement approximatif, probablement parce que les noms des lieux aux sommets avaient été choisis pour un jeu subtil).
Il y avait d'autres occurrences de 50 dans ce roman, nombre auquel les Esséniens vouaient un culte, parce qu'il est la somme des carrés des côtés du triangle 3-4-5 (9-16-25). L'évangile obscur débute avec l'arrivée de Yeshuâ à Qumran.
Les néo-Esséniens de Quenan vénèrent aussi le nombre 50. Queen a également joué avec la prophétie de l'Emmanuel, car le Maître des Quenanites meurt le Vendredi saint 1944, et le Dimanche pascal un avion s'écrase à proximité, son pilote rescapé se nommant Manuel.
Les erreurs en hébreu et en allemand me rappellent un point laissé en suspens dans le précédent billet, où j'indiquais avoir avoir trouvé au fil des ans des échos au rêve de mes 25 ans,
1LA VIE 2MORTELLE.
En hébreu, j'avais trouvé assez tôt
423 = (תחיה), tahayah, « tu vivras », moitié de
846 = (תמות), tamout, « tu mourras ».
En allemand, c'était un à-côté de mes études bachiennes, où il apparaît une curiosité dans les diptyques Prélude-Fugue du second cahier du Clavier bien tempéré:
Mi maj: Prélude 54 Fugue 43 mesures; moitiés de
mi min: Prélude 108 Fugue 86 mesures, or, selon la gématrie prêtée à Bach,
43 = ich lebe, « je vis », moitié de, ou mi-
86 = ich sterbe, « je meurs ».
Fort étonnamment, avec des suppléments détaillés ici, la relation 423-846 apparaît pour les 24 Fugues du premier cahier, avec
423 mesures pour les 8 premières Fugues, moitiés de
846 mesures pour les 16 autres Fugues.
Je m'avise aujourd'hui, 5 juillet 23, que les 8 premières fugues vont de Do maj à mi♭ min, les 16 autres de Mi maj à si min, et selon la notation allemande
C-es = 26, double de
E-h = 13, toujours selon l'alphabet prêté à Bach.
Bach connaissait évidemment les noms italiens des notes, et il était à sa portée (waf waf!) de jouer avec les mi-...
En tout cas Boilet-Peeters l'ont fait dans leur album Demi-tour (1996) auquel il a été fait allusion dans les deux précédents billets. Boilet avait rencontré Jean-Pierre Le Goff, qu'il avait manifestement pris pour un demi-fou, et l'avait un tant soit peu ridiculisé dans le personnage de André-Marie Le Goff, devenu Arisu dans la seconde édition de 2010:
Ce Le Goff, parce que Joachim et Miryam ont tous deux les lettres MI dans leurs prénoms, décrète qu'ils forment un couple idéal, et, lorsque chacun part de son côté, fait valoir que "deux MI = demi", ils devront faire demi-tour. C'est bien ce qui se passe, mais pas avec le résultat escompté.
La mutation de Le Goff en Arisu avait eu divers échos, et je n'en reprends qu'un ici, pour une nouveauté. En japonais, ari signifie "fourmi",
et, JPLG n'étant pas fou pour tout le monde, Pour la Science avait fait écho à son expérience de faire écrire ants, "fourmis", par des fourmis, dans un entrefilet où le hasard fit apparaître une remarquable dispositions des lettres ants.
L'expérience s'était tenue à la mi-mars 2001, précisément au moment où je découvris La bibliothèque de Villers de Peeters, le lendemain de ma signature au Salon du Livre.
J'ai connu JPLG parce qu'il avait lu mon livre, et parce que j'avais lu le sien paru quelques mois plus tôt. C'est lui qui m'a fait connaître Villemot, belle intrication...
Aujourd'hui, je remarque que, si "deux MI = demi", "fourmi = four mi = quatre MI", le double...
...et ridiculiser Le Goff / Arisu par des demis devient un hommage pansémiotique en constatant que
LE = 17, moitié de
GOFF = 34, moitié de
ARISU = 68.
Autre point laissé en suspens, l'anagramme complète de
Jean-Marie Villemot est
ma vie mortelle jaïn.
Un jaïn est un adepte du jaïnisme, du sanscrit jina, "vainqueur", ce qui m'a aussitôt rappelé La Tétralogie du Monstre, d'Enki Bilal. J'avais entendu lors de la publication du premier volet en 1998 une interview de Bilal où la journaliste l'interrogeait sur le fait que le nom du principal personnage, Nike, était l'anagramme d'Enki. "Je ne m'en étais pas aperçu", assura Bilal.
Je sais que nikê signifie "victoire" en grec, et c'est bien pour cette raison que la marque a adopté ce nom.
Anne était fan de Bilal. Moi pas tellement, mais ça ne m'a pas empêché de lui offrir le dernier volet de la tétralogie en 2007, Quatre?, pour son 60e anniversaire, le 18 mai.
J'y avais inscrit ce quatrain palindrome phonétique,
la liberté mollit,et je vois aujourd'hui qu'il compte 64 lettres, 4×4×4, de valeur
l'Aztèque a trop pâli.
il apporta Quetzal,
il omettrait Bilal!
768 = 64 × 12, ou 4×4×4×4×3.
La liste Oulipo avait aussi participé; j'avais invité ses membres à composer 138 anagrammes de Pamela Anderson. Pourquoi elle? parce qu'une anagramme idéale allemande exprime idéalement ses atouts mammaires, Das Paar Melonen (la paire de melons).
Pourquoi 138? parce que c'était la valeur de son nom, et que le 18 mai était le 138e jour de 2007.
J'avais trouvé en dernier lieu une anagramme qui titra l'ensemble, Palmes d'or à Anne, car le lendemain avait lieu la remise des prix du Festival de Cannes. De plus le Festival, créé en 1947, fêtait aussi son 60e anniversaire.
La Palme d'or fut attribuée le 19 mai à 4 mois, 3 semaines, 2 jours, un titre que ne me disait rien alors, mais qui aujourd'hui m'évoque furieusement les quadrilatères rectangles décrits plus haut, de formats
4×4, 3×4, 2×4...
Il me reste à expliciter les titres de ces deux billets, 381e et 382e de Quaternité. Les recherches pendulaires de Lethbridge
l'ont amené à des résonances équivalentes pour le blanc, la vie, l'amour à 20 pouces d'une part (50 cm), et le noir, la mort, la colère à 40 pouces d'autre part (100 cm). Il m'a semblé que LA HAINE était un antonyme plus immédiat de L'AMOUR, et j'ai constaté que
LEBLANC LAVIE LAMOUR = 49+49+80 = 178,
LENOIR LAMORT LAHAINE = 73+79+50 = 202,
la somme de l'ensemble étant 380, et le billet 380 m'avait conduit à pouvoir exprimer ce nombre à partir de BLANC NOIR JOUR NUIT.
J'ai interverti LAMOUR et LAHAINE afin d'avoir pour le premier billet, du 3 juillet,
1LAVIE LAHAINE LEBLANC = 149 = LA VIE MORTELLE.
Pour ce second billet, j'ai renversé totalement l'ordre afin d'avoir en tête
LENOIR = 73, car aujourd'hui 6 juillet est mon 73e anniversaire.
C'est en fait
2LENOIR = 75 = 25 + 50 = 2NI + LERO, correspondant à la décision que j'ai prise quant à mon avenir.
Tiens, ce 6 juillet 1950 était aussi un jeudi, et mes 26663 jours de vie représentent donc exactement 3809 semaines. J'entamerai ce soir ma 3810e semaine.
Le billet 380 forme une trilogie avec ces billets 381-382, car c'est pendant son écriture que m'est venue l'anagramme de Villemot. Ainsi
380+381+382 = 1143, un nombre fort évocateur dans la galaxie perecquienne, auquel j'ai trouvé des échos synchronistiques.
Le centrage sur 381 est aussi significatif, car le motif 1-2 répartit ce nombre en 127 et 254, or le pouce mesure exactement 2,54 cm, en conséquence
127 et 254 correspondent à 50 et 100 pouces (MAVIE MORTELLE).
J'ai envisagé aussi comme titres alternatifs des billets 381-382
Leben1 et Death2, car l'allemand Leben, "vie", et l'anglais death, "mort", ont tous deux pour valeur 38.
Lethbridge, "pont sur le Léthé" ?, m'a conduit à m'apercevoir que
LA MORT / LA VIE = 79 / 49
est un partage d'or idéal de la somme 128.
Il en va de même de
L'AMOUR / LA HAINE = 80/50
qui de plus est la traduction exacte d'un autre partage d'or idéal,
LOVE / HATE = 54/34.
Je paraphraserais volontiers Jung ainsi:
Pour moi, c'est un fait d'un irrationnel absolu que l'énergie vitale doive avoir toutes sortes de liens avec le nombre d'or.Irrationnel pourrait qualifier ce qui s'est passé hier pendant ma balade journalière. A Esparron, je suis connu comme le "monsieur qui lit en marchant", et hier je lisais Sombre nuit de Jefferson Farjeon (Le Masque, 1957).
J'expliquerai prochainement pourquoi je relis des Farjeon, dont un commentateur a dit de ses romans:
Le lecteur peut s'attendre à ce que le héros y rencontre, dans cet ordre, une jeune fille, un cadavre.Sombre nuit ne déroge pas à cette règle, et le héros Paul Kennet rencontre dès le premier chapitre la jeune Grace, mais il faut attendre la dernière ligne du chapitre 20 (sur 30) pour voir apparaître le cadavre. 20-10 a éveillé ma curiosité, et j'ai alors regardé quel était le numéro du roman dans la collection, 566.
Je savais qu'il y avait des bizarreries dans la numérotation des Masques, or Sombre nuit offre en fin de volume la liste complète des numéros antérieurs, et j'ai retrouvé les anomalies, il y a eu deux numéros 382 et deux numéros 387, ainsi
Bien entendu, il n'est pas paru de numéro 382 bis, mais deux numéros 382. J'ai le numéro 381, dont le titre exact est Le Crime de la 5ème Avenue, il a été achevé d'imprimer le 10 août 1950, et coûtait 100 francs. Un livre ne se fait pas en 24 heures, ainsi l'erreur, d'où qu'elle vînt, est proche de ma date de naissance.
Le Gématron donne pour le titre de ce n° 381:
Le Crime de la 5ème Avenue = 183.
Si j'associe 382 à la mort, que Lethbridge voit vibrer à la même fréquence que le Nord, le titre et l'auteur du second n° 382 ne manquent pas d'à-propos...
Si le n° 566 de Sombre nuit ne me disait rien a priori, il n'en est plus de même après la découverte de ces 2 382, car
566 = 283.2.
Note du 10/7: j'apprends, en cherchant autre chose, que "coïncidence" se dit en hébreu "צירוף מקרים", tserouf miqrim, "réunion d'événements", de même valeur 776 que "soixante-quinze", "שבעים וחמש".
J'apprends par la même occasion que "צירוף" seul, qui s'écrit aussi "צרוף", "anagramme" pour les kabbalistes, a pour autre sens "expression grammaticale".
J'apprends par la même occasion que "צירוף" seul, qui s'écrit aussi "צרוף", "anagramme" pour les kabbalistes, a pour autre sens "expression grammaticale".
1 commentaire:
Joyeux anniversaire, Rémi ! Une petite coïncidence personnelle pour accompagner ce jour, qui n'est pas sans écho avec ce nombre 2 au cœur de tes derniers billets.
Mardi soir 4 juillet, je sortais d'une visite à un détenu de la centrale de Saint-Maur. La voiture à côté de la mienne sur le parking portait le nombre 700, et la suivante le 702. Écart de 2 bien sûr, mais ce qui était amusant, c'est que je vis en face de moi une voiture portant le nombre 002.
Ce n'est pas tout : la voiture 700 avait le numéro de département 70, rare dans le coin. Les deux autres arboraient un banal 36. Sauf que 36 + 36 = 72. De 70 à 72, encore un écart de 2.
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