à Totor & à Raymond
Hic aliquid, "ici quelque chose", ceci ne signifie pas qu'il faille renverser la formule de Victor Hugo et conclure qu'il n'y ait "rien ailleurs", nihil alias, mais du moins puis-je assurer qu'il y a quelque chose hic, et vais tenter d'expliquer pourquoi.
Après l'idée de fusionner les valeurs 81-90 d'Elisabeth Lovendale en 8190, relatée ici, il m'est venu l'idée réciproque de scinder 1918, valeur des 8 titres des nouvelles de L'agence Barnett et Cie, en 19 et 18, et arriver ainsi à ceci:
ARSENE + 19 = 62 + 19 = 81 = ELISABETH,
LUPIN + 18 = 72 + 18 = 90 = LOVENDALE.
Plusieurs relations faisaient intervenir ces nombres 18 et 19, ainsi que les lettres correspondantes R et S, qui n'ont pas manqué de m'évoquer mes initiales.
Puisque mon nom de plume,
REMI SCHULZ = 45 + 89 = 134,
est un 134 comme Arsène Lupin, il s'ensuit que doubler mes initiales conduirait à 63+108 = 171, et je me suis aussi demandé ce qu'il résulterait de leur suppression. Ça ne m'évoque rien de décisif avec ce nom de plume, mais mon nom selon l'état civil a été plus parlant:
REMY SCHULZ = 61 + 89; EMY CHULZ = 43 + 70 = 113.
43-70-113 sont des nombres de la Série Rouge du Corbusier, et 43-70 sont aussi les nombres de mesures du Prélude-Fugue BWV 883 du second cahier du Clavier bien tempéré (CBT), ce qui m'a amené sur cette page à voir en Bach un précurseur du Modulor.
C'était dans In memorianne, où, 3 mois après, j'ai pu évoquer le décès de ma femme Anne le 13 février 21. J'avais oublié que j'y constatais que j'avais alors 70 ans, dont 43 vécus avec Anne.
Pourquoi y avais-je utilisé SDG, parce que ces lettres sont lues par les exégètes de Bach 18-4-7, et qu'Anne était née le 18 mai 47.
Ou 1947, et ceci m'avait conduit à constater que les 48 diptyques du CBT ont les numéros BWV de 846 à 893, soit 18 fois 47 à 19 fois 47.
8-9-3 devient en lettres HIC, "ici". Peut-être commence-t-on à entrevoir pourquoi il y a "quelque chose" dans ce diptyque du CBT.
Il est évidemment complètement absurde d'imaginer une signification aux numéros BWV, mais je me sens destiné à explorer l'absurde, et cet absurde s'est déjà manifesté dans les 43-70 mesures du diptyque 883.
Je l'ai déjà exposé à plusieurs reprises, récemment ici ; en bref:
- L'ode Toi l'été dans Sous les pans du bizarre était au départ un court texte composé, en quelques minutes, selon la contrainte de parité des phonèmes.
- Lorsque j'ai appris que la parution du livre serait retardée, j'ai profité de ce qu'il avait 72 lettres pour illustrer les jeux sur les carrés de 3-4-5 d'une part, ceux de 10-11-12-13-14 d'autre part. Ainsi des majuscules, réparties en 3 groupes de 3-4-5 lettres, isolaient 5 groupes de 10-11-12-13-14 lettres, totalisant la valeur souhaitée 730. Ma passion bachienne était tel que j'avais découpé en 2-1-3-8 minuscules le vers final de 18 lettres par 4 majuscules, qui s'étaient imposées être FISS.
- Le livre est donc paru avec cette version en 2000. C'est en 2004 que j'ai découvert le rapport doré des deux diptyques d'ordre 14 dans les deux cahiers du CBT, soit en tonalité fa# mineur, fis selon la notation allemande, et je me suis avisé alors que l''ensemble des 72 lettres de mon ode avait pour valeur 883, numéro BWV du diptyque du second cahier, et j'avais signifié le 2-1-3-8 = 14 de BACH par les majuscules FISS...
883 n'est pas un nombre quelconque, car la moyenne entre les fractions Fibo 21/13 et 34/21 est 883/546. Or une relation essentielle du premier cahier était le partage des 819 mesures des préludes en 546 pour les 14 premiers et 273 pour les 10 autres.
Je l'ai rappelé dans le billet précédent, où l'étude de la grille magique de Dieben m'avait conduit à un article de David Rumsay sur les nombres bachiens. Il y mentionne aussi le Prélude pour orgue BWV 546, qui selon lui a deux thèmes, ses 144 mesures se répartissant suivant ces deux thèmes en 55 et 89, deux nombres de Fibonacci.
C'était la première fois que je voyais ce Prélude associé au nombre d'or, et j'ai aussitôt téléchargé la partition pour voir ce qu'il en était. Je vais différer mon ennuyeuse analyse pour confirmer que l'entrée d'un thème à la mesure 56 est effectivement particulière, mais il est bien plus remarquable que la pièce semble intentionnellement répartie en 3 parties de 48 mesures, sinon en 6 parties de 24 mesures, comme l'a vu Walter Corten dans un article que j'avais téléchargé parce qu'il y était aussi question de la grille de Dieben.
J'y reviendrai. Toujours est-il que la seule mention par un musicologue "autorisé" d'un partage 55-89 de BWV 546 m'était suffisante pour étudier en parallèle BWV 546 et BWV 883, et l'addition de leurs 144 et 113 mesures donne 257, nombre signalé dans le billet récent Rapports fusionnels, avec d'abord l'addition des 123 mesures du dernier diptyque du CBT1 et de 134, valeur de Soli Deo Gloria dont les initiales SDG achèvent le manuscrit autographe (voir supra).
123 et 134 sont les valeurs de GEORGES PEREC et ARSENE LUPIN, ainsi que les fusionnements de 1-2-3 et 1-3-4, premiers termes des suites de Fibo et de Lucas, et j'avais été très content du titre
RAPPORTS FUSIONNELS = 123+134 = 257.
J'y mentionnais que 257 était aussi la valeur du titre The Greek Coffin Mystery dont j'ai évoqué à maintes reprises l'acrostiche des titres de chapitres en 21 lettres, pour ce titre, et 13 lettres, pour BY ELLERY QUEEN. C'est une des coïncidences essentielles qui m'ont amené à mon obsession des Fibos 13-21-34, et ce n'est qu'en écrivant ces lignes ce 26/9 que je m'avise que 13-21-34 sont composés des mêmes chiffres que 123-134.
BY ELLERY QUEEN = 166, ainsi l'acrostiche complet a pour valeur 423, nombre intervenant dans le CBT1 avec les 1269 mesures des 24 fugues se répartissant en 423 pour les 8 premières et 846 pour les 16 autres.
166 est aussi le nombre de mesures du dernier diptyque du CBT2, ainsi la dernière ligne du tableau des 24+24 diptyques donné si souvent ces derniers temps que je ne le reprends pas totalise 289 mesures, auxquelles additionner le 134 de Soli Deo Gloria donne 423.
Ce dernier diptyque du CBT2 est le BWV 893, HIC, quod erat demonstrandum...
Parmi mes Preuves, il y a que les 77 (ELLERY) premières lettres des titres des chapitres composant l'acrostiche ont pour valeur 846, dont la section d'or exacte tombe à la fin du chapitre 7, EVIDENCE, soit "preuve". Je sais depuis longtemps que les grecs appelaient le nombre d'or tomê, "section", de valeur 418 selon l'alphabet grec. J'ai appris récemment que l'hébreu utilisait le mot 'hatakh, "section", de valeur 428 selon l'alphabet hébreu, la section d'or se disant חתך זהב ou חתך הזהב.
Ces deux sections donnent le total 846 (et la moyenne 423). Je rappelle que c'est le numéro BWV du premier diptyque du CBT.
Je remarque que les deux premiers titres de chapitres de Queen somment 113 (I+II = 113), et je reviens au BWV 883 en fis, à son 43+70=113 qui est aussi le valeur de mon nom sans les initiales.
Tom Lapnus est dans mon roman l'auteur de l'ode de valeur 883 où j'avais codé après coup le 2-1-3-8 de BACH par les majuscules FISS. Tom c'est un peu moi, et sa femme Irène Lapnus est aussi un peu Anne. J'ai exposé ici pourquoi la seconde partie de mon roman était titrée IL, faisant référence à la fois à Tom et à Irène Lapnus. Il se trouve que, sans ces initiales, elle devient
RENE APNUS = 42+71 = 113.
Lors de mes récents approfondissements sur 43-70, j'ai omis de mentionner le fusionnement 4370, rencontré dans le dernier épisode (12) de la saison 1 de Touch, une série de 2012 propre à m'intéresser, puisqu'elle était centrée sur le jeune autiste Jake percevant l'harmonie du monde par des nombres, que son père Martin Bohm devait interpréter.
Chaque épisode avait un nombre clé, faisant partie de la suite d'Amelia, une autre enfant prodige. Dans cet épisode 1-12, le nombre 4370 est lié à la mère de Jake, née le 3 avril 1970 (4-3-70 à l'américaine), et morte le 11 septembre 2001 car elle travaillait au WTC.
Je ne me souvenais plus que le billet où j'en avais parlé avait pour identifiant (postID) 1462148210652914370, nombre dont les premiers chiffres 14 et les derniers 4370 me rappelaient le Prélude-Fugue 14 du CBT2, en 43-70 mesures.
J'avais manqué alors de faire le lien avec son mari, et avec l'autre personnage principal de la saison 1, Clea Hopkins, charmante employée de l'institution qui s'occupe de Jake, institution dont la direction semble impliquée dans de louches manoeuvres. Mais Clea est clean, et sa relation amicale avec Martin semble pouvoir évoluer vers autre chose...
MARTIN BOHM = 75+38 = 113,
CLEA HOPKINS = 21+92 = 113.
Tiens, un mariage pourrait mener à une CLEA BOHM = 21-38, anagramme de MELO BACH...
Mais les scénaristes ont abandonné cette voie, et Clea ne figure plus dans la seconde et dernière saison, fort différente de la première. Ceci n'a pas suffi à améliorer l'audience en diminution croissante, et un dénouement rapide a été trouvé pour achever la série, avec 5 fois moins de spectateurs qu'au départ.
L'épisode 1-2 a pour titre 1+1=3, ce dont l'explication ne sera donnée que dans l'épisode 1-4. Le 5 septembre 2001, Sarah Bohm avait confié son alliance à un joaillier, pour y faire graver ce "1+1=3".
Les revirements scénaristiques ont conduit à un épisode à part, n'ayant été diffusé que plusieurs mois après les 12 épisodes "normaux" de la saison 1. Il est néanmoins identifié comme 1-13.
Un formidable écho est survenu deux ans plus tard, avec la série Believe, aussi sur le thème d'un enfant aux pouvoirs extraordinaires. Le manque d'audience a conduit la production à s'en tenir à une seule saison de 12 épisodes, avec une réelle fin, mais ceci a fait écarter un épisode déjà tourné, identifié ensuite comme 1-13.
La désaffection du public pour Touch s'explique peut-être par le choix de Kiefer Sutherland pour le rôle principal. Les fans de 24 (en français 24 heures chrono) qui adoraient voir Jack Bauer trucider des dizaines de terroristes dans chaque épisode n'ont pu le reconnaître en Martin Bohm, hostile à toute violence.
Martin est plus combatif dans la saison 2, face à des ennemis maintenant clairement identifiés, et ce n'est sans doute pas par hasard si le nombre clé de l'épisode 2-1 est 24. L'épisode final 2-13 a pour nombre clé 318, comme dans l'épisode 1-1, ainsi la série d'Amelia boucle sur elle-même,
avec 24 nombres différents, et 24 au centre. Elle est dite avoir 100 chiffres, ce qui se vérifie sur l'énumération ci-dessus, laquelle nécessite il me semble quelques accommodements, mais je ne vais pas revoir toute la série pour le vérifier.
Je me permets de rapprocher ce 100 de la fugue 24 du CBT2, et rappelle les deux diptyques 24 des deux cahiers,
Après l'idée de fusionner les valeurs 81-90 d'Elisabeth Lovendale en 8190, relatée ici, il m'est venu l'idée réciproque de scinder 1918, valeur des 8 titres des nouvelles de L'agence Barnett et Cie, en 19 et 18, et arriver ainsi à ceci:
ARSENE + 19 = 62 + 19 = 81 = ELISABETH,
LUPIN + 18 = 72 + 18 = 90 = LOVENDALE.
Plusieurs relations faisaient intervenir ces nombres 18 et 19, ainsi que les lettres correspondantes R et S, qui n'ont pas manqué de m'évoquer mes initiales.
Puisque mon nom de plume,
REMI SCHULZ = 45 + 89 = 134,
est un 134 comme Arsène Lupin, il s'ensuit que doubler mes initiales conduirait à 63+108 = 171, et je me suis aussi demandé ce qu'il résulterait de leur suppression. Ça ne m'évoque rien de décisif avec ce nom de plume, mais mon nom selon l'état civil a été plus parlant:
REMY SCHULZ = 61 + 89; EMY CHULZ = 43 + 70 = 113.
43-70-113 sont des nombres de la Série Rouge du Corbusier, et 43-70 sont aussi les nombres de mesures du Prélude-Fugue BWV 883 du second cahier du Clavier bien tempéré (CBT), ce qui m'a amené sur cette page à voir en Bach un précurseur du Modulor.
Ainsi, mon nom serait d'une manière simple relié au nombre d'or, alors que j'ai dans ma famille plusieurs peintres ayant utilisé le nombre d'or, alors que ce diptyque 883 a joué un rôle important dans mon exploration de l'oeuvre de Bach.
C'était dans In memorianne, où, 3 mois après, j'ai pu évoquer le décès de ma femme Anne le 13 février 21. J'avais oublié que j'y constatais que j'avais alors 70 ans, dont 43 vécus avec Anne.
Pourquoi y avais-je utilisé SDG, parce que ces lettres sont lues par les exégètes de Bach 18-4-7, et qu'Anne était née le 18 mai 47.
Ou 1947, et ceci m'avait conduit à constater que les 48 diptyques du CBT ont les numéros BWV de 846 à 893, soit 18 fois 47 à 19 fois 47.
8-9-3 devient en lettres HIC, "ici". Peut-être commence-t-on à entrevoir pourquoi il y a "quelque chose" dans ce diptyque du CBT.
Il est évidemment complètement absurde d'imaginer une signification aux numéros BWV, mais je me sens destiné à explorer l'absurde, et cet absurde s'est déjà manifesté dans les 43-70 mesures du diptyque 883.
Je l'ai déjà exposé à plusieurs reprises, récemment ici ; en bref:
- L'ode Toi l'été dans Sous les pans du bizarre était au départ un court texte composé, en quelques minutes, selon la contrainte de parité des phonèmes.
- Lorsque j'ai appris que la parution du livre serait retardée, j'ai profité de ce qu'il avait 72 lettres pour illustrer les jeux sur les carrés de 3-4-5 d'une part, ceux de 10-11-12-13-14 d'autre part. Ainsi des majuscules, réparties en 3 groupes de 3-4-5 lettres, isolaient 5 groupes de 10-11-12-13-14 lettres, totalisant la valeur souhaitée 730. Ma passion bachienne était tel que j'avais découpé en 2-1-3-8 minuscules le vers final de 18 lettres par 4 majuscules, qui s'étaient imposées être FISS.
- Le livre est donc paru avec cette version en 2000. C'est en 2004 que j'ai découvert le rapport doré des deux diptyques d'ordre 14 dans les deux cahiers du CBT, soit en tonalité fa# mineur, fis selon la notation allemande, et je me suis avisé alors que l''ensemble des 72 lettres de mon ode avait pour valeur 883, numéro BWV du diptyque du second cahier, et j'avais signifié le 2-1-3-8 = 14 de BACH par les majuscules FISS...
883 n'est pas un nombre quelconque, car la moyenne entre les fractions Fibo 21/13 et 34/21 est 883/546. Or une relation essentielle du premier cahier était le partage des 819 mesures des préludes en 546 pour les 14 premiers et 273 pour les 10 autres.
Je l'ai rappelé dans le billet précédent, où l'étude de la grille magique de Dieben m'avait conduit à un article de David Rumsay sur les nombres bachiens. Il y mentionne aussi le Prélude pour orgue BWV 546, qui selon lui a deux thèmes, ses 144 mesures se répartissant suivant ces deux thèmes en 55 et 89, deux nombres de Fibonacci.
C'était la première fois que je voyais ce Prélude associé au nombre d'or, et j'ai aussitôt téléchargé la partition pour voir ce qu'il en était. Je vais différer mon ennuyeuse analyse pour confirmer que l'entrée d'un thème à la mesure 56 est effectivement particulière, mais il est bien plus remarquable que la pièce semble intentionnellement répartie en 3 parties de 48 mesures, sinon en 6 parties de 24 mesures, comme l'a vu Walter Corten dans un article que j'avais téléchargé parce qu'il y était aussi question de la grille de Dieben.
J'y reviendrai. Toujours est-il que la seule mention par un musicologue "autorisé" d'un partage 55-89 de BWV 546 m'était suffisante pour étudier en parallèle BWV 546 et BWV 883, et l'addition de leurs 144 et 113 mesures donne 257, nombre signalé dans le billet récent Rapports fusionnels, avec d'abord l'addition des 123 mesures du dernier diptyque du CBT1 et de 134, valeur de Soli Deo Gloria dont les initiales SDG achèvent le manuscrit autographe (voir supra).
123 et 134 sont les valeurs de GEORGES PEREC et ARSENE LUPIN, ainsi que les fusionnements de 1-2-3 et 1-3-4, premiers termes des suites de Fibo et de Lucas, et j'avais été très content du titre
RAPPORTS FUSIONNELS = 123+134 = 257.
J'y mentionnais que 257 était aussi la valeur du titre The Greek Coffin Mystery dont j'ai évoqué à maintes reprises l'acrostiche des titres de chapitres en 21 lettres, pour ce titre, et 13 lettres, pour BY ELLERY QUEEN. C'est une des coïncidences essentielles qui m'ont amené à mon obsession des Fibos 13-21-34, et ce n'est qu'en écrivant ces lignes ce 26/9 que je m'avise que 13-21-34 sont composés des mêmes chiffres que 123-134.
BY ELLERY QUEEN = 166, ainsi l'acrostiche complet a pour valeur 423, nombre intervenant dans le CBT1 avec les 1269 mesures des 24 fugues se répartissant en 423 pour les 8 premières et 846 pour les 16 autres.
166 est aussi le nombre de mesures du dernier diptyque du CBT2, ainsi la dernière ligne du tableau des 24+24 diptyques donné si souvent ces derniers temps que je ne le reprends pas totalise 289 mesures, auxquelles additionner le 134 de Soli Deo Gloria donne 423.
Ce dernier diptyque du CBT2 est le BWV 893, HIC, quod erat demonstrandum...
Parmi mes Preuves, il y a que les 77 (ELLERY) premières lettres des titres des chapitres composant l'acrostiche ont pour valeur 846, dont la section d'or exacte tombe à la fin du chapitre 7, EVIDENCE, soit "preuve". Je sais depuis longtemps que les grecs appelaient le nombre d'or tomê, "section", de valeur 418 selon l'alphabet grec. J'ai appris récemment que l'hébreu utilisait le mot 'hatakh, "section", de valeur 428 selon l'alphabet hébreu, la section d'or se disant חתך זהב ou חתך הזהב.
Ces deux sections donnent le total 846 (et la moyenne 423). Je rappelle que c'est le numéro BWV du premier diptyque du CBT.
Je remarque que les deux premiers titres de chapitres de Queen somment 113 (I+II = 113), et je reviens au BWV 883 en fis, à son 43+70=113 qui est aussi le valeur de mon nom sans les initiales.
Tom Lapnus est dans mon roman l'auteur de l'ode de valeur 883 où j'avais codé après coup le 2-1-3-8 de BACH par les majuscules FISS. Tom c'est un peu moi, et sa femme Irène Lapnus est aussi un peu Anne. J'ai exposé ici pourquoi la seconde partie de mon roman était titrée IL, faisant référence à la fois à Tom et à Irène Lapnus. Il se trouve que, sans ces initiales, elle devient
RENE APNUS = 42+71 = 113.
Lors de mes récents approfondissements sur 43-70, j'ai omis de mentionner le fusionnement 4370, rencontré dans le dernier épisode (12) de la saison 1 de Touch, une série de 2012 propre à m'intéresser, puisqu'elle était centrée sur le jeune autiste Jake percevant l'harmonie du monde par des nombres, que son père Martin Bohm devait interpréter.
Chaque épisode avait un nombre clé, faisant partie de la suite d'Amelia, une autre enfant prodige. Dans cet épisode 1-12, le nombre 4370 est lié à la mère de Jake, née le 3 avril 1970 (4-3-70 à l'américaine), et morte le 11 septembre 2001 car elle travaillait au WTC.
Je ne me souvenais plus que le billet où j'en avais parlé avait pour identifiant (postID) 1462148210652914370, nombre dont les premiers chiffres 14 et les derniers 4370 me rappelaient le Prélude-Fugue 14 du CBT2, en 43-70 mesures.
J'avais manqué alors de faire le lien avec son mari, et avec l'autre personnage principal de la saison 1, Clea Hopkins, charmante employée de l'institution qui s'occupe de Jake, institution dont la direction semble impliquée dans de louches manoeuvres. Mais Clea est clean, et sa relation amicale avec Martin semble pouvoir évoluer vers autre chose...
MARTIN BOHM = 75+38 = 113,
CLEA HOPKINS = 21+92 = 113.
Tiens, un mariage pourrait mener à une CLEA BOHM = 21-38, anagramme de MELO BACH...
Mais les scénaristes ont abandonné cette voie, et Clea ne figure plus dans la seconde et dernière saison, fort différente de la première. Ceci n'a pas suffi à améliorer l'audience en diminution croissante, et un dénouement rapide a été trouvé pour achever la série, avec 5 fois moins de spectateurs qu'au départ.
L'épisode 1-2 a pour titre 1+1=3, ce dont l'explication ne sera donnée que dans l'épisode 1-4. Le 5 septembre 2001, Sarah Bohm avait confié son alliance à un joaillier, pour y faire graver ce "1+1=3".
Les revirements scénaristiques ont conduit à un épisode à part, n'ayant été diffusé que plusieurs mois après les 12 épisodes "normaux" de la saison 1. Il est néanmoins identifié comme 1-13.
Un formidable écho est survenu deux ans plus tard, avec la série Believe, aussi sur le thème d'un enfant aux pouvoirs extraordinaires. Le manque d'audience a conduit la production à s'en tenir à une seule saison de 12 épisodes, avec une réelle fin, mais ceci a fait écarter un épisode déjà tourné, identifié ensuite comme 1-13.
La désaffection du public pour Touch s'explique peut-être par le choix de Kiefer Sutherland pour le rôle principal. Les fans de 24 (en français 24 heures chrono) qui adoraient voir Jack Bauer trucider des dizaines de terroristes dans chaque épisode n'ont pu le reconnaître en Martin Bohm, hostile à toute violence.
Martin est plus combatif dans la saison 2, face à des ennemis maintenant clairement identifiés, et ce n'est sans doute pas par hasard si le nombre clé de l'épisode 2-1 est 24. L'épisode final 2-13 a pour nombre clé 318, comme dans l'épisode 1-1, ainsi la série d'Amelia boucle sur elle-même,
avec 24 nombres différents, et 24 au centre. Elle est dite avoir 100 chiffres, ce qui se vérifie sur l'énumération ci-dessus, laquelle nécessite il me semble quelques accommodements, mais je ne vais pas revoir toute la série pour le vérifier.
Je me permets de rapprocher ce 100 de la fugue 24 du CBT2, et rappelle les deux diptyques 24 des deux cahiers,
47 76 SDG 66 100
le premier prélude étant à reprises.
L'addition vue plus haut des nombres de mesures et de 134 valeur de Soli Deo Gloria mène à 423, nombre important dans le CBT, et valeur de l'acrostiche de Queen. Prendre la réelle valeur 29 de SDG mène à 318, le nombre clé ouvrant Touch, lié à la mort de Sarah Bohm au WTC, qui en anglais est aussi l'abréviation du Well Tempered Clavier (comme en allemand). J'ai déjà remarqué que le CBT se composait de deux colonnes de nombres, débutant par BWV 846a et BWV 846b, et que la tour A du WTC avait été frappée à 8:46, heure US.
Sarah Bohm peut offrir un autre lien avec Bach, car
SARAH BOHM = 47 38, moitiés de
94 76, le nombre de mesures exécutées du diptyque 24 du CBT1, en comptant les reprises du prélude. Les peintres adeptes du nombre d'or y voient aussi un rapport intéressant, nommé "double coupe d'or" par Sérusier.
BOHM = 38 peut encore mener au diptyque 38, ou 14 du CBT2, en 43 70 mesures évoquées par la naissance de Sarah le 4/3/70.
Ayant fait référence plus haut à Ellery Queen, je signale que le 4/3/70 est dans La dernière femme de sa vie le jour de l'enterrement d'un personnage christique, John Benedict III, assassiné la nuit de Pâques précédente.
Les deux 318, ouvrant et fermant la suite d'Amelia, se prêtent à un jeu proche de celui qui m'a fait passer plus haut de 123-134 à 13-21-34,
318-318 > 113-883, les 113 mesures de BWV 883, et comme vu plus haut, 883 apparaît dans le contexte Fibo comme formé à partir de 13-21-34, 21x21 + 13x34.
J'ai finalement revu l'épisode final de Touch, où l'image donnée plus haut avec les 100 chiffres est issue d'un vieux manuscrit kabbalistique, montrant que la suite était connue bien antérieurement à Jake Bohm. Dans cet épisode, les méchants parviennent aussi à compléter la série, en l'extrayant des cerveaux de Jake et d'Amelia, ce qui donne ceci:
C'est peu lisible, mais clairement différent de l'autre image, avec plutôt 107 chiffres. J'ai étudié de plus près la série de 100 chiffres, qui donnerait ces 4 rangées de 25:
3 1 8 5 2 9 6 3 2 8 7 9 5 2 2 9 7 5 6 1 1 8 8 1 6
0 4 5 5 1 2 4 2 5 4 5 2 2 1 7 4 3 7 0 2 4 5 2 2 7
5 0 0 1 0 7 5 5 9 9 1 8 8 7 7 8 9 2 1 0 2 6 2 0 0
0 0 1 7 5 9 4 8 2 0 1 3 1 0 2 6 3 0 2 1 5 3 3 1 8
se répartissant en
13 "0"
14 "1" = 14
17 "2" = 34
7 "3" = 21
6 "4" = 24
13 "5" = 65
5 "6" = 30
9 "7" = 63
9 "8" = 72
7 "9" = 63
total 386
Il y a exactement 50 chiffres pairs, de somme 160, et 50 chiffres impairs, de somme 226.
Si cette paire de nombres ne m'est pas immédiatement évocatrice, l'inattendu partage 50-50 peut conduire à considérer le partage séquentiel des 100 chiffres en 50-50 (fifti-fifti=50-50, découverte de Robert Rapilly étudiée ici), et ce partage tombe à un point particulier de la suite.
L'épisode 2-1 est l'exact milieu des 25 épisodes suivis, le 1-13 laissé à part, et cet épisode à l'unique particularité d'avoir deux nombres clés, 24 et 5227, tous deux inclus dans la suite d'Amelia, et c'est ce 5227 qui achève la première série de 50 chiffres.
Ces 50 chiffres totalisent la valeur 209, les 50 autres 177 (ça marche aussi sur le Gématron), et ces deux nombres sont au premier plan de mes études du CBT, en relation avec les diptyques 14 et les relations d'or.
Ainsi, les diptyques 14 dorés (24-40 et 43-70) totalisent 177 mesures.
Bach est mort un 28 juillet, 209e jour de l'année, et né un 21 mars, 80e jour de l'année. Le partage doré entier de 209 est 80-129, et j'ai trouvé plusieurs occurrences de ce partage dans le CBT1, étudiées notamment ici.
Sans en reprendre l'ensemble, deux cas sont bornés par le diptyque 14. Revoici le tableau complet des 24 tonalités dans les deux cahiers:
Les diptyques 12-13-14 totalisent 209 mesures; 80-65-64. Si comme vu plus haut, 883/546 est la moyenne des fractions Fibo 13/21 et 21/34, 129/80 est la moyenne des fractions Fibo 5/8 et 8/13, où 129 est obtenu précisément par
5.13 + 8.8 = 65 + 64 = 129,
et 64 résulte d'une suite Fibo (multipliée par 8).
Par ailleurs les noms des trois tonalités sont
f moll Fis dur fis moll = 6+48+33+41+33+48 = 209.
Les 11 nombres de 14 à 24 ont pour somme 209, avec un partage
14-15-16-17-18 = 80
19-20-21-22-23-24 = 129
A cette répartition correspondent 5 tonalités diverses, et les 6 tonalités bachiennes
A dur a moll B dur b moll H dur h moll = 42+49+43+50+49+56 = 289 = 209+80 (les rangs de ces 6 pièces étant 129).
Les 11 préludes du CBT1 totalisent 297 mesures, 11 fois 27, valeur du mot TAG, "jour", et le partage 5-6 s'y retrouve, en 135 et 162 mesures.
Les autres ensembles 14 à 24 pouvaient trouver sens dans le CBT, et je ne reprends ici que les 11 préludes du CBT2, dont les 586 mesures additionnées aux 297 du CBT1 donnent 883.
Je vois aujourd'hui qu'il y a possibilité de parvenir au rapport 883/546 (analogue à 129/80) avec ces préludes 14..24 des CBT 1 et 2, et les préludes 1..14 du CBT1. Ceci demande le doublement du prélude 14 du CBT1, or un résultat marquant de ma première étude du CBT1 envisageait ce doublement.
Je reviens à la suite d'Amelia avec une autre approche. La répartition des chiffres y est loin d'être équilibrée, malgré le partage idéal 50-50 entre chiffres pairs et impairs.
Il y a donc 4 chiffres qui dépassent la moyenne 10,
Les 43 autres chiffres somment 273, nombre de mesures des préludes 15..24 du CBT1, moitié de 546 pour les préludes 1..14. Je rappelle que 273 est le dénominateur commun résultant de l'addition des fractions 21/13 et 34/21, menant à 883/273.
Et je rappelle encore que la suite d'Amelia n'a rien de prémédité, les producteurs ayant escompté une audience permettant plus de saisons.
Si les sommes 160 et 226 des chiffres pairs et impairs m'étaient peu évocateurs plus haut, je constate maintenant qu'ils sont les doubles de 80 et 113, avec 80 inclus dans 209.
386 est la valeur du mot צירוף, "conjonction", en hébreu où la coïncidence est une "conjonction d'événements", צירוף מקרים. Je rappelle que c'est le même mot que צרוף, signifiant "anagramme" dans la Kabbale.
43 70 m'a rappelé les deux enfants en danger dans deux romans de Belletto, Simon de Klef (70 43) dans L'enfer, et Erich Bercheit (43 70) dans Créature (2000), un roman qui joue prémonitoirement avec l'anéantissement de la Terre le 11 septembre 2001, frappée par l'astéroïde Schiffer. Une Terre jumelle est de plus frappée par l'astéroïde Fisher...
Le 16 septembre au réveil, repensant à ce cas, il m'est venu que BERCHEIT est l'anagramme de BERECHIT, translittération courante du premier mot de la Genèse, "Au commencement", ce mot étant le titre du livre pour les Juifs.
Créature, création, genèse, berechit, Bercheit, il peut sembler se dessiner une certaine logique, bien que Bercheit soit un patronyme allemand assez commun, lié au toponyme Berscheit.
Il m'a néanmoins paru nécessaire de relire le roman, dont j'ai déjà rendu compte ici.
La créature pourrait être la cantatrice Estella Klehr, qui serait la plus belle femme du monde si un angiome ne la défigurait.
Le médecin allemand Robert Bercheit a conçu un traitement révolutionnaire qui la guérit totalement, et en fait une "éblouissante créature" (chapitre XXI). Avant cela, chapitre XIX, un hasard a conduit Estella à l'Alpe d'Huez, sans savoir que les Bercheit y passent quelques jours de vacances. Elle y sauve le jeune Erich tombé dans une crevasse... On ne voit pas trop ce que ça vient faire dans une intrigue déjà touffue, sinon que ça équilibre les rapports entre Robert Bercheit et Estella, chacun ayant été d'une aide inestimable à l'autre.
La créature serait plutôt Estella, en gras. Dans la seconde partie échappant à toute logique, les esprits de la lointaine planète Musica ont décidé d'empêcher une catastrophe qui menace la Terre, en envoyant un esprit que se manifeste sous l'apparence d'Estella, l'autre Estella venant de mourir. Estella ne peut agir en ce monde que par le truchement de Michel Rey, héros de plusieurs romans de Belletto, Michel dit "beau comme un dieu", ce qui est dit 3 fois chapitre XXII,
Michel a pour plus proche ami Daniel Bulowko, ancien professeur d’hébreu et d’exégèse talmudique. Il aurait pu lui dire que mikhael signifie en hébreu "qui est comme Dieu", et Michel va réussir à recréer la Terre détruite le 11/9/2001, ainsi que la Terre jumelle (où il y a un Michel et une Estella).
J'en avais donc parlé ici, mais n'avais pas souligné ces amis Michel et Daniel, 42e et 50e des 72 noms d'anges issus de 3 versets bibliques consécutifs de 72 lettres. Je connais depuis longtemps cette curiosité, à laquelle j'ai envisagé une formidable corrélation dans le billet du 17 avril 2014: la principale curiosité des sigles coraniques concerne les sourates 42 et 50.
Je l'ai détaillé le 17/4/2014, un Jeudi saint qui me semblait lointain lorsque j'avais découvert la date du 16 avril 1908 dans L'Aiguille creuse, Jeudi saint de l'année 18 fois 106, 106 ans vie de Rosencreutz de 1378 à 1484. 2014 c'est 19 fois 106; 18 et 19, les nombres qui m'ont conduit, en lien avec les numéros BWV du CBT (846 à 893, soit 18 fois 47 à 19 fois 47) à ôter les initiales R=18 et S=19 de mon nom, pour retrouver les mesures du diptyque BWV 883:
EMY CHULZ = 43 + 70 = 113.
Je ne reviens pas sur les coïncidences 42-50, mais insiste sur ces faits:
- dans le Coran elles concernent la lettre Qâf, de valeur 100 (la dernière fugue du CBT);
- dans la Bible elles concernent les groupes trilittères מיכ et דני (MYK et DNY) de valeur 70 et 64, somme 134 (SOLI DEO GLORIA, ARSENE LUPIN).
Tiens, ce billet est le 431e de Quaternité.
Le 16 septembre j'ai donc débuté la relecture de Créature. Chapitre VII un personnage secondaire y écoute sur sa chaîne Modern 1000 (Belletto n'est pas avare de précisions hi-fi) le guitariste manouche Stochelo Rosenberg jouant le morceau Seresta, "sérénade".
Ce nom ne me disait rien, et je l'aurais probablement vite oublié si, le lendemain, l'invité de la chronique Musicaline dans le 7-10 de France-Inter n'avait été Thomas Dutronc, lequel précisa que Stochelo Rosenberg l'accompagnait dans son nouvel album, Il n'est jamais trop tard.
C'est alors que je me suis avisé des initiales SR, et une première recherche Stochelo Seresta m'a conduit au morceau Valse A Rosenthal,
et à d'abord imaginer que Seresta en était un sous-titre. En fait Seresta est le titre de l'album dont c'est aussi un morceau, comme Valse A Rosenthal.
Je suis attentif depuis 2018 au nom Rosenthal, et son irruption avec une "vérification par le hasard", selon l'expression de Bellmer, me ravit. Rosenberg et Rosenthal signifient "mont des roses" et "vallée des roses", et Lovendale dérive de l'allemand Loewenthal, "vallée des lions".
J'ai parlé à maintes reprises de cette affaire, notamment ici, où j'avais ainsi représenté les grilles Lovendale:
En bas à droite, ma grille de 1998 inspirée par l'affaire Lovendale était un hétérogramme perecquien avec chaque ligne, composée des lettres ESARTULINO + 1 joker, supposée être le titre d'un chapitre. La diagonale dextro-descendante épelait ROSENCREUTZ, et la valeur totale de la grille était 1604, l'année de découverte de son tombeau (tiens, 1604 est aussi le nombre clé de l'épisode 1-8 de Touch).
En 2012, j'ai découvert que Ricardou m'avait plagié 30 ans plus tôt, avec la table des chapitres des Lieux-dits (1969), où les noms des 8 lieux permettent de lire dans la même diagonale BELCROIX.
En février et juin 2017, j'ai découvert deux grilles de 81 et 90 lettres, valeurs de ELISABETH et LOVENDALE, dont la colonne centrale dans chaque cas offrait une anagramme de PRENOM NOM, dans chaque cas à l'insu de l'auteur.
La première grille était dans la revue de 2005 où figurait mon SONÈ, et je me suis peu après avisé que son grand carré offrait dans la même diagonale LOVEN, croisant avec DALE, encore à mon insu. LOVEN ici à rebours peut correspondre au rebours de BEL, LEB, "lion" dans différentes langues slaves.
Il restait ainsi ROSEN et DALE, et j'étais donc attentif à une conjonction quelconque de ces mots, en quelque langue que ce fût, pourvu que cette conjonction survinsse dans des conditions signifiantes, et ici ROSENTHAL advient via
THOMAS DUTRONC = 76+95 = 171
"tronc" qui me fait penser à l'autre diagonale de Ricardou, MAADRBRE, dont la lecture MAD ARBRE a été rapprochée après coup de
OLIVIER ASILUS = 90+81 = 171
personnage fou des Lieux-dits, et tho MASD utronc laisse aussi entendre MAD.
La conjonction advient aussi via René Belletto, déjà impliqué dans plusieurs coïncidences bachiennes, et c'est une autre coïncidence que j'ai été reconduit à lui et à la fugue BWV 544 juste après être parvenu aux 6 grilles totalisant 544 lettres.
Il y a aussi le pianiste Rainer Gottardt (65+105=170) dont la pièce fétiche est le diptyque BWV 869 (47+47+76=170). J'ai remarqué il y a peu le titre de Belletto, XLVII sonnets, avec
XLVII = 76, et ceci m'a fait l'acheter. Tout ce que j'en dirai pour l'instant est que ça me confirme que Belletto est arithmomaniaque, c'est-à-dire qu'aucun des nombres qu'il mentionne ne peut être considéré comme contingent, et que la structure de ses textes est probablement souvent mûrement pesée.
Bach est évidemment présent dans Créature, et malgré sa mort le 16 août et l'anéantissement de la Terre, Estella pourra chanter les cantates 19 et 93 lors du concert-événement du 11 septembre 2001.
Je mentionnais dans ce récent billet l'égalité 1+1=3, également essentielle selon Werber, et l'importance du nombre 113 dans La diagonale des reines, or dans le roman les attentats du 11 septembre sont un épisode de la lutte entre les reines (ils ont été suivis des attentats de Madrid le 11/3 2004)...
Bref il y a du grain à moudre, et je me sens tout à fait dépassé par toutes les intrications qui se dessinent. Je laisse donc de côté pas mal de choses, mais signale tout de même que, dans le Formules n° 9, mon SONÈ, page 369, apparaît 113 pages après la grille de Cyril, page 256.
Enfin, BWV 883, ce n'est pas seulement des chiffres, mais aussi un splendide diptyque dont j'ai choisi quelques interprétations marquantes.
Je commence par celle de Svetoslav Costoff à la guitare. J'ai abandonné la guitare vers 2000 parce que je n'arrivais pas à y restituer la polyphonie bachienne, mais cette transcription est très réussie.
Ici, la fugue au clavecin, tandis que le manuscrit autographe se déroule au fil des notes.
Là, le diptyque au piano, illustré par une analyse thématique.
Pour ceux qui comprennent l'allemand, Fritz Siebert l'analyse longuement avant de l'interpréter au clavecin..
Richter prend son temps pour une magnifique interprétation en 9:33, alors que Gould boucle la chose en 6:12. Tiens, ici, il joue la fugue au clavecin.
Mon titre fait référence à un rêve de 2010, où je feuilletais la revue Elleswer 29, dont la maquette rappelait Planète. J'appris que le mot signifiait "ailleurs" en vieil anglais. Le Planète 29 avait un article sur Hauteville House, et sa chaire des ancêtres sur laquelle Hugo avait gravé HIC NIHIL, ALIAS ALIQUID. Je rappelle que 29 est la valeur du SDG bachien.
L'addition vue plus haut des nombres de mesures et de 134 valeur de Soli Deo Gloria mène à 423, nombre important dans le CBT, et valeur de l'acrostiche de Queen. Prendre la réelle valeur 29 de SDG mène à 318, le nombre clé ouvrant Touch, lié à la mort de Sarah Bohm au WTC, qui en anglais est aussi l'abréviation du Well Tempered Clavier (comme en allemand). J'ai déjà remarqué que le CBT se composait de deux colonnes de nombres, débutant par BWV 846a et BWV 846b, et que la tour A du WTC avait été frappée à 8:46, heure US.
Sarah Bohm peut offrir un autre lien avec Bach, car
SARAH BOHM = 47 38, moitiés de
94 76, le nombre de mesures exécutées du diptyque 24 du CBT1, en comptant les reprises du prélude. Les peintres adeptes du nombre d'or y voient aussi un rapport intéressant, nommé "double coupe d'or" par Sérusier.
BOHM = 38 peut encore mener au diptyque 38, ou 14 du CBT2, en 43 70 mesures évoquées par la naissance de Sarah le 4/3/70.
Ayant fait référence plus haut à Ellery Queen, je signale que le 4/3/70 est dans La dernière femme de sa vie le jour de l'enterrement d'un personnage christique, John Benedict III, assassiné la nuit de Pâques précédente.
Les deux 318, ouvrant et fermant la suite d'Amelia, se prêtent à un jeu proche de celui qui m'a fait passer plus haut de 123-134 à 13-21-34,
318-318 > 113-883, les 113 mesures de BWV 883, et comme vu plus haut, 883 apparaît dans le contexte Fibo comme formé à partir de 13-21-34, 21x21 + 13x34.
J'ai finalement revu l'épisode final de Touch, où l'image donnée plus haut avec les 100 chiffres est issue d'un vieux manuscrit kabbalistique, montrant que la suite était connue bien antérieurement à Jake Bohm. Dans cet épisode, les méchants parviennent aussi à compléter la série, en l'extrayant des cerveaux de Jake et d'Amelia, ce qui donne ceci:
C'est peu lisible, mais clairement différent de l'autre image, avec plutôt 107 chiffres. J'ai étudié de plus près la série de 100 chiffres, qui donnerait ces 4 rangées de 25:
3 1 8 5 2 9 6 3 2 8 7 9 5 2 2 9 7 5 6 1 1 8 8 1 6
0 4 5 5 1 2 4 2 5 4 5 2 2 1 7 4 3 7 0 2 4 5 2 2 7
5 0 0 1 0 7 5 5 9 9 1 8 8 7 7 8 9 2 1 0 2 6 2 0 0
0 0 1 7 5 9 4 8 2 0 1 3 1 0 2 6 3 0 2 1 5 3 3 1 8
se répartissant en
13 "0"
14 "1" = 14
17 "2" = 34
7 "3" = 21
6 "4" = 24
13 "5" = 65
5 "6" = 30
9 "7" = 63
9 "8" = 72
7 "9" = 63
total 386
Il y a exactement 50 chiffres pairs, de somme 160, et 50 chiffres impairs, de somme 226.
Si cette paire de nombres ne m'est pas immédiatement évocatrice, l'inattendu partage 50-50 peut conduire à considérer le partage séquentiel des 100 chiffres en 50-50 (fifti-fifti=50-50, découverte de Robert Rapilly étudiée ici), et ce partage tombe à un point particulier de la suite.
L'épisode 2-1 est l'exact milieu des 25 épisodes suivis, le 1-13 laissé à part, et cet épisode à l'unique particularité d'avoir deux nombres clés, 24 et 5227, tous deux inclus dans la suite d'Amelia, et c'est ce 5227 qui achève la première série de 50 chiffres.
Ces 50 chiffres totalisent la valeur 209, les 50 autres 177 (ça marche aussi sur le Gématron), et ces deux nombres sont au premier plan de mes études du CBT, en relation avec les diptyques 14 et les relations d'or.
Ainsi, les diptyques 14 dorés (24-40 et 43-70) totalisent 177 mesures.
Bach est mort un 28 juillet, 209e jour de l'année, et né un 21 mars, 80e jour de l'année. Le partage doré entier de 209 est 80-129, et j'ai trouvé plusieurs occurrences de ce partage dans le CBT1, étudiées notamment ici.
Sans en reprendre l'ensemble, deux cas sont bornés par le diptyque 14. Revoici le tableau complet des 24 tonalités dans les deux cahiers:
Les diptyques 12-13-14 totalisent 209 mesures; 80-65-64. Si comme vu plus haut, 883/546 est la moyenne des fractions Fibo 13/21 et 21/34, 129/80 est la moyenne des fractions Fibo 5/8 et 8/13, où 129 est obtenu précisément par
5.13 + 8.8 = 65 + 64 = 129,
et 64 résulte d'une suite Fibo (multipliée par 8).
Par ailleurs les noms des trois tonalités sont
f moll Fis dur fis moll = 6+48+33+41+33+48 = 209.
Les 11 nombres de 14 à 24 ont pour somme 209, avec un partage
14-15-16-17-18 = 80
19-20-21-22-23-24 = 129
A cette répartition correspondent 5 tonalités diverses, et les 6 tonalités bachiennes
A dur a moll B dur b moll H dur h moll = 42+49+43+50+49+56 = 289 = 209+80 (les rangs de ces 6 pièces étant 129).
Les 11 préludes du CBT1 totalisent 297 mesures, 11 fois 27, valeur du mot TAG, "jour", et le partage 5-6 s'y retrouve, en 135 et 162 mesures.
Les autres ensembles 14 à 24 pouvaient trouver sens dans le CBT, et je ne reprends ici que les 11 préludes du CBT2, dont les 586 mesures additionnées aux 297 du CBT1 donnent 883.
Je vois aujourd'hui qu'il y a possibilité de parvenir au rapport 883/546 (analogue à 129/80) avec ces préludes 14..24 des CBT 1 et 2, et les préludes 1..14 du CBT1. Ceci demande le doublement du prélude 14 du CBT1, or un résultat marquant de ma première étude du CBT1 envisageait ce doublement.
Je reviens à la suite d'Amelia avec une autre approche. La répartition des chiffres y est loin d'être équilibrée, malgré le partage idéal 50-50 entre chiffres pairs et impairs.
Il y a donc 4 chiffres qui dépassent la moyenne 10,
17 "2" = 34
14 "1" = 14
13 "5" = 65
13 "0" = 0
la somme de ces 57 chiffres (ou 44, en oubliant les "0") étant 113, nombre de mesures du diptyque 14 (883) du CBT2.14 "1" = 14
13 "5" = 65
13 "0" = 0
Les 43 autres chiffres somment 273, nombre de mesures des préludes 15..24 du CBT1, moitié de 546 pour les préludes 1..14. Je rappelle que 273 est le dénominateur commun résultant de l'addition des fractions 21/13 et 34/21, menant à 883/273.
Et je rappelle encore que la suite d'Amelia n'a rien de prémédité, les producteurs ayant escompté une audience permettant plus de saisons.
Si les sommes 160 et 226 des chiffres pairs et impairs m'étaient peu évocateurs plus haut, je constate maintenant qu'ils sont les doubles de 80 et 113, avec 80 inclus dans 209.
Note du 6/10: Un défaut d'impression dans un livre lu hier, L'ultime avertissement de Nicolas Beuglet, apparaît toutes les 80 pages, ce qui m'a fait penser que 160 est la différence entre 273 et 113.
386 est la valeur du mot צירוף, "conjonction", en hébreu où la coïncidence est une "conjonction d'événements", צירוף מקרים. Je rappelle que c'est le même mot que צרוף, signifiant "anagramme" dans la Kabbale.
43 70 m'a rappelé les deux enfants en danger dans deux romans de Belletto, Simon de Klef (70 43) dans L'enfer, et Erich Bercheit (43 70) dans Créature (2000), un roman qui joue prémonitoirement avec l'anéantissement de la Terre le 11 septembre 2001, frappée par l'astéroïde Schiffer. Une Terre jumelle est de plus frappée par l'astéroïde Fisher...
Le 16 septembre au réveil, repensant à ce cas, il m'est venu que BERCHEIT est l'anagramme de BERECHIT, translittération courante du premier mot de la Genèse, "Au commencement", ce mot étant le titre du livre pour les Juifs.
Créature, création, genèse, berechit, Bercheit, il peut sembler se dessiner une certaine logique, bien que Bercheit soit un patronyme allemand assez commun, lié au toponyme Berscheit.
Il m'a néanmoins paru nécessaire de relire le roman, dont j'ai déjà rendu compte ici.
La créature pourrait être la cantatrice Estella Klehr, qui serait la plus belle femme du monde si un angiome ne la défigurait.
Le médecin allemand Robert Bercheit a conçu un traitement révolutionnaire qui la guérit totalement, et en fait une "éblouissante créature" (chapitre XXI). Avant cela, chapitre XIX, un hasard a conduit Estella à l'Alpe d'Huez, sans savoir que les Bercheit y passent quelques jours de vacances. Elle y sauve le jeune Erich tombé dans une crevasse... On ne voit pas trop ce que ça vient faire dans une intrigue déjà touffue, sinon que ça équilibre les rapports entre Robert Bercheit et Estella, chacun ayant été d'une aide inestimable à l'autre.
La créature serait plutôt Estella, en gras. Dans la seconde partie échappant à toute logique, les esprits de la lointaine planète Musica ont décidé d'empêcher une catastrophe qui menace la Terre, en envoyant un esprit que se manifeste sous l'apparence d'Estella, l'autre Estella venant de mourir. Estella ne peut agir en ce monde que par le truchement de Michel Rey, héros de plusieurs romans de Belletto, Michel dit "beau comme un dieu", ce qui est dit 3 fois chapitre XXII,
Toujours est-il qu’Estella trouva en effet Michel beau comme un dieu.mais leur rapprochement ne pourra avoir lieu qu'après un saut dans une autre réalité, Estella étant assassinée au chapitre suivant.
Michel a pour plus proche ami Daniel Bulowko, ancien professeur d’hébreu et d’exégèse talmudique. Il aurait pu lui dire que mikhael signifie en hébreu "qui est comme Dieu", et Michel va réussir à recréer la Terre détruite le 11/9/2001, ainsi que la Terre jumelle (où il y a un Michel et une Estella).
J'en avais donc parlé ici, mais n'avais pas souligné ces amis Michel et Daniel, 42e et 50e des 72 noms d'anges issus de 3 versets bibliques consécutifs de 72 lettres. Je connais depuis longtemps cette curiosité, à laquelle j'ai envisagé une formidable corrélation dans le billet du 17 avril 2014: la principale curiosité des sigles coraniques concerne les sourates 42 et 50.
Je l'ai détaillé le 17/4/2014, un Jeudi saint qui me semblait lointain lorsque j'avais découvert la date du 16 avril 1908 dans L'Aiguille creuse, Jeudi saint de l'année 18 fois 106, 106 ans vie de Rosencreutz de 1378 à 1484. 2014 c'est 19 fois 106; 18 et 19, les nombres qui m'ont conduit, en lien avec les numéros BWV du CBT (846 à 893, soit 18 fois 47 à 19 fois 47) à ôter les initiales R=18 et S=19 de mon nom, pour retrouver les mesures du diptyque BWV 883:
EMY CHULZ = 43 + 70 = 113.
Je ne reviens pas sur les coïncidences 42-50, mais insiste sur ces faits:
- dans le Coran elles concernent la lettre Qâf, de valeur 100 (la dernière fugue du CBT);
- dans la Bible elles concernent les groupes trilittères מיכ et דני (MYK et DNY) de valeur 70 et 64, somme 134 (SOLI DEO GLORIA, ARSENE LUPIN).
Tiens, ce billet est le 431e de Quaternité.
Le 16 septembre j'ai donc débuté la relecture de Créature. Chapitre VII un personnage secondaire y écoute sur sa chaîne Modern 1000 (Belletto n'est pas avare de précisions hi-fi) le guitariste manouche Stochelo Rosenberg jouant le morceau Seresta, "sérénade".
Ce nom ne me disait rien, et je l'aurais probablement vite oublié si, le lendemain, l'invité de la chronique Musicaline dans le 7-10 de France-Inter n'avait été Thomas Dutronc, lequel précisa que Stochelo Rosenberg l'accompagnait dans son nouvel album, Il n'est jamais trop tard.
C'est alors que je me suis avisé des initiales SR, et une première recherche Stochelo Seresta m'a conduit au morceau Valse A Rosenthal,
et à d'abord imaginer que Seresta en était un sous-titre. En fait Seresta est le titre de l'album dont c'est aussi un morceau, comme Valse A Rosenthal.
Je suis attentif depuis 2018 au nom Rosenthal, et son irruption avec une "vérification par le hasard", selon l'expression de Bellmer, me ravit. Rosenberg et Rosenthal signifient "mont des roses" et "vallée des roses", et Lovendale dérive de l'allemand Loewenthal, "vallée des lions".
J'ai parlé à maintes reprises de cette affaire, notamment ici, où j'avais ainsi représenté les grilles Lovendale:
En bas à droite, ma grille de 1998 inspirée par l'affaire Lovendale était un hétérogramme perecquien avec chaque ligne, composée des lettres ESARTULINO + 1 joker, supposée être le titre d'un chapitre. La diagonale dextro-descendante épelait ROSENCREUTZ, et la valeur totale de la grille était 1604, l'année de découverte de son tombeau (tiens, 1604 est aussi le nombre clé de l'épisode 1-8 de Touch).
En 2012, j'ai découvert que Ricardou m'avait plagié 30 ans plus tôt, avec la table des chapitres des Lieux-dits (1969), où les noms des 8 lieux permettent de lire dans la même diagonale BELCROIX.
En février et juin 2017, j'ai découvert deux grilles de 81 et 90 lettres, valeurs de ELISABETH et LOVENDALE, dont la colonne centrale dans chaque cas offrait une anagramme de PRENOM NOM, dans chaque cas à l'insu de l'auteur.
La première grille était dans la revue de 2005 où figurait mon SONÈ, et je me suis peu après avisé que son grand carré offrait dans la même diagonale LOVEN, croisant avec DALE, encore à mon insu. LOVEN ici à rebours peut correspondre au rebours de BEL, LEB, "lion" dans différentes langues slaves.
Il restait ainsi ROSEN et DALE, et j'étais donc attentif à une conjonction quelconque de ces mots, en quelque langue que ce fût, pourvu que cette conjonction survinsse dans des conditions signifiantes, et ici ROSENTHAL advient via
THOMAS DUTRONC = 76+95 = 171
"tronc" qui me fait penser à l'autre diagonale de Ricardou, MAADRBRE, dont la lecture MAD ARBRE a été rapprochée après coup de
OLIVIER ASILUS = 90+81 = 171
personnage fou des Lieux-dits, et tho MASD utronc laisse aussi entendre MAD.
La conjonction advient aussi via René Belletto, déjà impliqué dans plusieurs coïncidences bachiennes, et c'est une autre coïncidence que j'ai été reconduit à lui et à la fugue BWV 544 juste après être parvenu aux 6 grilles totalisant 544 lettres.
Il y a aussi le pianiste Rainer Gottardt (65+105=170) dont la pièce fétiche est le diptyque BWV 869 (47+47+76=170). J'ai remarqué il y a peu le titre de Belletto, XLVII sonnets, avec
XLVII = 76, et ceci m'a fait l'acheter. Tout ce que j'en dirai pour l'instant est que ça me confirme que Belletto est arithmomaniaque, c'est-à-dire qu'aucun des nombres qu'il mentionne ne peut être considéré comme contingent, et que la structure de ses textes est probablement souvent mûrement pesée.
Bach est évidemment présent dans Créature, et malgré sa mort le 16 août et l'anéantissement de la Terre, Estella pourra chanter les cantates 19 et 93 lors du concert-événement du 11 septembre 2001.
Je mentionnais dans ce récent billet l'égalité 1+1=3, également essentielle selon Werber, et l'importance du nombre 113 dans La diagonale des reines, or dans le roman les attentats du 11 septembre sont un épisode de la lutte entre les reines (ils ont été suivis des attentats de Madrid le 11/3 2004)...
Bref il y a du grain à moudre, et je me sens tout à fait dépassé par toutes les intrications qui se dessinent. Je laisse donc de côté pas mal de choses, mais signale tout de même que, dans le Formules n° 9, mon SONÈ, page 369, apparaît 113 pages après la grille de Cyril, page 256.
Enfin, BWV 883, ce n'est pas seulement des chiffres, mais aussi un splendide diptyque dont j'ai choisi quelques interprétations marquantes.
Je commence par celle de Svetoslav Costoff à la guitare. J'ai abandonné la guitare vers 2000 parce que je n'arrivais pas à y restituer la polyphonie bachienne, mais cette transcription est très réussie.
Là, le diptyque au piano, illustré par une analyse thématique.
Pour ceux qui comprennent l'allemand,
Richter prend son temps pour une magnifique interprétation en 9:33, alors que Gould boucle la chose en 6:12. Tiens, ici, il joue la fugue au clavecin.
Mon titre fait référence à un rêve de 2010, où je feuilletais la revue Elleswer 29, dont la maquette rappelait Planète. J'appris que le mot signifiait "ailleurs" en vieil anglais. Le Planète 29 avait un article sur Hauteville House, et sa chaire des ancêtres sur laquelle Hugo avait gravé HIC NIHIL, ALIAS ALIQUID. Je rappelle que 29 est la valeur du SDG bachien.
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