5.11.23

nom Schulz prénom Rémy

 à moi...

  Retour à Ricardou, et à ses deux textes symétricologiques majeurs parus simultanément en 1988 dans Révolutions minuscules et La cathédrale de Sens, soit Révélations minuscules, en guise de préface, à la gloire de Jean Paulhan, et Le lapsus circulaire.
  Par "majeurs", je me réfère à la longueur des textes, 100 et 80 pages, car il y a encore Résipiscence, en 24 pages.
  Ces textes majeurs se distinguent notamment par des numéros de page autoréférents, probablement une première dans la littérature française, ces numéros étant 99 pour le premier texte, 61 pour le second. Une raison est explicitement donnée pour 99, c'est le premier numéro de la Nouvelle Revue Française où est parue une nouvelle de Ricardou, en 1961.
  Il était tentant de voir cette année 61 avoir déterminé la page autoréférente du Lapsus circulaire, mais j'avais vu une autre possibilité. La gématrie simple livre
NOUVEAU ROMAN = 99 + 61 = 160,
et la phrase que Ricardou reprend page 99 avec ses mots numérotés est originellement la 160e phrase du texte, et c'est une phrase où est évoqué son essai de 1973, Le nouveau roman.
  J'avais découvert d'autres indices étayant cette idée, comme la 1ère phrase qui compte 61 mots, la 61e qui en compte 99, ce qui m'a conduit à aller consulter les archives Ricardou à l'IMEC, possédant des brouillons des deux textes.

  Là, patatras! S'il était déjà confirmé que l'autoréférence de la page 99 était programmée, les brouillons montraient que Ricardou avait choisi au dernier moment, sur épreuves, le numéro de page du Lapsus circulaire, et Marc Avelot, collaborateur chez l'éditeur, les impressions nouvelles, me l'a confirmé.
 
  Marc Avelot et Erica Freiberg m'ont appris à quel point il avait été difficile de réaliser un autre désir de Ricardou pour cette édition. Ricardou n'écrivait qu'à la main, et Erica tapait ses textes à la machine, puis à l'ordi, et un Mac identique à celui de l'éditeur avait été acheté pour ce texte particulier.
 
  Ricardou tenait donc absolument à ce que le titre de son essai devienne les romances nouvelles, et qu'il figure dans la phrase de la page 99 en imitation du logo de l'éditeur, les impressions nouvelles. Il était loin d'être facile alors d'insérer une image dans du texte, et de fait l'opération n'est pas parfaite et les bords de l'image sont perceptibles.
 
  Ceci nécessitait que l'image apparaisse à peu près au milieu de la ligne, page 47 dans sa première version, comme page 99, où la phrase était reprise sous une autre forme, avec une largeur de ligne plus petite, et chaque mot accompagné de son rang dans la phrase; il se peut que cette largeur, commune à toutes les citations, ait été déterminée par cette seule adéquation.
  Voici la version de la page 47:

  C'est moi qui ai entouré d'un rectangle rouge certaines lettres qui m'étaient significatives, j'y reviendrai. On peut constater que ce rectangle est très exactement au milieu de la largeur  du paragraphe.

  Voici ce que devient l'insertion de l'image page 99, avec quelques lignes l'encadrant:
  
  Ce n'est que ce 26 octobre qu'il m'est venu un motif plus solide qu'un simple jeu avec le logo de l'éditeur. Le syntagme (les) romances nouvelles constitue un conglomérat des mots de rangs 51-50-49 (à compter de la fin de la phrase), avec pour romances nouvelles 50-49, somme 99 en cette page 99.

  J'ai dû consacrer une vingtaine de billets à la symétricologie ricardolienne, à partir de mars 2018 où j'exposais mes premières trouvailles. J'envisage maintenant 4 catégories pour les jeux dans ces textes:
1- ceux révélés explicitement par Ricardou;
2- ceux que Ricardou a laissé découvrir aux lecteurs, et il y en a beaucoup;
3- ceux non prévus par Ricardou, mais trouvant néanmoins pleinement sens dans les textes;
4- enfin le reste, probablement non prévu par Ricardou, mais pouvant faire sens pour des lecteurs.

  J'observe qu'il est fort difficile de trancher entre les catégories 2 et 3, excepté lorsque d'autres sources que les textes, comme leurs brouillons, amènent des éléments déterminants.
  Quoi qu'il en soit c'est la catégorie 4 qui m'intéresse en priorité, et la récente découverte
romances nouvelles = 50+49 = 99
m'a permis de faire un nouveau pas dans cette voie.

  La seconde forme de la 160e phrase, page 47, est donc donnée pages 98-99-100, introduite par les 22 mots de la phrase 314. La forme totalement numérotée étant peu lisible, j'ai choisi de ne numéroter que les mots ensuite commentés, avec des flèches pointant vers les mots numérotés:


  Les 6 phrases suivantes commentent les symétries:
- "centre", 99e mot, page 99, reprenant la syllabe "ce" des premier et dernier mots, "Ce" et "concordance";
- "triple fourche" et "auguste bouche", aux rangs 90-91;
- "prénom" et "émergence" (Jean) aux rangs 28;
- "les romances nouvelles" et "telle préface sempiternelle" aux rangs 49-50-51;
- les ouvertures et fermetures des parenthèses, aux rangs 58 et 79, formant "écriture, jeu avec lecture";
- enfin "auteur révolu" fait face aux "nouveaux imprimeurs", rangs 24-25.

 Il m'est apparu en août 2021 que la disposition choisie permet d'isoler le rang (50) de "romances", que (50) est à mi-chemin entre (1) et (99), et que les mots d'ordre (50), "préface" et "romances" comportent aussi la syllabe "ce" de ces mots de rangs (1) et (99), "Ce", "centre", et "concordance".
  Ceci pourrait expliquer pas mal de choses, pourquoi "roman" est devenu "romance", pourquoi ce texte est une "préface", alors qu'il est nettement plus long que l'ensemble des neuf nouvelles de Révolutions minuscules, pourquoi il est insisté sur la présence de "cent" dans "centre", au centre donc de deux (50). Enfin, ces 5 mots "ce" bornent 4 séries de 48 mots, 48 nombre fétiche de Ricardou.
  Les commentaires sur les rangs des mots occupent les phrases 315 à 320, 320 double de 160. S'il est maintenant peu probable qu'il y ait un rapport avec la valeur 160 de NOUVEAU ROMAN, ce n'est peut-être pas un hasard.
  Le texte s'achève par 8 très longues phrases particulièrement biscornues. J'ai émis l'hypothèse que Ricardou désirait ainsi donner exactement 100 pages à cette préface (dont une page vierge), par 8 phrases, le chiffre fétiche.

  Mon implication personnelle dans l'affaire est l'écho avec NOVEL ROMAN. C'est un personnage de Leblanc, Elisabeth Lovendale, qui m'a conduit à découvrir les propriétés de ces deux mots en 1996, sans que je sache si Leblanc avait sciemment donné à cette chercheuse de la 14e lettre d'amour parmi les 18 cachées dans les reliures des 18 tomes des romans de Richardson un nom en 18 lettres, de valeur égale aux 18 premières lettres, où seule la 14e lettre occupait la même position,
ELISABETH  LOVENDALE = 81+90 = 171.
A-----------M (N) O--R  = 171. 
  Ceci m'avait donné l'idée d'un roman dont le titre aurait été Novel Roman, et dont j'avais rédigé le plan et quelques passages en 1998, mais une perspective éditoriale assurée m'avait lancé dans un autre projet.

  En 2017, j'ai découvert en février et mai deux grilles "ferroviaires" de 9 lettres de large, l'une de 81 lettres, l'autre de 90, et les colonnes centrales de ces grilles contenaient, à l'insu de leurs auteurs, les lettres NOM PRENOM dans le désordre. Les nombres de lettres des deux grilles correspondaient aux valeurs des nom et prénom ELISABETH LOVENDALE.
  C'est aussi en 2017 que j'ai surmonté quelques réticences envers Ricardou, et lu avec attention Les lieux-dits, un roman dont la table des chapitres forme une grille 8x8 permettant de lire en diagonale le 4e lieu-dit, BELCROIX. L'autre diagonale peut désigner, sans que cela eût été intentionnel, un des deux protagonistes du roman,
OLIVIER  LASIUS = 90+81.
  Or mon projet de 1998, basé sur les valeurs 81-90 d'Elisabeth Lovendale, contenait aussi une grille de chapitres d'un "roman dans le roman", en 11x11 lettres avec un nom à lire en diagonale, ROSENCREUTZ (Rose-Croix). Cette grille était l'une des seules choses que j'avais rédigées, croyant faire oeuvre novatrice, ignorant du roman de Ricardou publié 30 ans plus tôt.

 Ces coïncidences m'ont conduit à reprendre le projet en avril 2018, et à le mener à terme, en y incluant ces nouveaux éléments.

 
  C'est en cours d'écriture que je m'étais avisé que la construction de Ricardou, forgée d'après le logo de l'éditeur, permettait d'isoler les 10 lettres "roman novel" dans un rectangle (voir plus haut la phrase de la page 47 entière).
  Ceci en ne comptant qu'une fois la lettre "n" de "roman(ces)", reprise renversée pour faire le "u" de "nouvel(les)".
  Ce n'est qu'aujourd'hui 5 novembre, en rédigeant ceci, que j'ai la curiosité de chercher quelle conséquence aurait la prise en compte du "u", soit
ROMAN  NOUVEL = 61 + 89 = 150,
or, si je préfère Rémi, mes prénom-nom selon l'état civil sont
REMY  SCHULZ = 61 + 89 = 150.
  C'est encore l'occasion de m'apercevoir que
PRENOM  REMY  NOM  SCHULZ = 273,  
soit le produit de mes fibos fétiches, 13x21, ou la valeur de l'hébreu arba', "quatre".
 
  C'est l'ajout d'un "n" renversé qui transforme
NOVEL = 68 en NOUVEL = 89,
or 68 se renverse en 89. Ce jeu du renversement du "6" en "9" est utilisé dans Le lapsus circulaire.

  Erica Freiberg, la collaboratrice de Ricardou, m'a appris que l'anglais novel n'est pas seulement le substantif "roman", c'est aussi l'adjectif "nouveau(x)", "nouvel(le)(s)".

  Je m'avise que les rangs des mots "les romances nouvelles", comme leurs symétriques "telle préface sempiternelle", sont 49-50-51, somme 150.

  Le mot "nouvel" est l'anagramme de "un vélo", ou de "Léon vu", ce qui pourrait évoquer une autre image insérée par Ricardou dans  La prise de Constantinople, où les explorateurs vénusiens découvrent une roche, avec des fissures pouvant se lire LEON, et une exploratrice constate que c'est le prénom de son collègue Léon Doca: 
- Pas du tout, rétorque Doca. Il suffit de ne plus hésiter à inverser complètement la lecture pour découvrir le simple nombre 4031 qui n'offre pas le moindre rapport avec l'un quelconque d'entre nous. D'ailleurs...
- En es-tu si assuré, Doca ? dit Elise Sas. J'aimerais avancer une brève démonstration. Donnons au zéro la valeur d'un O, puis considérons en chaque chiffre la lettre qui lui correspond dans l'alphabet. Nous découvrons alors le sens de ce mystérieux message: 4 égale D, zéro donne O, 3 signifie C, 1 indique le A de Doca.
  Ricardou avait confié à Erica que ce passage était pour lui essentiel. En 1943, ses parents lui avaient offert un vélo, acheté chez un marchand de leur quartier à Cannes, Léon Noël, rue du Titien (devenue la rue Léon Noël). C'était un résistant, arrêté peu après et mort sous la torture, ce qui avait marqué le jeune Jean.
  Je remarque que le renversement de "n" en "u" peut aussi donner un "v", ainsi le "n" de "léon" peut devenir le "v" de "vélo"...
  Dans le Lapsus circulaire, Ricardou prétend se prénommer Noël, et rend grâce à son père de lui avoir donné cette initiale "n" se renversant en la dernière lettre de son patronyme.

  Léon Doca est un nouvel ensemble prénom-nom, soigneusement calculé, et il en va probablement de même pour tous les personnages de Ricardou.

  Cette affaire a des échos personnels. Les beaux-parents de ma femme habitaient Le Cannet, et nous sommes allés plusieurs fois y passer la journée. Au cours d'une de ces visites, j'ai sillonné Cannes, en vélo, et découvert une importante librairie d'occasion, au 89 rue de la République. J'ai retenu cette adresse car 89 est la valeur de SCHULZ (comme de RICARDOU, devrai-je découvrir ultérieurement).
  En juin 2021, je suis revenu à Cannes pour découvrir les lieux où avait vécu Ricardou. Je me suis aperçu que la librairie du 89 rue de la République avait cédé la place à une épicerie orientale, et que ce n° 89 faisait le coin avec la rue Léon Noël.

  Le jeu Léon-Noël était prévu dès 1998 dans le projet Novel Roman, avec des personnages nommés Morvan Léon et Noël Navrom. Dans la réalisation effective de 2018, j'ai introduit dans le chapitre 15, en partie écrit en symétricologie, le jeu 4031-Leon, associé au nombre 6039, produit de 99 et 61 (en référence aux valeurs de NOUVEAU ROMAN.
  J'ai à coeur de révéler tous mes jeux (conscients du moins), et ceux de ce chapitre se trouvent ici.


  La découverte des rangs des mots
romances nouvelles = 50+49 = 99 
m'a conduit à rechercher les autres occurrences de l'expression. Elle n'apparait qu'une fois avant la phrase 160 de la page 47, dans la phrase 129 de la page 40, or
NOVEL  ROMAN = 61 + 68 = 129.
  Si je n'imagine guère que Ricardou ait sciemment fait allusion au
NOUVEAU ROMAN = 160
dans sa phrase 160, il est carrément absurde que la phrase 129 ait un rapport voulu avec NOVEL ROMAN.

  Voici tout le paragraphe, formé des phrases 128-129-130:
Cependant, outre de si puériles simplicités apparentes, toujours faciles à détecter, certains calculs qu'il fomentait de page en page en matière de lèvres, je dois le reconnaître, c'est jusqu'à, minuscule, une ampleur peut-être incongrue qu'il en multipliait quelquefois les astuces. Ainsi, pour approfondir d'un détour l'interminable exemple, il m'avait avoué un soir, car notre intime proximité le conduisait de temps à autre, on l'a lu, à feindre le tutoiement: "Vois-tu pourquoi, en vérité, j'en suis venu à concevoir, jadis, le mince livre Les romances nouvelles sur plusieurs, non peut-être les moindres, parmi mes contemporains ? Retiens l'aveu pour toi, certes, car il pourrait me desservir, j'imagine, auprès des universitaires, mais sache, pour ta gouverne, qu'avec tel favorable prétexte j'ai pu réussir ce qui seul pour moi, littérairement, à l'époque importait: disposer sur le revers du cartonnage, en quatrième place, évidemment, pour déférer à l'ordre alphabétique, au plus bas, ma propre signature."
  Peut-être faut-il traduire... L'édition originale du Nouveau Roman de 1973 offrait la particularité à laquelle il est fait allusion.
  Le verso immédiat de la couverture donnait les signatures de quatre nouveaux romanciers, Michel Butor, Claude Ollier, Robert Pinget, et Ricardou lui-même. Ainsi le nom Jean Ricardou figurait au haut du recto de la couverture (voir supra), en sombre sur clair, et sa signature au bas du verso, en clair sur sombre.
  J'ignore s'il existe d'autres livres dont les versos des couvertures sont imprimés, c'est en tout cas pour le moins exceptionnel.
  Si l'aveu de Ricardou à sa "çoeur" ne reflète pas obligatoirement une absolue vérité, car Le nouveau roman a demandé un travail énorme à l'auteur, lui ayant valu un certain succès public, la curiosité des versos de couverture est bien là, et elle dépend du fait que Ricardou a choisi d'y étudier 7 nouveaux romanciers tels que lui-même y figure, par ordre alphabétique, en 4e position, au milieu. Les 3 autres signatures figurent sur l'autre verso.

  Au niveau symétricologie, les 3 phrases remplissent le minimum syndical, avec des échos entre le premier et le dernier mot de la phrase.
  Il peut y avoir une finesse. Je crois avoir établi que, dans le Lapsus circulaire, la symétrie s'étend parfois à l'unité paragraphe, et dans ce paragraphe constitué de phrases de 44-60-62 mots, 166 en tout, s'achevant sur "signature", les 2 mots médians sont "j'en", possible signature "Jean".
  Si c'est un hasard, il serait formidable, car la consultation des brouillons m'a mené à l'hypothèse que Ricardou entendait placer cette même signature "j'en" au milieu exact de la dernière phrase de cette Préface, mais que le jeu a été perdu après diverses modifications. A moins que ce ne fût une suprême astuce, pour tromper les espions du "monument allemand"; Ricardou se gardait de répéter les mêmes jeux. 

  En tout cas un jeu analogue est explicitement revendiqué phrase 160, avec "(émer)gen(ce)" symétrique de "prénom".

  Ce billet, débuté aussitôt après avoir fini le précédent, a quelque peu traîné, car les deux trouvailles de départ (les rangs de "romances nouvelles" dans la phrase 160 et la première apparition de l'expression dans la phrase 129) me semblaient un brin faiblardes, et je n'étais pas sûr qu'elles justifiassent un nouveau billet.
  Et puis est venu le déclic
ROMAN  NOUVEL = 61 + 89 = REMY  SCHULZ,
ce qui m'a illico fourni un titre.

  Je suis encore consterné par ma lenteur d'esprit, car il m'était immédiat en 1996 que
ROMAN = REMY,
même si j'ai toujours préféré Rémi.
  Il aurait alors suffi que j'ouvre un dictionnaire anglais pour apprendre que novel est aussi un adjectif signifiant "nouvel". Mais ça fait tout de même plusieurs années que je le sais, de même que j'ai isolé "roman no(u)vel" dans le logo détourné.

  C'est peut-être à nouveau ma modestie qui est la cause des retards à voir l'intrication de mes recherches avec des détails personnels, ou l'effroi de me sentir à ce point impliqué.

  Je pensais avoir publié un billet intitulé
nom Lovendale prénom Elisabeth,
mais il s'agit plutôt de
prénom, Elisabeth, nom déclaré, Lovendale
en juillet 17, avec pour ce titre des raisons gématriques explicitées.

  Comme 
nom Lovendale prénom Elisabeth,
a pour valeur 294, j'y avais songé pour mon 294e billet, cependant intitulé
Habillée ? dévêtons-la !,
anagramme de "Elisabeth Lovendale", allusion aux strip-teases chers à Ricardou. Je peux d'ailleurs révéler maintenant que la cave de ses parents abritait dans les années 30 un cabaret d'effeuillage assez coté à Cannes, quoique officieux, Le chat noir. Le jeune Jean traînait dans la salle en-dehors des heures ouvertes au public, et y imaginait ses propres spectacles...
  Tiens, nom Schulz prénom Rémy se trouve être le 394e billet de Quaternité, 100 billets après celui qui aurait pu se nommer nom Lovendale prénom Elisabeth.
  Je constate encore que la valeur de mon nom, 150, est la moyenne entre 129 de Novel Roman et 171 de Elisabeth Lovendale.
 
Note du 6/11: Il m'est revenu que, dans un roman plusieurs fois évoqué, Mortelles voyelles de Gilles Schlesser, notamment ici, la lettre Y est aussi utilisée tardivement parmi les chiffres romains, pour noter 150. C'est prendre en compte le Y de mon prénom qui mène à 150.
  Je notais qu'un personnage de Schlesser était
PAUL-MISTRAKI = 50-100, somme 150.
  Son héros se nomme Oxymor Baulay, or j'ai relié ici l'oxymore Vie-Mortelle aux nombres 50-100.
  Une autre piste à creuser, probablement...
 
Note du 9/11: Depuis mon passage au Jeu des 1000 euros le 17 maij'écoute fréquemment l'émission, et aujourd'hui 9/11 il a été posé la question des dates de construction et destruction du mur de Berlin. J'aurais pu répondre, 61-89, mais je n'y ai certes pas pensé lorsque j'ai associé ROMAN NOUVEL = 61-89 à mes prénom-nom. MUR, ON EN VOLA?
  Les diffusions de l'émission ont lieu environ 3 semaines après l'enregistrement, et le hasard a fait que cette diffusion a eu lieu le 34e anniversaire de la date clé, le 9/11/89, annonce officielle de l'ouverture du Mur. Sa destruction est survenue les jours suivants.
  

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