Il me faut d'abord revenir sur mon billet Des blancs et des noirs et ma vision en août 2009 de Des jours et des nuits, téléfilm adapté du roman de Gilbert Sinoué, dont la lecture le 31 août 08 était intimement liée à ma découverte du 8 septembre 08 sur le 4/4/44.
L'indice permettant à Ricardo/Richard d'imaginer que la femme de ses rêves vit actuellement en Grèce est qu'il la voit en vêtements modernes lire un journal grec, dans le roman Eleftheria Vima ("Tribune libre"), journal aujourd'hui disparu que les scénaristes du téléfilm ont eu à coeur de remplacer par un titre actuel voisin, To Vima ("La Tribune"), en lettres grecques TO BHMA.
J'avais regardé attentivement cette rediffusion, et j'avais encore cette image en tête quelques jours plus tard lorsque j'ai consulté Lettres, chiffres et dieux, de Guy Trévoux (1979), un livre original sur l'origine de l'alphabet, où Trévoux enchérit sur les hypothèses de Robert Graves dans La Déesse blanche (1948, traduit par Trévoux en 1979 et reparu sous le titre Les Mythes celtes).
Graves y développait de formidables intuitions sur l'écriture oghamique, d'origine divine pour les Celtes des premiers siècles de notre ère, composée de 4 groupes de 1 à 5 encoches, différenciés par leurs positions par rapport à une ligne verticale :
Graves imaginait que la main aurait servi de support mnémonique à cet alphabet, avec les lettres à une encoche BHMA correspondant au pouce, les lettres du journal TO BHMA que j'avais encore en mémoire.
Je suis particulièrement frappé par le fait qu'aux premières phalanges correspondent les lettres HDTCQ, initiales des nombres de 1 à 5 en gaélique, hoine duou ttri ccetuor qquenque, ainsi la représentation des lettres serait directement issue de la numération; Jung voyait dans les premiers entiers, particulièrement de 1 à 4, des archétypes essentiels, propres à déclencher les phénomènes synchronistiques.
L'illustration ci-dessus est extraite de La Déesse blanche, et Trévoux compare page 31 de Lettres, chiffres et dieux l'hypothèse de Graves à un autre système mnémonique imaginé par Trévoux lui-même, à partir des 5 noms des Pandavas, dieux indiens :
Je reproduis aussi sa conclusion, que je ne partage guère car la coïncidence essentielle entre les deux tableaux est la première colonne B/H/M/A-B/Hi/Ma, or le rapprochement est bien moins immédiat qu'il n'y paraît car le nom sanskrit ne comporte que deux consonnes : भीम se décompose en भी, Bhi, la consonne भ, Bha, vocalisée en I, म, la consonne Ma vocalisée par défaut en A.
Si la réelle coïncidence sur deux lettres "ne peut être due au hasard", que dire de l'exacte correspondance avec le grec BHMA ?
Que dire encore du contexte jungien, puisque le roman de Sinoué fait intervenir Jung en personne, alors que l'enquête de Graves est née d'une intuition pendant la semaine sainte de 1944 (où le Mardi saint était le 4/4) ?
Voici pour le rappel, et j'en viens à ce qui s'est passé ce 7 septembre. Je serais en peine d'expliquer pourquoi j'ai visité ce jour le site Anagrammy, comment je suis arrivé à cette page montrant les prix attribués à Mike Keith, et comment mes yeux ont découvert ce carré de mots, dont le premier vertical est BIMAH.
L'écho est immédiat avec les tableaux de Trévoux, et leurs deux premiers mots verticaux, "BHMA" et Bhima.
Ce carré fait partie d'un ensemble utilisant toutes les 98 lettres du Scrabble anglais :Mike Keith a réussi à obtenir cette grille où tous les mots horizontaux et verticaux sont présents dans le dictionnaire du Scrabble. De plus le dernier carré incomplet permet l'ajout des deux jokers, avec les valeurs E et S permettant d'obtenir un autre carré 5x5 où tous les mots sont valides :
L'indice permettant à Ricardo/Richard d'imaginer que la femme de ses rêves vit actuellement en Grèce est qu'il la voit en vêtements modernes lire un journal grec, dans le roman Eleftheria Vima ("Tribune libre"), journal aujourd'hui disparu que les scénaristes du téléfilm ont eu à coeur de remplacer par un titre actuel voisin, To Vima ("La Tribune"), en lettres grecques TO BHMA.
J'avais regardé attentivement cette rediffusion, et j'avais encore cette image en tête quelques jours plus tard lorsque j'ai consulté Lettres, chiffres et dieux, de Guy Trévoux (1979), un livre original sur l'origine de l'alphabet, où Trévoux enchérit sur les hypothèses de Robert Graves dans La Déesse blanche (1948, traduit par Trévoux en 1979 et reparu sous le titre Les Mythes celtes).
Graves y développait de formidables intuitions sur l'écriture oghamique, d'origine divine pour les Celtes des premiers siècles de notre ère, composée de 4 groupes de 1 à 5 encoches, différenciés par leurs positions par rapport à une ligne verticale :
Graves imaginait que la main aurait servi de support mnémonique à cet alphabet, avec les lettres à une encoche BHMA correspondant au pouce, les lettres du journal TO BHMA que j'avais encore en mémoire.
Je suis particulièrement frappé par le fait qu'aux premières phalanges correspondent les lettres HDTCQ, initiales des nombres de 1 à 5 en gaélique, hoine duou ttri ccetuor qquenque, ainsi la représentation des lettres serait directement issue de la numération; Jung voyait dans les premiers entiers, particulièrement de 1 à 4, des archétypes essentiels, propres à déclencher les phénomènes synchronistiques.
L'illustration ci-dessus est extraite de La Déesse blanche, et Trévoux compare page 31 de Lettres, chiffres et dieux l'hypothèse de Graves à un autre système mnémonique imaginé par Trévoux lui-même, à partir des 5 noms des Pandavas, dieux indiens :
Je reproduis aussi sa conclusion, que je ne partage guère car la coïncidence essentielle entre les deux tableaux est la première colonne B/H/M/A-B/Hi/Ma, or le rapprochement est bien moins immédiat qu'il n'y paraît car le nom sanskrit ne comporte que deux consonnes : भीम se décompose en भी, Bhi, la consonne भ, Bha, vocalisée en I, म, la consonne Ma vocalisée par défaut en A.
Si la réelle coïncidence sur deux lettres "ne peut être due au hasard", que dire de l'exacte correspondance avec le grec BHMA ?
Que dire encore du contexte jungien, puisque le roman de Sinoué fait intervenir Jung en personne, alors que l'enquête de Graves est née d'une intuition pendant la semaine sainte de 1944 (où le Mardi saint était le 4/4) ?
Voici pour le rappel, et j'en viens à ce qui s'est passé ce 7 septembre. Je serais en peine d'expliquer pourquoi j'ai visité ce jour le site Anagrammy, comment je suis arrivé à cette page montrant les prix attribués à Mike Keith, et comment mes yeux ont découvert ce carré de mots, dont le premier vertical est BIMAH.
L'écho est immédiat avec les tableaux de Trévoux, et leurs deux premiers mots verticaux, "BHMA" et Bhima.
Ce carré fait partie d'un ensemble utilisant toutes les 98 lettres du Scrabble anglais :Mike Keith a réussi à obtenir cette grille où tous les mots horizontaux et verticaux sont présents dans le dictionnaire du Scrabble. De plus le dernier carré incomplet permet l'ajout des deux jokers, avec les valeurs E et S permettant d'obtenir un autre carré 5x5 où tous les mots sont valides :
B A T C H
I V O R Y
M I X U P
A S I D E
H O N E S
I V O R Y
M I X U P
A S I D E
H O N E S
Je suppose que ce résultat doit beaucoup à la programmation, ce qui ne diminue en rien l'exploit, dont Keith revendique la primeur, car les myriades de possibilités à étudier doivent être filtrées par des algorithmes (cette page donne 8636 mots de 5 lettres).
Ce résultat a probablement été choisi parmi d'autres possibilités, ce qui m'importe ici est que le carré BIMAH est celui qui présente une particularité, celui où interviennent ou non les jokers. C'est aussi le carré où figure un réel acronyme, C.R.U.D, alors que HDTCQ correspond à une sorte d'acronyme dans l'alphabet oghamique.
J'ai d'abord pensé que bimah était une autre forme pour le dieu Bhima, mais les noms propres sont interdits au Scrabble, et il s'agit d'un mot hébreu (בימה) désignant l'estrade, la tribune où est lue la Tora dans la synagogue. C'est en fait un emprunt au grec ancien βῆμα (BHMA en majuscules) dont la forme moderne vima est à l'origine de mon premier billet. La fiche wiki m'apprend que la désignation antérieure de cette tribune était migdal, "tour", un mot évocateur pour le jungien.
Il y aurait des petites choses à dire sur certains des 40 mots de la grille, mais je vais plutôt développer une synchronicité marquante qui a accompagné sa découverte le 7 septembre, dernier jour de l'année pataphysique 138.
Ce même jour, je me suis rendu à la médiathèque de Digne, et ai vu parmi les nouveautés vidéo Enquêtes Extraordinaires, série de 5 excellents reportages de Stéphane Allix diffusés par M6 en 2009. J'en ai emprunté deux, dont 6ème sens, que nous avons regardé le 12.
Nous l'avions déjà vu en 2009, mais la qualité des témoignages et de leur écoute méritait d'y revenir, et je me suis dit, en écoutant un psychologue spécialiste de ces phénomènes, qu'il faudrait que je prenne contact avec ces gens pour témoigner de mon expérience.
Je m'étais probablement dit la même chose à ma première vision, sans donner suite. Peut-être avais-je aussi remarqué le numéro de la voiture avec laquelle Allix franchit le Golden Gate dans la séquence suivante, 444-ZCZ, mais seule sa première partie pouvait m'être alors signifiante, n'ayant pas encore découvert l'alphabet oghamique, où j'ai vu que les lettres correspondant à 4 encoches, SCZE, étaient toutes présentes dans mon nom, qui pourrait se traduire 5415 441324.
Le bimah de Mike Keith, découvert quelques jours plus tôt, m'avait fait réviser le dossier, et je perçus aussitôt la correspondance du numéro avec 444-444.
Allix se rendait avec cette voiture dans le laboratoire du parapsychologue Dean Radin, où il se soumettait à une expérience intrigante : le cerveau semble anticiper des stimuli aléatoires...
Je suis toujours abasourdi par ce type d'expériences, et par le fossé qui sépare la parapsychologie de la science "officielle", résolument sceptique. Ici c'est d'abord le nom de Radin qui me marque, en relation avec Mike Keith que je peux indiquer maintenant être l'un des trois poètes qui avaient proposé avant moi des anagrammes de Vocalisations (je rappelle que c'est la valeur 6272 des 112 mots de ce sonnet qui m'avait conduit à en proposer une anagramme en 14 vers de valeur 448, avant de découvrir les 5 fois 6272 jours vécus par Jung, et leur équilibre 4-1 autour du 4/4/44).
En fait, les anagrammes anglaises de Vocalisations ont été créées en avril 2001, et je pourrais prétendre avoir inauguré l'entreprise puisque ma fascination pour ce sonnet m'avait fait coder ses 14 vers dans les 14 chapitres de mon roman Sous les pans du bizarre, écrit en 1999. Pour le 13e vers, Soupirs ahurissant Nadir ou Nirvana, une facétie m'avait conduit à coder radin au lieu de Nadir, puis à anagrammatiser un autre mot du 8e vers.
Je ne pensais qu'au français "radin", et n'aurais pu penser à Dean Radin qui n'a commencé à être connu en France qu'avec la parution de son livre La conscience invisible en novembre 2000, le mois même où paraissait mon roman.
Les pans du bizarre sont décidément abrupts, et si un tenant américain d'un nouveau paradigme scientifique est ce RADIN, le sceptique le plus célèbre est probablement RANDI, James Randi, ex-illusionniste reconverti en pourfendeur des pseudo-sciences, qui a fondé le One Million Dollar Challenge, promettant $1,000,000 à qui démontrerait la réalité d'événements paranormaux.
Que personne n'ait jusqu'ici pu décrocher le jackpot pourrait faire douter des prétentions des parapsychologues, mais ceux-ci rétorquent que le défi est un leurre, aux exigences exorbitantes, ainsi Radin lui-même se montre "radin" sur son blog en calculant que, pour parvenir aux résultats statistiques demandés, le coût des expérimentations nécessaires dépasserait largement la récompense éventuelle.
Incidemment, ce blog m'a appris que Radin avait une relation privilégiée au nombre 4, puisqu'il est né un 29 février et ne peut fêter son anniversaire réel que tous les 4 ans.
J'ai posé la requête Radin Randi anagram pour voir si quelqu'un avait commenté ce fait, et le premier résultat exploitable vient d'un blog où la question du défi de Randi est débattue. Ce commentaire remarque l'anagramme Radin-Randi, et la compare à Santa-Satan (Santa est le raccourci familier pour Santa Claus, le Père Noël).
Le rapprochement est pertinent, puisqu'il touche deux paires de noms de 5 lettres où la bascule de la même lettre N entre les 3e et 5e positions provoque un changement de sens drastique.
Par ailleurs ce commentaire se trouve être le 31800e du blog, ce qui m'évoque aussitôt le BlogDay, le 31/8, jour de publication de mes billets des blancs et des noirs et de jour comme de nuit, aux titres intentionnellement antinomiques (et complémentaires). Si ce jour est aussi le 21/13 du calendrier pataphysique, le dernier de ces billets m'amenait à m'intéresser au calendrier républicain, et au 4/4 dans ce calendrier, jour du Soufre satanique, et dans notre calendrier le 24 décembre, le grand jour d'activité du Père Noël (et surtout la nuit associée).
Dans mon autre billet du 31/8, St Erbrand, je remarquais la similitude des 13 mois de 28 jours du calendrier pataphysique et du calendrier des arbres, conjecturé par Graves à partir de l'alphabet oghamique, mais le début de ce calendrier au 24 décembre ne me disait rien alors.
Les 13 mois du calendrier de Graves suivent l'ordre de l'alphabet en 15 consonnes, en en omettant 2, ainsi le premier mois débutant le 24 décembre est celui de B, Beth, le bouleau, 5 mois plus tard vient H, Huath, l'aubépine, 4 mois plus tard M, Muin, la vigne, et ça tombe en septembre où débute Vendémiaire, mois des vendanges, le 22 septembre, jour du Raisin.
C'est une bonne raison pour publier ce billet aujourd'hui, 1er jour de ce qui serait l'an révolutionnaire 220 (et il y en a une autre, plus intime, qu'un blogueur amateur d'anagrammes de "quaternité" saisira; merci à lui de prendre contact avec moi).
Quant aux 5 voyelles oghamiques, elles correspondent selon Graves aux 4 jours solsticiaux ou équinoxiaux de l'année, à commencer par le 24 décembre pour A, et la dernière voyelle I correspondait au jour solitaire en dehors des 13 mois et 52 semaines, le 23 décembre.
Pour essayer d'en apprendre plus sur la façon dont Mike Keith avait trouvé ses 4 carrés de 25 lettres, j'ai cherché sa première intervention sur le forum Anagrammy, le 28 février 06 :
31845 The 98 Scrabble letters (+) - Mike Keith February 28, 2006 at 00:20:58
Je n'ai rien appris de neuf, sinon qu'il s'agissait d'un autre message 318**, comme le commentaire 31800 vu plus haut. Ceci m'a rendu curieux de ce qu'était le message 31800, plus significatif, et le voici :
31800 Chernobyl disaster = Ostensibly charred. (+) - Mey K. February 26, 2006 at 08:25:51
L'anagramme concerne Tchernobyl, qui en ukrainien signifie "noir-blanc", nom d'une variété d'absinthe.
Je rappelle mon billet Des blancs et des noirs d'un 31/8. Il y a un jour de l'Absinthe dans le calendrier républicain, le 9 Messidor ou 27 juin, jour déjà remarqué ici, pour diverses coïncidences.
A propos d'anagrammes, la TRIBUNE bimah me rappelle que j'avais illustré ma première approche de l'affaire Jung, sur mon autre blog, par une abeille du 04 en train de BUTINER des capitules de tournesol, juste après avoir remarqué que THERA, l'île essentielle dans mon rapprochement Halter-Sinoué, était l'anagramme de EARTH comme de HEART. Je n'avais nullement remarqué alors le nom du journal Eleftheria Vima et n'avais aucune idée de la signification de vima.
L'irruption du calendrier républicain dans l'avant-dernier billet est due au fait que le 4 avril ou 15 Germinal y est le jour de l'Abeille, rapport à Tania Vläsi devenant le 4 avril 1959 la reine d'une ruche humaine.
Il y a encore un rapport immédiat entre les anagrammes de RADIN et le dieu indien Bhima puisque le roi des dieux INDRA est son oncle, géniteur de son frère Arjuna ("Blanc").
Tenter d'autres possibilités m'amène à ARDIN, commune des Deux-Sèvres dont le maire actuel se nomme Jean-Pierre Rimbeau, nouvel écho aux Vocalisations rimbaldo-perecquiennes.
Si l'étymologie du lieu signifie "sur la colline", une autre étymologie du nom Ardin variante d'Arden (évoquant aussi Rimbaud) est "forêt", ce qui me fait me souvenir du grec où c'est le sens premier de hylé, υλη; parmi les multiples rebonds que permet ce billet, j'y remarque notamment ma traduction sauvage de Strongylé, στρογγυλή, l'île "ronde" aujourd'hui Théra, en FORTE FORET.
Sa relecture me remémore les références Strong 444 (anthropos, "homme") et 4444 (purgos, "tour") : comme vu plus haut le mot d'origine grecque bimah a remplacé le mot purement hébreu migdal, "tour".
Ceci m'a rendu curieux de la référence Strong de bêma-βημα-BHMA, et c'est 968, 8e multiple du carré de 11 (11x11), bien venu en songeant aux lettres oghamiques B-H-M-A correspondant à 1 encoche. Je rappelle que le jeu nadir-radin de mon 13e vers, d'abord innocent, a été complété ensuite par un jeu alcool-loocal au 8e vers, parce que Rimbaud est né dans le 08 (ARDENnes !) et mort dans le 13 (et aussi parce que j'étais membre de l'association 813).
Lorsque je me suis avisé de la corrélation de Vocalisations avec Jung, j'ai songé à mon petit jeu nadir-radin, et, plutôt qu'à Dean RADIN (dont j'ai néanmoins le livre), pensé à Paul RADIN, anthropologue américain qui a co-développé avec Jung le concept d'enfant intérieur.
La multiplication des anagrammes de NADIR me porte à conjecturer que le défi de RANDI pourrait être recalculé en DINARs, plus susceptibles de DRAINer les amateurs...
La décision de dater ce billet du Premier Vendémiaire, 22/09 par ailleurs, ne m'est pas sans échos après coup.
2209 est le carré de 47, valeur de Perec. Gilles Tostivint a proposé dans son roman La vie évidente d'Elizabeth Berg (1995) une création en 2209 lettres où les mots clés sont BLANC et NOIR, voir ici. Le billet précédemment mentionné m'avait fait passer par un rapprochement étymologique entre la référence Strong 4444, purgos, "tour", et Berg, "montagne".
Le 1er août dernier j'ai découvert le plan idéal de Philadelphie en 22 + 9 rues, dessinant un damier de 21 x 8 cases où la situation de la place "centrale" semble avoir été choisie par un obsédé de la suite de Fibonacci. Voir le billet précédent, daté du premier de l'an d'un autre calendrier.
2209 est le carré de 47, valeur de Perec. Gilles Tostivint a proposé dans son roman La vie évidente d'Elizabeth Berg (1995) une création en 2209 lettres où les mots clés sont BLANC et NOIR, voir ici. Le billet précédemment mentionné m'avait fait passer par un rapprochement étymologique entre la référence Strong 4444, purgos, "tour", et Berg, "montagne".
Le 1er août dernier j'ai découvert le plan idéal de Philadelphie en 22 + 9 rues, dessinant un damier de 21 x 8 cases où la situation de la place "centrale" semble avoir été choisie par un obsédé de la suite de Fibonacci. Voir le billet précédent, daté du premier de l'an d'un autre calendrier.